29/04/2016
Combien les entreprises gagnent-elles réellement ?
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
27/04/2016
mais bon ! ils louchent encore vers la droite et l'extrême droite ..malgré cela !voici un graphique du déficit des 28 dernières années 14 de droite et 14 de gauche ont peut y voir que le déficit cumulé droite est de 998M et celui de Gauche 638M que le déficit moyen droite est 71M et celui gauche 45M ......
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
la liberté de désinformer : Réfléxion faite ! ( Obs)
En quelques mois, on est
devenu attentif à l'émission "Affaires sensibles" que Fabrice Drouelle
anime quotidiennement (à 15 heures) sur France Inter. Le mot "affaires"
doit être entendu au sens large. Ce peut être un scandale de la
corruption comme les frégates de Taïwan, la première du "Dernier Tango à
Paris" de Bernardo Bertolucci en 1972, le récit d'une vie comme celle
de Françoise Giroud ou le vote négatif au référendum de 2005 sur le
projet de Constitution européenne. Le récit est bien mené, les documents
sonores rassemblés souvent saisissants, et les explications
rétrospectivement avisées.
Du coup, on a l'impression de découvrir enfin les tenants et aboutissants d'un événement dont on avait capté, à l'époque, les seuls échos médiatiques haletants, incomplets, approximatifs, voire controuvés.....la suite ? http://teleobs.nouvelobs.com/polemique/20160315.OBS6438/le-mensonge-ingenu.html
Du coup, on a l'impression de découvrir enfin les tenants et aboutissants d'un événement dont on avait capté, à l'époque, les seuls échos médiatiques haletants, incomplets, approximatifs, voire controuvés.....la suite ? http://teleobs.nouvelobs.com/polemique/20160315.OBS6438/le-mensonge-ingenu.html
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
26/04/2016
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
si nous arrivons à ce jour ....TMB ohé ohé !
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
qu'en dise les journaleux ? ...bof !
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
25/04/2016
parce que nous avons tous des petits et grands enfants !
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
18/04/2016
....apprendre à écouter ? négocier? entendre .? amender le projet ,.pas vraiment dans notre culture ...mais plutôt flirter avec les coups de menton ou le bruit des bottes .. sans
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
17/04/2016
Les sociétés d'aujourd'hui ont du mal à reconnaître et à gratifier convenablement ceux-là même qui rendent la modernité vivable, qui en corrigent les excès ou les égoïsmes.
Jour après jour, les médias retentissent
de clameurs et de revendications particulières. Taxis, juges,
policiers, paysans, enseignants : chaque corporation réclame son dû.
Stricto sensu, il s'agit bien d'un effacement du bien commun au profit
des corporatismes. On aurait pourtant tort d'analyser ces tumultes en
termes exclusivement quantitatifs. Ceux-là voudraient 7 % de mieux,
d'autres réclameraient un coup de pouce à leur salaire, et ainsi de
suite. Le quantitatif n'est qu'un aspect des choses. Peut-être pas le
plus important. On ne devrait pas oublier la dimension qualitative, à
savoir l'humiliation ressentie par les uns et par les autres. A ce
sujet, le cas des enseignants est exemplaire. A lire leurs tribunes,
leurs banderoles, leurs interviews, c'est bien cela qui prévaut. Leur
refus d'une réforme du collège ou leur prévention contre Najat Vallaud-Belkacem
n'est peut-être pas l'essentiel. Le ton de leurs slogans, le sentiment
d'abandon ou d'incompréhension qui s'exprime ne ressemblent pas à des
discours de lobbyistes ou de syndicalistes en action. Non, ces
témoignages sont plus directs, et souvent sans calculs précis.
Journaliste
Placés en première ligne dans
un contexte de dislocation sociale, les enseignants ont vu durant les
dernières décennies - et très injustement - se dégrader leur statut. A
l'heure des médias, de l'individualisme irréductible, d'internet, des
réseaux sociaux et de l'argent roi, le prof a perdu du terrain dans
l'imaginaire adolescent. Disons qu'il doit désormais accomplir une tâche
à la fois plus ardue et moins gratifiée. Chaque jour, chaque semaine,
chaque mois, voilà qu'il doit reconquérir sa légitimité. Effort
psychologiquement harassant qui justifie, me semble-t-il, que les profs
soient devenus ultrasensibles aux marques de dédain dont ils peuvent
être l'objet de la part de leur hiérarchie. Plusieurs ministres de l’Éducation nationale - à commencer par Claude Allègre, calamiteux ministre de 1997 à 2000 - n'avaient pas compris cela.
Si le cas des enseignants est emblématique,
c'est que d'autres professions partagent leur sort et souffrent de la
même injustice : une faible reconnaissance sociale, un niveau de vie
modeste et - en même temps - une responsabilité civique considérable.
Citons les infirmières, les travailleurs sociaux, les magistrats (qui ne
bénéficient plus vraiment de l'éphémère célébrité des "petits juges"),
les permanents associatifs, les inspecteurs du travail… Tous ont en
commun de tenir en quelque sorte la société debout dans la tempête.
C'est sur eux que repose la solidarité minimale faute de laquelle les
plus démunis seraient à l'abandon.
A leur sujet, il ne s'agit pas
d'aligner des considérations bêtasses ou démagogiques. Contentons-nous
de pointer un paradoxe : les sociétés d'aujourd'hui ont du mal à
reconnaître et à gratifier convenablement ceux-là même qui rendent la
modernité vivable, qui en corrigent les excès ou les égoïsmes.
D'instinct, le bavardage ambiant réserve plutôt ses admirations aux condottieri de
la finance, aux patrons mirobolants, aux milliardaires incultes, aux
animateurs télé à tête de pois chiche. Bref, à tous ceux qui paradent
sur le devant de la scène. Les autres, les utiles, les anonymes qui
assurent la maintenance du théâtre lui-même ne voient guère leur utilité
sociale reconnue comme elle le mériterait.
Oui, il y a là un énorme paradoxe : celui qui voit notre système de "représentations symboliques" (comme
le disait Emile Durkheim) distribuer ses places et ses gratifications
d'une manière inversement proportionnelle à l'utilité réelle de chacun.
Nous mettons sous les sunlights et nous admirons assez servilement les
malins de tout poil. Aux autres, nous réservons une attention distraite,
tout en exigeant d'eux le maximum. En toute logique, ce devrait être
l'inverse. Une société devrait, grosso modo, révérer ceux qui lui sont
le plus utiles au lieu d'idolâtrer ceux qui la parasitent.
Citons la phrase cinglante
de Chateaubriand au sujet de la noblesse. Pour elle, disait-il, il y
aura eu - historiquement - l'âge des services, l'âge des privilèges et
l'âge des vanités. Aujourd'hui, il me semble que les titulaires de
privilèges, et ceux qu'habite la vanité, occupent tout l'espace public.
C'est au détriment de tous ceux qui, vaille que vaille, assurent les
services. Ce dangereux décalage est un défi. Pour apaiser l'humiliation
des citoyens, il faut bien autre chose qu'un petit coup de pouce au
pouvoir d'achat.
Jean-Claude GuillebaudJournaliste
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
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Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
16/04/2016
Très beau moment
Ce matin j'étais à l'inauguration du Ponton du patrimoine. Merci et bravo à Loulou et à son équipe de bénévoles pour leur investissement, leur travail et leur amour des bateaux et de la mer.
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
IL N'EST PAS NÉCESSAIRE d'être grand clerc pour comprendre que François #Hollande a fait mouche hier soir lors de l'émission #"Dialogues citoyens".
Il suffit
pour cela de voir et d'entendre l'acharnement que mettent les medias
d'opposition - de tous bords - pour tenter de désamorcer l'impact
politique de la prestation du #Président.
Précis et concret, loin des querelles politiciennes, il s'est attaché à
répondre à plusieurs des préoccupations du quotidien des français.
Convaincant.
Il a tenu également à défendre son bilan -pas encore
définitif tant il est vrai que le quinquennat s'achève en 2017-.
Logique...Qui mieux que lui pour l'expliquer malgré les vaines
tentatives de déstabilisation de Léa Salamé
Hier soir, visiblement, le Hollande-bashing a pris un coup sur la
cabucelle . Quant aux médias, ils ont beaucoup gagné... en discrédit,
apparaissant pour ce qu'ils sont : des opposants politiques. Tant pis
pour eux.
Il serait grand temps que les médias fassent leur propre mea culpa. Vous ne croyez pas ?
Jean Claude Guilbeaud s'est bien exprimé sur les médias ...lire lus loin...
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Gérard
Filoche, ancien inspecteur du travail et syndicaliste a répondu à
l’invitation d’ATTAC Vendée et sera présent le samedi 23 avril à la
Roche-sur-Yon.
Il donnera une explication du contenu de la loi travail Elkhomri et en détaillera les mesures les plus polémiques. Il présentera les reculs éventuels du gouvernement ainsi que les propositions d’amendements qui sont faîtes en ce moment à l’Assemblée Nationale par les députés.
Enfin, en débat, se posera la question des mobilisations, citoyennes avec les « Nuits Debouts » ou syndicale.
Le samedi 23 avril à 14 h 30 salle Kik Box à 2 km de la Roche-sur-Yon direction la Ferrière
Entrée libre
Il donnera une explication du contenu de la loi travail Elkhomri et en détaillera les mesures les plus polémiques. Il présentera les reculs éventuels du gouvernement ainsi que les propositions d’amendements qui sont faîtes en ce moment à l’Assemblée Nationale par les députés.
Enfin, en débat, se posera la question des mobilisations, citoyennes avec les « Nuits Debouts » ou syndicale.
Le samedi 23 avril à 14 h 30 salle Kik Box à 2 km de la Roche-sur-Yon direction la Ferrière
Entrée libre
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
sans paroles
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
les révélations bientôt impossibles ..auraient-ils peur pour eux mêmes ou leurs copains ?
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
09/04/2016
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
appel à la raison ( envoi de " Vivre les Sables")
Chères amies, chers amis,
La tristesse
m’envahit. À cause de moi, de ce que je vois autour de moi, mais surtout
à cause des actes bien trop timorés des dirigeants de notre monde. Chaque jour, deux enfants se noient en Méditerranée, et cela continuera tant que nous ne prendrons pas nos responsabilités au sujet de la pire crise humanitaire de ces 70 dernières années.
L’accord sur les réfugiés récemment signé par l’Europe avec la Turquie est inhumain, insuffisant et probablement illégal. On entend partout que c’est la seule manière de mettre fin à cette crise, mais c’est faux: des alternatives existent.
Une opportunité s’offre à nous dans quatre jours: le 30 mars, l’ONU organise un Sommet international d’urgence avec un objectif simple:
si la France et tous les pays qui le peuvent y font un effort, cette
crise peut être résolue. C’est tout à fait possible: alors que depuis
2014 seuls 651 réfugiés syriens ont été réinstallés en France, le Canada
vient d’offrir un refuge à 25 000 Syriens en tout juste trois mois!
Mais il nous revient de montrer que c’est ce que souhaite l’opinion
publique.
Un écran est installé à l'intérieur du Sommet de l'ONU, là où les délégués doivent passer pour se rendre aux réunions. Nous y projetterons nos messages! Si
chacun d’entre nous envoie une photo ou un message souhaitant la
bienvenue aux réfugiés, nous pouvons montrer à tous nos gouvernements
que leurs citoyens attendent d’eux des solutions urgentes. C’est une opportunité unique de faire entendre nos voix: cliquez ici pour que votre famille ou votre ville soit représentée:
Dans le climat actuel troublé, de nombreux faits sont tout bonnement occultés: les réfugiés syriens sont composés aux trois quarts de femmes et d’enfants. Au cours de ces 6 derniers mois, plus de 340 enfants se sont noyés en Méditerranée! Les Syriens arrivés en Europe cette année ont fui les bombes qui pleuvaient sur Alep; quand on leur pose la question, ils répondent que leur désir le plus cher est de rentrer chez eux. Mais pour l’heure, ce “chez eux” n’est qu’un champ de ruine. C’est une question de bon sens et d’humanité de répondre à ce désastre par un engagement solidaire de chaque pays.
Adopter
un plan commun, où chaque gouvernement prendrait l’initiative de
contribuer de manière équitable à l’effort collectif, ne constitue en
rien une idée révolutionnaire: depuis la crise des réfugiés de la
Seconde Guerre mondiale à l’insurrection de Budapest en 1956, des
“boat-people” vietnamiens aux conflits dans les Balkans, des millions de personnes ont été accueillies de manière humaine et sûre. C’est juste une question de volonté politique.
Les
voix extrémistes se servent des récents attentats tragiques d’Ankara et
de Bruxelles pour exiger des politiques anti-réfugiés encore plus
répressives. Et pourtant, nous savons bien que l’immense majorité des
personnes qui fuient la Syrie risquent tout ce qu’elles ont, y compris
leur vie, pour échapper à l’exacte même terreur qui frappe l’Europe
aujourd’hui.
Si nous parvenons à faire
entendre à François Hollande et à tous les dirigeants que nous voulons
une politique migratoire reposant sur des valeurs d’unité et d’humanité,
et non sur la division et la peur, nous pouvons changer le cours de
l’histoire et mettre fin à cette tragédie. Cliquez ici pour envoyer une photo ou un message maintenant, et faisons résonner nos voix venues du monde entier lors de la conférence de l’ONU:
https://secure.avaaz.org/fr/stand_with_refugees_a/?bwjpIab&v=74479&cl=9731192340
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
04/04/2016
lever le voile
Ce que prouvent les « Panama papers », c’est avant tout qu’à l’heure de
la mondialisation financière, et malgré les révélations successives et
la volonté affichée des Etats à réguler les paradis fiscaux, il demeure toujours aisé pour les banques et leurs clients de se jouer
des réglementations nationales. Ce ne sont pas les lois contre le
blanchiment qui manquent, mais le contrôle de leur application qui doit
être renforcé, partout dans le monde. Le système financier dans son
ensemble se doit de réguler le grand Meccano de l’offshore. Il a tout à y
gagner.
http://www.lemonde.fr/panama-papers/article/2016/04/03/chefs-d-etat-sportifs-milliardaires-premieres-revelations-des-panama-papers-sur-le-systeme-offshore-mondial_4894816_4890278.html
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
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