31/05/2016
Fusion : OUI à la consultation de la population au Château d'Olonne
Lundi 30 mai, le conseil municipal s'est prononcé sur l'organisation de
la consultation des Castelolonnais sur la création de la commune
nouvelle. Cette consultation était une promesse de campagne de tous les
candidats en 2014. J'ai donc voté « POUR » la consultation de nos
concitoyens sur cette question si importante pour notre territoire et
notre vie quotidienne. Il aurait paru inconcevable que les habitants du
Château d'Olonne ne soient pas consultés sur le devenir de leur propre
commune ! Cela aurait été un déni de démocratie, et comme je l'ai dit un
reniement de nos promesses électorales.
La question qui sera
soumise au vote est la bonne. D'abord, elle concerne les trois communes,
si fusion il y a, elle doit se faire à trois et non à deux, ce qui
n'aurait aucun sens. A aucun moment pendant la campagne des élections
municipales de 2014 une fusion à deux n'a été envisagée. Aujourd'hui,
ceux qui se risqueraient à cela commettraient une erreur politique
majeure.
Ensuite, si fusion il y a, en effet, elle ne doit pas se
faire avant le 1er janvier 2019, pourquoi? D'abord pour laisser le
temps à la future communauté d'agglomération et aux agents de nos
collectivités de se mettre en place paisiblement. Ensuite parce que cela
permettra à tous les représentants de la population élus en 2014
d'aller jusqu'au bout de leur mandat, dans le respect des règles
élémentaires d'une démocratie. Cela signifie qu'il y aurait 99
conseillers municipaux (33 par commune), cette situation n'est tenable
que sur un temps transitoire et court avant les prochaines élections de
2020, d'où le fait que la commune nouvelle ne puisse se mettre en place
qu'à partir du 1er janvier 2019. Et je tiens à préciser que les élus
souhaitent conserver leur mandat non pas pour leur indemnité, car seuls
les maires, les adjoints et les conseillers délégués en bénéficient,
mais pour respecter le vote des électeurs.
Maintenant, sur le fond de la question, quels sont les facteurs de réussite de la création d'une commune nouvelle?
Comme tout projet, la construction d'une commune nouvelle nécessite de respecter des étapes indispensables à sa réussite. Certaines communes, qui se sont engagées trop rapidement ou qui se sont focalisées sur les aspects financiers, connaissent parfois des difficultés imprévues. Faute d'anticipation, une certaine impréparation plonge les territoires dans des difficultés jusqu'à à entrainer des désaccords publics entre élus, voire des démissions de conseillers municipaux.
La création d'une commune nouvelle ne peut être une réussite sans une volonté commune autour d'un projet d'avenir, et d'une vision partagée du territoire co-construit avec les acteurs locaux soutenue par tous.
L'esprit d'équipe entre les maires de nos trois communes et la volonté de « construire ensemble » sont fondamentaux. La création d'une commune nouvelle doit s'inscrire dans un véritable projet de territoire, pensé et réfléchi par des élus et des citoyens qui partagent une même vision de l'organisation territoriale. Les communes qui réussissent sont celles qui se fondent sur un projet clair et précis. Est-ce le cas aujourd'hui ?
En effet, pour être une réussite, la commune nouvelle doit avoir un projet inscrit sur le long terme, partagé, identifié et co-construit par tous. Les plus belles réussites proviennent de communes qui ont su faire partager leur projet de territoire dès le début en associant élus et population. L'enjeu est donc de jouer la carte du partage de l'information et de l'association à la décision. Il faut donc un projet co-construit avec les élus, avec les personnels des collectivités, avec la population; afin que chacun puisse s'identifier au nouveau projet, au nouveau territoire et au nouveau nom de la commune. Est-ce le cas aujourd'hui ?
Comme tout projet, la construction d'une commune nouvelle nécessite de respecter des étapes indispensables à sa réussite. Certaines communes, qui se sont engagées trop rapidement ou qui se sont focalisées sur les aspects financiers, connaissent parfois des difficultés imprévues. Faute d'anticipation, une certaine impréparation plonge les territoires dans des difficultés jusqu'à à entrainer des désaccords publics entre élus, voire des démissions de conseillers municipaux.
La création d'une commune nouvelle ne peut être une réussite sans une volonté commune autour d'un projet d'avenir, et d'une vision partagée du territoire co-construit avec les acteurs locaux soutenue par tous.
L'esprit d'équipe entre les maires de nos trois communes et la volonté de « construire ensemble » sont fondamentaux. La création d'une commune nouvelle doit s'inscrire dans un véritable projet de territoire, pensé et réfléchi par des élus et des citoyens qui partagent une même vision de l'organisation territoriale. Les communes qui réussissent sont celles qui se fondent sur un projet clair et précis. Est-ce le cas aujourd'hui ?
En effet, pour être une réussite, la commune nouvelle doit avoir un projet inscrit sur le long terme, partagé, identifié et co-construit par tous. Les plus belles réussites proviennent de communes qui ont su faire partager leur projet de territoire dès le début en associant élus et population. L'enjeu est donc de jouer la carte du partage de l'information et de l'association à la décision. Il faut donc un projet co-construit avec les élus, avec les personnels des collectivités, avec la population; afin que chacun puisse s'identifier au nouveau projet, au nouveau territoire et au nouveau nom de la commune. Est-ce le cas aujourd'hui ?
C'est donc avec ces différents questionnements que les Castelolonnais devront se prononcer le 11 décembre 2016.
30/05/2016
Fédération des Oeuvres laîques
J'étais
présent à l'assemblée générale de la Fédération des Œuvres Laïques au
Château d'Olonne. Très heureux pour Simone et Lydie qui ont reçu les
médailles de la Ligue de l'enseignement. Une distinction bien méritée
après tant d'années d'engagement bénévole.
|
En France, les dividendes ont bondi de plus de 50% au premier trimestre
Près de 4,5 milliards de dollars de dividendes ont été reversés aux actionnaires de sociétés françaises entre janvier et mars 2016, selon une étude. Cette forte hausse sur les trois premiers mois de l'année s'explique par les 1,5 milliard de dollars de dividendes versés par le groupe Vivendi, présidé par Vincent Bolloré.
Quand il s'agit de récompenser les actionnaires, l'heure n'est pas à la restriction. En France, toutes les sociétés ont maintenu ou augmenté leurs dividendes en euros au premier trimestre 2016, selon une étude du gérant d'actifs Henderson Global Investors publiée lundi. Porté par le dividende exceptionnel du groupe de médias Vivendi (1,5 milliard de dollars), l'Hexagone a ainsi connu une hausse des dividendes de 51,3%. Plus modérée, la hausse des dividendes sous-jacents s'établit tout de même en hausse de 5,3% par rapport à la même période l'an passé.
En Europe, hors Royaume-Uni, les dividendes ont progressé de
10,8%, grâce, outre Vivendi, aux sociétés pharmaceutiques suisses
Novartis et Roche. "Les dividendes de l'Allemagne, de la
France, de l'Espagne et de la Suède ont tous atteint entre 4 et
5 milliards de dollars", note l'étude. Alex Crooke,
spécialise du sujet chez Henderson Global Investors, cité dans le
communiqué souligne :
"Le premier trimestre est une période relativement calme pour l'Europe, mais les résultats de la région sont de bon augure pour la période cruciale qu'est le deuxième trimestre, lorsque les sociétés européennes paient la majeure partie de leurs dividendes annuels."
De son côté, le Royaume-Uni a souffert, avec une baisse de 5% des
dividendes et devrait connaître une année morose, les groupes
miniers britanniques ayant réduit leurs paiements.
1.180 milliards de dollars de dividendes en 2016 ?
Dans le monde, le montant total des dividendes mondiaux a atteint
218,4 milliards de dollars (+2,2%) sur les trois premiers mois de
l'année, soit une hausse de 4,7 milliards de dollars sur un
an, grâce à l'Amérique du Nord, l'Europe et le Japon. En outre,
les variations de change ont moins influencé que par le passé les
résultats, alors que les dividendes sont convertis en devise
américaine pour le besoin de l'étude. La hausse du dollar en 2015
avait en effet eu tendance à pénaliser la croissance des
dividendes dans le monde. L'an passé, 1.150 milliards de dollars
de dividendes avaient été reversés, en baisse de 2,2% à cause des
effets de change.
Pour l'année 2016, Henderson estime que les dividendes devraient
augmenter de 3,9% dans le monde pour atteindre 1.180 milliard de
dollars, bénéficiant de la légère baisse de la devise américaine.
La loi santé prévoit la mise en place d’une information nutritionnelle synthétique, simple et accessible à tous. La mise à disposition de cette information est volontaire de la part des producteurs et distributeurs.......
http://www.leolagrange-conso.org/un-feu-tricolore-dans-lalimentation/
Les associations nationales de consommateurs sont des parties prenantes naturelles qui participent activement aux travaux de normalisation à l’échelle nationale, d’abord, mais aussi à l’échelon européen et international. Cette participation nécessite quelques moyens financiers.
la suite ....en un clic
http://fr.ulule.com/defense-consommateurs/
http://www.leolagrange-conso.org/le-crowdfunding-une-alternative-face-au-desengagement-de-letat-en-normalisation/
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