CONSTRUIRE L'AVENIR ENSEMBLE
 

31/10/2011

viande recomposée .

envoi de Bébert
et bon appétit


http://www.youtube.com/watch?v=zfI_ONSDgIk
France 5 enquête sur l'impact de la consommation de viande sur notre santé et celle de la planète
Le magazine "C'est notre affaire" présenté par Claire Fournier confronte les idées de nutritionnistes, d'écologistes, d'agriculteurs et de militants de la cause animale sur le thème du végétarisme.
Faut-il arrêter de manger de la viande ? deux reportages illustrent le débat

Mercredi 2 novembre à 22h10 : sur les conditions d'élevage, de transport et d'abattage du bétail qui finira dans les rayons des magasin
Dimanche 13 novembre à 21h30, : sur les régimes végétariens et le courant philosophique associé.

30/10/2011

émissions TV

Le 1er novembre 21h35 : Arte présente le documentaire "Le Club des Incorruptibles", documentaire sur le réseau de magistrats anti-corruption cofondé et animé par Eva Joly. A ne pas rater !

notre canard déchaîné local

rappel
http://www.lesansculotte85.com/

http://fr-fr.facebook.com/lesansculotte85
martine

Hugues Mallard section PS des Olonnes écrit au Journal des Sables

Monsieur le rédacteur en chef,

dimanche 16 octobre 2011, vous êtes venu à ma rencontre salle de l'amitié lors du franc succès du deuxième tour des élections primaires du parti socialiste, me faire part de votre désappointement devant le fait que notre libre publication d'Autrement les Sables fustigeait votre refus d'imprimer dans vos colonnes notre point de vue.

Vous avez tenté de me laisser entendre que ce nous écrivions n'était pas vrai.
Ce à quoi je vous ai répondu qu'il fallait être factuel et que deux de nos communiqués adressés à votre journal n'avaient pas été repris dans vos colonnes, dont acte !
Vous avez tenté de me conforter sur le fait que votre ligne éditoriale assurait le pluralisme.
J'aurais aimé être convaincu mais factuellement, j'ai eu à comparer votre traitement journalistique dans votre dernière édition...d'un côté,une réunion de l'UMP rassemblant 150 personnes avec à la clef la photo des intervenants, de l'autre l'énoncé froid et sans saveur d'une primaire qui aura réuni plus de 4000 personnes en deux dimanches et qui ne justifie pas de votre point de vue de présence le jour j ni la moindre photo....
et vous me chantez pluralisme...de qui se moque-t-on ?


Hugues MALLARD
Président de l'association Autrement les Sables

ps : dans moins d'un mois, aura lieu la grande période de reproduction du bigorneau à marée basse, je ne doute pas que vous serez présent pour relater en première page cet évènement.

28/10/2011

nitrates ...algues ???


Nitrates : la Commission adresse un avis motivé à la France et à la Grèce pour non-respect de la directive


La Commission européenne "appelle instamment la France et la Grèce à adopter des mesures plus fermes pour lutter contre la pollution de l'eau causée par les nitrates".

Les deux pays recevront un avis motivé. Ils disposeront alors de deux mois pour se conformer à cet avis, faute de quoi la Commission pourra décider de saisir la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE).

"Le cadre législatif en vigueur en France et les programmes d'action mis en œuvre dans ce pays pour les zones vulnérables face à la pollution par les nitrates ne suffisent pas pour lutter efficacement contre cette pollution, comme l'exige le droit de l'Union européenne", estime la Commission européenne.

27/10/2011

humour acte III , scène IV : Racine ?

La scène se passe dans les jardins du Château Bellevue, à Berlin. Angela von Mecklemburg et Nicolas de Neuilly se sont discrètement éclipsés de la réception offerte par le roi de Prusse. On entend, au loin, les accents du quatuor de Joseph Haydn .

Nicolas :
Madame, l'heure est grave : alors que Berlin danse
Athènes est en émoi et Lisbonne est en transes.
Voyez la verte Erin , voyez l'Estrémadoure
Entendez les Romains : ils appellent au secours !
Ils scrutent l'horizon, et implorent les Dieux.
Tous les coffres sont vides, et les peuples anxieux
Attendent de vous, madame, le geste généreux !
De leur accablement ils m'ont fait l'interprète :
Leur destin est scellé, à moins qu'on ne leur prête
Cet argent des Allemands sur lesquels vous régnez.
Cette cause est bien rude, mais laissez moi plaider...
Angela :
Taisez-vous Nicolas ! Je crois qu'il y a méprise
Folle étais-je de croire à une douce surprise
En vous suivant ici seule et sans équipage
Je m'attendais, c'est sûr, à bien d'autres hommages !
Mais je dois déchanter, et comme c'est humiliant
De n'être courtisée que pour son seul argent !
Nicolas :
Madame, les temps sont durs, et votre cœur est grand
Vos attraits sont troublants, mais il n'est point décent
D'entrer en badinage quand notre maison brûle !
Le monde nous regarde, craignons le ridicule !
Notre Europe est malade, et vous seule pouvez
La soigner, la guérir et, qui sait ? La sauver !
Nous sommes aujourd'hui tout au bord de l'abîme
Vous n'y êtes pour rien, mais soyez magnanime !
Les Grecs ont trop triché ? Alors la belle affaire !
Qu'on les châtie un peu, mais votre main de fer
Est cruelle aux Hellènes, et nous frappe d'effroi !

Angela :
J'entends partout gronder, en Saxe, Bade ou Bavière
L'ouvrier mécontent, le patron en colère.
Ma richesse est la leur, ils ont bien travaillé.
L'or du Rhin, c'est leur sueur et leur habileté.
Et vous me demandez, avec fougue et passion
De jeter cette fortune au pied du Parthénon ?
Ce serait trop facile et ma réponse est non !

Nicolas :
On ne se grandit pas en affamant la Grèce
En oubliant Platon, Sophocle et Périclès !
Nos anciens nous regardent, et nous font le grief
D'être des épiciers et non pas de vrais chefs !
Helmut Kohl est furieux et Giscard désespère.
Un seul geste suffit, et demain à Bruxelles
Desserrez, je vous prie, le nœud de l'escarcelle !


Angela :
Brisons là, je vous prie, la nuit est encore belle
Votre éloquence est grande et mon âme chancelle...
Mais si je disais oui à toutes vos demandes
Je comblerais la femme, et trahirais l'Allemande !

(Ils s'éloignent, chacun de leur côté)


Nos déchets valent de l'Or ?

ce soir à 17 h se tient la dernière visite du chantier TMB au Château d'Olonne.





Petit historique

les Vendéens "vent debout ' dixit Philippe Bertrand dans Carnets de Campagnes

Qui parle encore du problème du traitement des déchets en France ?
Ce dossier avait été délégué aux Départements , sitôt assaillis par les lobby nationaux dont Véolia , Trivalis .......
Les élus , pressés, et ignorants pour la plupart des tenants et des aboutissants se sont donc entourés d'experts non indépendants , de cabinets d' études liés au marché, et ont fait des choix pour le moins surprenants .
Dans le traitement des déchets, ils n'ont pas su prendre en compte l"après déchet" et son incidence .
Si dans certains départements, les associations ont empêché la construction de super-incinérateurs à la dioxine agressive, ces même associations n'ont pas réussi à s'opposer à la mise en place d'un autre temple du déchet : le tri mécano biologique .
Cette usine qui assure le tri mécanique ..des ordures ménagères sales (les poubelles grises) mélangées à du bon déchet vert et mises en compostage. (d'où usurpation du label bio !)
Une norme NFU051 a été inventée ( comme la D.J.A, . dose journalière acceptable !) pour déterminer le niveau officiel de pollution possible de ce compost dont la vocation sera d'être épandu sur les terres agricoles.
Mais me direz vous : Comment seront éliminées les molécules chimiques "aux atomes si mobiles" après avoir macérés toutes ensemble, avec le bon compost vert ?
Pas de réponse , puisqu'il est décidé que ces maudites molécules sont inertes ( ce qui ne se détecte pas n'existe pas CQFD )
Pourtant nous trouvons dans nos poubelles grises , plétore de bisphénol A ,de phtalates, de Pfoa, de Ptfe , de pesticides, d'antibiotiques, de métaux abrasés, de médicaments divers et autres produits chimiques toxiques qui font la Une des journaux , accusés d'être neurotoxiques , perturbateurs endocriniens, et cancérigènes, même à très faibles doses !!!! .
A ce jour il est toujours prévu d'épandre ces polluants en toute connaissance de cause sur les terres agricoles ..
Mais me direz vous .. Quel agriculteur sérieux accepterait un tel produit frelaté ?
En Vendée par exemple, Luc GUYAU, alors Président de la FNSEA, a passé une charte avec la chambre d'agriculture pour l'utilisation par des agriculteurs volontaires , de ce compost qui répondra à une norme (qui ne recherche aucun des polluants cités ci-dessus ).
Pourtant le CNIID, l'ADEME, la FNE, les associations de défense de l'environnement responsables , le sénateur D.Soulage rapporteur lors du Grenelle de l'environnement , des chercheurs, des scientifiques, des médecins, des ingénieurs agronomes.. tous indépendants , les pays Européens comme l'Allemagne, l'Angleterre la Belgique ,.. ..dénoncent le danger potentiel d'un tel compost.
Après le scandale de l'amiante, du nuage de Tchernobyl, ou l'affaire du médiator allons nous vers un empoisonnement des terres agricoles ?
Une Commission locale d'information et de surveillance , la CLIS , est enfin mise en place , par le Préfet.
Souhaitons très fort qu'elle ait enfin la possibilité d'empêcher qu''un tel compost ait une finalité agricole .

martine

« European Composting Network » Postbox 22 29 - D-99403 Weimar (Germany), est une organisation européenne et mondiale qui refuse catégoriquement l’usage agricole et donc agro-alimentaire des composts issus TMB. Une multinationale française s’est vu refuser l’adhésion à Européan Composting Network, pour cause d’implication dans la promotion des TMB.

un citoyen en colère

Olonne, Jeudi 27 octobre 2011.

Permettez-moi de vous soumettre un texte émanant de la newsletter de BATIACTU / 27/10/2011 qui me fait grincer les dents. En effet, il me rappelle l'époque de la fin des années 70 où je tempêtais contre la publicité abusive, voir mensongère, d'EDF qui poussait le public à construire tout électrique pour mieux as­seoir, me semblait-il, le programme électro-nucléaire. Allez-y, consommez les yeux fermés ( et la bourse grande ouverte ) à condition de mieux vous isoler pour compenser la cherté du kilowatt !

C'est ainsi que la réglementation thermique prévoira jusqu'à nos jours un surplus d'isolation pour les installations tout électriques. Et les pavillonneurs de tout poil de vendre clefs en main des maisons à moindre coût ( avec isolation par l'intérieur - ce qui est une aberration pour des résidences principales - et convecteurs bas de gamme presque gratuits comparés au chauffage central au gaz ou au fuel ), l'investissement initial des heureux propriétaires escamotant les futures notes faramineuses d'électricité.

Sans oublier la plus récente campagne orchestrée par EDF en faveur de la climatisation. Vous avez construit en dépit du bon sens, vos logements sont aussi ouverts au nord qu'au sud, mal orientés, vous dispo­sez d'une isolation thermique p/ l'intérieur plus indiquée pour les résidences secondaires qui nécessitent un chauffage immédiat ? Qu'à cela ne tienne ! Investissez maintenant dans des climatiseurs, c'est le progrès...

Un risque de pénurie d'électricité en France cet hiver

Suite à la catastrophe de Fukushima, l’Allemagne a décidé l’arrêt immédiat de 8 de ses 17 réacteurs nucléaires, avec pour conséquence une raréfaction prochaine de l’électricité, en France ! En effet, si notre pays est expor­tateur de courant électrique pendant la majeure partie de l’année, la consommation hivernale explose à certai­nes heures, aux alentours de 19h00, heure de retour chez soi et de préparation du repas. Lors de ces pics de consommation, la France importe du courant des pays limitrophes, jusqu’à 8.000 MW, soit l’équivalent de la production d’environ 8 réacteurs.

Entre décembre 2009 et janvier 2010, l’épisode neigeux et les températures négatives persistantes, situées bien en dessous des moyennes saisonnières, a ainsi mené à un record de consommation de 92.400 MW (la demande moyenne se situe entre 50.000 et 70.000 MW), nécessitant l’importation d’électricité allemande, qui sera désormais manquant. Une chute d’un degré de la température moyenne dans l’Hexagone induit une sur­consommation de 2.300 MW supplémentaires, liée notamment à la politique du chauffage tout électrique, me­née dans les années 1970-1980.


Le RTE sous haute tension
Des coupures maîtrisées, opérées par RTE (Réseau de Transport d’Electricité), seraient donc envisageables dans le cas d’un hiver rigoureux. Cela dépendra, outre la météo, de la disponibilité des réacteurs du parc français (7 réacteurs sur 58 se trouvant en entretien) et de la production des centrales thermiques allemandes. En ultime recours, RTE ferait appel au civisme des utilisateurs en leur recommandant d’éteindre les pièces inoccupées et de ne pas utiliser certains équipements énergétivores aux heures de pointe (sèche-linge notamment), comme cela a déjà été le cas en Bretagne, une des régions les plus fragiles énergétiquement.

Du côté des professionnels, le gestionnaire du réseau de distribution pourrait demander aux industriels de pratiquer l’effacement, une mesure mise en place en 1994. Contre des tarifs avantageux, des groupes sidérurgiques, chimiques ou automobiles, gros consommateurs de courant, peuvent suspendre l’alimentation de certains sites en mettant des installations en veille ou en utilisant des groupes électrogènes. Le seul impératif est un délai de 24 heures pour leur laisser le temps de s’organiser et un maximum de 22 jours d’effacement entre novembre et mars. En 2010, la capacité d’effacement totale était d’environ 3 GW, permettant à RTE de bénéficier d’une certaine marge de manœuvre. Contacté, le gestionnaire du réseau n’a pas souhaité répondre aux questions portant sur la menace de pénurie hivernale avant la publication, le 10 novembre prochain au plus tard, d’un état des lieux sur la consommation et l’importation d’énergie en France.

G.N. (26/10/2011)

Je rajouterais bien à cela la possibilité de couper l'éclairage public, systématiquement, dès 19 heures. Comment ? L'éclairage public que l'on voit s'étendre à toutes les banlieues serait-il la seule méthode envisageable pour pallier à l'insécurité de nos rues et de nos routes ? Ne serions-nous plus capables de vivre dans le noir, de nous accompagner d'une lampe électrique quand nous devons marcher dans nos rues et de conduire en codes s/ la route ?

Si mes propos ne paraissent pas trop primaires et puérils, j'oserais demander à mes lecteurs du moment de tenter de faire "remonter" cet article vers nos décideurs actuels ou espérés ( je me comprends ). Je suis en effet convaincu que, après quarante ans de désillusions, nos idées d'arrêt de la surconsommation peuvent être enfin appliquées. Et ce, dans tous les domaines !

Merci de votre attention. Cordialement. Michel.

26/10/2011

RUE 89 Eco

24/10/2011 à 11h38

Sébastien CHimsky
Educateur PJJ, membre du Mouvement unitaire progressiste, militant syndical.


Le temps des comptables

S'il est admis que seule une politique de rigueur visant le remboursement de la dette doit être menée la conclusion naturelle est alors que nous n'avons pas besoin d'hommes politiques pour le faire. Notons qu'en période de rigueur, cette économie devrait être appréciable. Nous avons la possibilité historique d'ouvrir des postes d'économie sur les postes de ministres, de membres des cabinets, de conseillers en communication. Économie qui devrait ravir les agences de notation !

Il est étonnant de voir l'incapacité des hommes de droite et du centre ne pas en venir à la conclusion logique de leur action politique. La position de François Bayrou vis-à-vis du programme du PS est édifiante. Le programme est intenable nous dit-il, et la gauche et la droite doivent être responsable et mener ensemble la SEULE politique possible : la rigueur. Il ne peut plus y avoir de clivage : l'homme politique a pour mission de parvenir a faire de la règle d'or une réalité.

Mais si la mission de l'homme politique n'est plus d'inventer, d'élargir le champ du possible, de changer les lois qui organisent la société et l'économie, alors le désenchantement de la politique atteint sa conclusion logique : à l'avenir, des comptables sans idéologie feront toujours mieux que les politiques...

Mediapart publie l'appel du Collectif national pour un audit de la dette publique, soutenu par des personnalités comme Etienne Balibar, Frédéric Lordon, Susan George ou Ariane Mnouchkine. Objectif du collectif, qui regroupe une vingtaine de syndicats et d'associations: organiser un «débat démocratique au plan local, national et européen» sur la question de la dette des Etats.

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puceinvite.jpgÉcoles, hôpitaux, hébergement d'urgence… Retraites, chômage, culture, environnement... nous vivons tous au quotidien l'austérité budgétaire et le pire est à venir. «Nous vivons au-dessus de nos moyens», telle est la rengaine que l'on nous ressasse dans les grands médias. Maintenant «il faut rembourser la dette», nous répète-t-on matin et soir. «On n’a pas le choix, il faut rassurer les marchés financiers, sauver la bonne réputation, le triple A de la France».


Nous refusons ces discours culpabilisateurs. Nous ne voulons pas assister en spectateurs à la remise en cause de tout ce qui rendait encore vivables nos sociétés, en France et en Europe. Avons-nous trop dépensé pour l’école et la santé, ou bien les cadeaux fiscaux et sociaux depuis vingt ans ont-ils asséché les budgets? Cette dette a-t-elle été tout entière contractée dans l'intérêt général, ou bien peut-elle être considérée en partie comme illégitime? Qui détient ses titres et profite de l'austérité? Pourquoi les États sont-il obligés de s'endetter auprès des marchés financiers et des banques, alors que celles-ci peuvent emprunter directement et pour moins cher à la Banque centrale européenne?

Nous refusons que ces questions soient évacuées ou traitées dans notre dos par les experts officiels sous influence des lobbies économiques et financiers. Nous voulons y répondre nous-mêmes dans le cadre d'un vaste débat démocratique qui décidera de notre avenir commun.

En fin de compte, ne sommes-nous plus que des jouets entre les mains des actionnaires, des spéculateurs et des créanciers, ou bien encore des citoyens, capables de délibérer ensemble de notre avenir?

Nous nous mobilisons dans nos villes, nos quartiers, nos villages, nos lieux de travail, en lançant un vaste audit citoyen de la dette publique. Nous créons au plan national et local des collectifs pour un audit citoyen, avec nos syndicats et associations, avec des experts indépendants, avec nos collègues, nos voisins et concitoyens. Nous allons prendre en main nos affaires, pour que revive la démocratie.

Premiers signataires:


Marie-Laurence Bertrand (CGT); Jean-Claude Chailley (Résistance sociale); Annick Coupé (Union syndicale Solidaires); Thomas Coutrot (Attac); Pascal Franchet (CADTM); Laurent Gathier (Union SNUI-Sud Trésor Solidaires); Bernadette Groison (FSU); Pierre Khalfa (Fondation Copernic); Jean-François Largillière (Sud BPCE); Philippe Légé (Économistes atterrés); Alain Marcu (Agir contre le Chômage!); Gus Massiah (Aitec); Franck Pupunat (Utopia); Michel Rousseau (Marches européenne); Maya Surduts (Collectif national pour les droits des femmes); Pierre Tartakowsky (Ligue des droits de l'homme); Patricia Tejas (Fédération des Finances CGT); Bernard Teper (Réseau Education Populaire); Patrick Viveret (Collectif Richesse)

Philippe Askénazy, économiste; Geneviève Azam, économiste; Étienne Balibar, philosophe; Frédéric Boccara, économiste; Alain Caillé, sociologue; François Chesnais, économiste; Benjamin Coriat, économiste; Cédric Durand, économiste; David Flacher, économiste; Susan George, écrivain; Jean-Marie Harribey, économiste; Michel Husson, économiste; Stéphane Hessel, écrivain; Esther Jeffers, économiste; Jean-Louis Laville, sociologue; Frédéric Lordon, économiste; Marc Mangenot, économiste; Dominique Méda, sociologue; Ariane Mnouchkine, artiste; André Orléan, économiste; Dominique Plihon, économiste; Christophe Ramaux, économiste; Denis Sieffert, journaliste; Henri Sterdyniak, économiste.

Signer l'appel:

http://www.audit-citoyen.org/

25/10/2011

Nucléaire ?

En Allemagne, la révolution énergétique accélère la sortie de crise

Malgré la fermeture de huit centrales nucléaires en avril, à la suite de l'accident de Fukushima, l'Allemagne reste exportatrice net d'électricité. La nouvelle vient d'être confirmée par le bureau fédéral de la statistique : au premier semestre 2011, l'Allemagne bénéficie d'un solde exportateur net de 4 térawatt-heure (TWh), soit 4 000 gigawatt-heure.

Hans Josef Fell :
Député Vert au Bundestag
« Les pays qui ne développeront pas les énergies renouvelables perdront la compétition économique, explique-t-il. Ceux qui en resteront aux hydrocarbures garderont tous les problèmes qui leur sont liés. Et ce raisonnement s'applique aussi au nucléaire. Regardez : les deux pays qui sont sortis en premier de la crise économique sont l'Allemagne et la Chine. Tous les deux sont bons en énergies renouvelables. C'est le seul secteur industriel en développement, et il tire derrière lui les industries conventionnelles : l'aluminium, le verre, l'acier pour la fabrication des panneaux solaires et des turbines d'éoliennes

médiapart

24/10/2011

21/10/2011

En Sarkosie , pas d'Education performante pour nos enfants .. faut pas des sujets trop intelligents !!!!....!

Fonctionnaires : la purge continue


Le taux de participation aux élections professionnelles à l'Education nationale a chuté à 38,41 %, apprenait-on hier soir, alors que la mobilisation est traditionnellement élevée./Photo DDM, M. Salvet
Le taux de participation aux élections professionnelles à l'Education nationale a chuté à 38,41 %, apprenait-on hier soir, alors que la mobilisation est traditionnellement élevée./Photo DDM, M. Salvet

Le budget actuellement examiné à l'Assemblée prévoit que 55 % des fonctionnaires partant à la retraite ne seront pas remplacés en 2012. Ce pourcentage est supérieur à celui de la règle du « 1 sur 2 » mise en place par le gouvernement en 2008.

La purge continue chez les fonctionnaires. La politique du non-remplacement d'un départ à la retraite sur deux dans la fonction publique sera même encore plus dure en 2012. Le budget en discussion actuellement à l'Assemblée prévoit ainsi 30 400 nouvelles suppressions de postes, portant à quelque 150 000 le nombre d'équivalents temps plein supprimés depuis 2008.

Mais en raison d'un nombre moins élevé de départs en retraite anticipés, 55 % des fonctionnaires partant en 2012 ne seront pas remplacés selon le rapport de Gilles Carrez sur la loi de finance. Un pourcentage que le gouvernement a soigneusement évité d'évoquer et qui, en pleine année électorale, ne fera pas monter la cote de Sarkozy auprès des intéressés. L'économie résultant des suppressions de postes s'élèvera à 970 millions d'euros dont 50 % devraient être reversés aux agents.

Trois millions à voter

En attendant, trois millions de fonctionnaires ont commencé hier à élire leurs représentants lors d'un scrutin professionnel. Pour les syndicats, qui défendent leur droit à négocier mais aussi leurs moyens, l'enjeu est crucial, car les règles de représentativité ont changé avec la loi du 5 juillet 2010 sur la rénovation du dialogue social.




L'Education nationale la plus touchée

Alors que le malaise devient de plus en plus palpable chez les enseignants, c'est le ministère de l'Éducation nationale (14 000 suppressions de postes) qui sera le plus touché en 2012, suivi par la Défense (7 462), l'Intérieur (3 621) et le Budget (2 870). Deux ministères sont exemptés de diminution de personnels : la Justice, où 515 emplois seront créés, et l'Enseignement supérieur, où aucune suppression de poste n'est programmée. En revanche, les opérateurs de l'État (Pôle emploi, ONF, Météo France…) ne seront pas épargnés : 1 106 emplois disparaîtront en 2012, sur 373 456 équivalents temps plein.


extrait La Dépêche.fr

Le compost issu du trimécanobiologique va servir de lieu stockage à cette petite merveille.. !

Le bisphénol A, à faibles doses, favoriserait le stockage des graisses dans le foie


Dans une étude rendue publique le 18 octobre, des chercheurs de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra) ont mis en évidence que de faibles doses de bisphénol A (BPA) - jusqu'à 10 fois inférieures à la dose journalière admissible - favorisent le stockage des graisses dans le foie.

L'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a déjà publié, fin septembre, deux rapports mettant en évidence des effets sanitaires du BPA avérés chez l'animal et suspectés chez l'homme (fertilité féminine, pathologies cardio-vasculaires, diabète) ''même à de faibles niveaux d'exposition''.

Alain d'Alternative Citoyenne et la constituante...

L’ENJEU DES PRESIDENTIELLES : GERER LA CRISE OU REFORMER LES INSTITUTIONS DE LA REPUBLIQUE ?

Les deux enseignements des primaires :

l’infléchissement à gauche (la percée Montebourg) ;

une dynamique qui montre que nos concitoyens sont de plus en plus nombreux à vouloir se mêler au débat politique.

Il y a deux jours l’UPO nous a proposé une excellente conférence sur la casse des services publics et ses conséquences.

Les personnes présentes ont partagé le point de vue du conférencier : certes il faudra supprimer les niches fiscales, mettre les banques sous tutelle… moraliser la vie publique…mais ça ne suffira pas !

Car il faudrait aussi rompre avec un système économique qui écrase les hommes et pille la nature, dans le monde entier, pour le seul profit de quelques-uns uns.

Face à une telle nécessité, confier les clés du pays à un seul homme, celui qui sera élu président, ne modifiera en rien la face du monde, fut-il bien intentionné et moins « bling bling ». Tout au plus cela rendra-t-il la pilule moins amère…

Parce que les pressions objectives des puissants, de leurs réseaux, de leurs lobbies…seront toujours plus fortes que les attentes silencieuses de « la France d’en bas »…

Ségolène ROYAL, lors des précédentes présidentielles, avait beaucoup parlé de « démocratie participative »…sans pour autant la mettre en œuvre, là où elle le pouvait.

Et pourtant !

Réformer la constitution ? Instaurer une constituante ? L’idée fait son chemin…

Mais le peuple de France, chloroformé par le discours lénifiant des dominants…n’est pas préparé à prendre son destin en main. Il ne s’en croit pas capable, et préfère s’en remettre à des représentants qui sont davantage préoccupés par leur réélection que par le bien commun…

Alors il faudrait prouver le pas en marchant…

Martine a rappelé l’existence de « cafés citoyens ».

A l’issue de la conférence il s’est aussi dit qu’il faudrait prendre cette direction, se rencontrer entre « gens » des trois communes des Olonnes…

Chiche !

Il paraît que « le poisson à roulettes », à la Chaume, organise déjà de tels débats…

Notons le !

Alain GUYOT

Président d’Alternative Citoyenne

Au Château d’Olonne

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