CONSTRUIRE L'AVENIR ENSEMBLE
 

30/06/2011

en réponse aux inquiétudes

LE GRAND COMPLEXE AQUATIQUE : UN PROJET AMBITIEUX SÉDUISANT…MAIS

Au début des années 70, le maire de Cabourg (célèbre station balnéaire du littoral normand) après avoir racheté le casino en confie la direction à Bruno Coquatrix dont le nom restera attaché aux grandes heures de l’Olympia de Paris.

Du coup, le casino de Cabourg va accueillir les plus grandes vedettes de l’époque : Piaf, Brel, Bécaud, Distel…

Fort de ce succès, et de ce regain de prestige, Bruno Coquatrix se présente lui-même aux élections municipales en 1971 et devient maire de la ville.

Dans son programme il s’est engagé à accroître encore le lustre de la station (il s’agit à l’époque de détrôner Deauville, station qui draine quelques-unes des plus grandes fortunes parisiennes. Faisant preuve d’ambition il annonce, notamment, qu’il va doter sa station d’une piscine de … 100 mètres !

Après une première étude, Bruno Coquatrix revoit ses ambitions à la baisse : une piscine mesurant cette fois 50 mètres est désormais envisagée, sans pour autant que les travaux soient engagés…puisque rien n’est fait avant son décès qui survient en 1979.

La nouvelle équipe municipale qui lui succède fait enfin aboutir le projet de piscine et l’associé de mon père est choisi pour le concrétiser.

Cette piscine, une fois réalisée, comprendra finalement un bassin de… 25 mètres, et comportera 4 couloirs.

Il faut savoir qu’après le « premier choc pétrolier » les premières mesures gouvernementales relatives à la réduction de la consommation énergétique sont intervenues. Et , dans ce domaine, les piscines sont les premiers équipements sportifs concernés …

A l’époque déjà certains élus avaient compris que même l’ambition avait un prix… !

Revenons à nos préoccupations Olonnaises.

Désirer un grand bassin ludique de 50 mètres n’est pas stupide.

L’idée est même terriblement séduisante.

Simplement elle a un coût !

Considérer que les équipements dédiés à l’éducation et à la formation n’ont pas à être rentables est un point de vue que je partage totalement.

Je suis d’accord : nos impôts doivent notamment permettre de donner à l’éducation une meilleure place, de faciliter l’insertion sociale et professionnelle des jeunes, de favoriser l’accès à la pratique sportive, de promouvoir les pratiques artistiques et culturelles…de réduire les inégalités, d’aboutir en quelque sorte à ce que notre société devienne meilleure et collectivement plus intelligente.

Oui ! mais comme l’argent est cher, il nous faut aussi nous assurer de la pertinence des choix budgétaires.

Mon raisonnement a donc été le suivant : la piscine (telle qu’elle est actuellement prévue) coûtera chaque année en fonctionnement entre 700.000 et 1M d’euros aux contribuables.

Pour un grand complexe comprenant un bassin de 50 mètres il faudrait sans doute doubler cette somme.

Un projet « plus ambitieux » entraînerait donc chaque année une dépense de fonctionnement supplémentaire conséquente, à la charge de la CCO, et donc des contribuables que nous sommes.

L’intérêt ne serait certes pas négligeable.

Mais j’ai pour ma part la faiblesse de penser qu’il serait plus utile de dépenser cette somme autrement et de financer d’autres actions.

Le Pays des Olonnes manque par exemple de petites salles affectées en permanence à la pratique du théâtre amateur (dont l’immense intérêt demeure sous-estimé) , à la mise en place d’ateliers d’écriture, aux musiques amplifiées…

Des salles de réunions destinées à promouvoir une citoyenneté de proximité devraient être également mises à la disposition d’associations de quartier dont il conviendrait d’encourager la création…

L’ouverture de jardins familiaux serait, par ailleurs, bienvenue…

Tout ceci, pour le coup, affirmerait une véritable ambition.

Amuser les jeunes et les moins jeunes…leur permettre de se détendre…n’est pas inintéressant.

Leur donner les moyens de devenir les acteurs de leur existence, tant au plan individuel que collectif, devrait cependant constituer l’un des objectifs majeurs des élus.

Là réside l’un des principaux enjeux de la politique.

29/06/2011

le bisphénol menaçant la santé ! étonnant non ?




Le BPA conduirait à une féminisation des souris mâles
Des chercheurs de l'Université du Missouri ont publié lundi une étude qui montre que des souris mâles exposées au stade foetal au BPA se comportent davantage comme des femelles et sont affectées dans leur capacité à s'orienter dans leur environnement. "Les souris femelles ne veulent pas s'accoupler avec les souris mâles qui ont été exposées au BPA et ces dernières ont les plus grandes difficultés à naviguer spatialement pour trouver des partenaires sexuelles", explique Cheryl Rosenfeld, principal auteur de cette étude.
L'Inserm soulignait récemment qu'une exposition au BPA chez l'animal induit des effets au niveau du développement des organes de la reproduction et de la fonction de la reproduction. Ainsi, chez la femelle, les études montrent des risques sur une puberté précoce, des altérations de l'utérus, du vagin et de l'ovaire. Chez le mâle, certaines études révèlent des effets sur l'appareil génital (diminution de la production de spermatozoïdes, hypotrophie testiculaire, hypertrophie prostatique…) et sur la fertilité (diminution de la taille des portées…).
La période fœtale constitue également une période critique autour de laquelle une exposition au BPA pourrait favoriser l'apparition de lésions précancéreuses.
Objet : Les océans seraient à la veille d'une crise biologique inédite depuis 55 millions d'années (Le Monde)

bonjour,
Défendre le littoral, c'est aussi défendre les océans...
Jean-Pierre


Des experts redoutent un effondrement des écosystèmes marins du fait du réchauffement, de l'acidification des mers et des pollutions
>
La sévérité du diagnostic est telle qu'il est difficile d'en imaginer les tenants et les aboutissants. Selon un panel d'une trentaine d'experts, réunis mi-avril à l'université d'Oxford (Royaume-Uni) dans un colloque interdisciplinaire, la magnitude des bouleversements qui, du fait des activités humaines, affectent les océans est inédite depuis au moins 55 millions d'années. Et sans doute beaucoup plus.
Les conclusions du colloque, organisé à l'initiative de deux organismes non gouvernementaux - l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et l'International Programme on the State of the Ocean (IPSO) - ont été rendues publiques, mardi 21 juin. Elles feront l'objet d'un rapport agrémenté de recommandations, qui sera prochainement communiqué aux Nations unies.
L'objectif du rapport - dont l'intégralité n'a pas encore été rendue publique - n'est pas d'apporter des résultats de recherche inédits ou des observations nouvelles. Il est plutôt de synthétiser les travaux récents sur des questions aussi diverses que les changements des paramètres chimiques de l'océan, l'impact des pollutions locales ou globales, de la surpêche, de l'augmentation des températures des eaux de surface, etc.
Cette synthèse, inédite, offre une photographie globale de l'état des mers du globe, jugé " choquant " par Alex Rogers, directeur scientifique de l'IPSO et professeur de biologie de la conservation à l'université d'Oxford. Si les tendances actuelles se maintiennent, un effondrement des écosystèmes marins à une large échelle est, selon les auteurs, probable d'ici 2020 à 2050.
En particulier, les eaux de surface de l'Océan absorbent une part importante des émissions anthropiques de dioxyde de carbone (CO2), ce qui conduit à leur acidification. Celle-ci se produit à une vitesse inédite depuis le maximum thermique du paléocène-eocène, qui, il y a 55 à 56 millions d'années, a connu une extinction de masse.
Au cours de cette crise biologique, explique Jelle Bijma (Alfred Wegener Institute for Polar and Marine Research) dans une étude de cas annexée au rapport, le cycle du carbone a été perturbé par l'introduction dans l'atmosphère d'environ 2 milliards de tonnes (Gt) de CO2 par an pendant 5 000 à 10 000 ans - les causes de ce bouleversement sont encore débattues. C'est un taux près de quinze fois inférieur aux quelque 30 Gt de CO2 émises aujourd'hui, chaque année, par les activités humaines.
Les rapporteurs constatent qu'un " trio mortel ", bien connu, est à l'oeuvre dans les océans de la planète. Extension des zones anoxiques (privées d'oxygène, souvent par les effluents agricoles), augmentation de la température, accroissement de l'acidité de l'océan : le triptyque qui marque la situation actuelle est analogue à ce qui a prévalu lors de la plupart des cinq précédentes grandes crises biologiques, intervenues au cours des temps géologiques.
Mais les effets sont plus rapides. Les auteurs notent ainsi qu'en 1998, un unique événement de blanchissement des coraux - vraisemblablement en partie lié à une forte anomalie de température - a conduit à une destruction de 16 % des coraux tropicaux mondiaux. Or ces derniers sont un réservoir crucial de la biodiversité marine.
Dans la situation présente, les grandes modifications physico-chimiques de l'Océan sont aggravées par le fait que la résilience des écosystèmes marins est mise à mal par la surpêche et la pollution globale des mers. La pêche a ainsi réduit de 90 % certains stocks de poissons tandis qu'au niveau mondial, 63 % des stocks sont surexploités ou déjà sérieusement réduits.
Quant aux pollutions, les nouvelles études montrent qu'indubitablement les plastiques, les retardateurs de flammes chimiques et les perturbateurs endocriniens se sont fermement installés jusque dans les zones polaires, où les biologistes les retrouvent dans les organes des animaux de ces régions, pourtant éloignées de toute activité industrielle.
" Lorsque nous considérons les effets cumulés de la manière dont l'humanité agit sur l'Océan, les implications deviennent bien pires que ce que nous avions réalisé individuellement, a déclaré M. Rogers. C'est une situation très sérieuse qui exige une action univoque, à tous les niveaux. " L'ampleur des dégâts observés et le rythme de leur aggravation est, insistent les auteurs, au-delà de tout ce qui avait été précédemment prévu ou anticipé dans la littérature scientifique.
Le rapport met en avant quelques recommandations-clés : baisse des émissions de dioxyde de carbone, réduction des prélèvements sur les stocks de poissons les plus fragiles, réglementation des activités en haute mer et réduction des rejets chroniques de résidus chimiques dans les océans.
Stéphane Foucart
  • Cinq grandes extinctions
    >
    Ordovicien-silurien Il y a environ 450 millions d'années (Ma), quelque 60 % de tous les genres biologiques disparaissent.
    Dévonien Il y a 370 Ma, 70 % des espèces, marines pour l'essentiel, disparaissent.
    Permien-trias Il y a 250 Ma, 90 % des espèces disparaissent.
    Trias-jurassique Il y a 200 Ma, environ 50 % de tous les genres biologiques disparaissent.
    Crétacé-tertiaire Il y a 65 Ma, la chute d'un astéroïde entraîne la disparition de près de 60 % des espèces.

27/06/2011

COORLIT communique sur le barrage

COORLIT 85 - Association agréée (art.L 141-1 du CE) régie par la Loi du 1er juillet 1901 - Membre du réseau FNE
Siège social : 62 rue des Normands 85100 LES SABLES D’OLONNE
Tél 02 51 95 23 04 Courriel coorlit85@wanadoo.fr
Communiqué

Il n'y aura pas d'enquête publique pour le projet de barrage sur l'Auzance : COORLIT
85 salue la sage décision de M. le Préfet de la Vendée, dont le choix est justifié par "
l'insécurité juridique qui pèse sur ce dossier ".
En effet, le projet est en contradiction avec le principe de non-détérioration des cours
d'eau, principe inscrit dans les lois et règlements, comme notre association l'a maintes fois
souligné.
En outre, il suffit d'observer le débit de l'Auzance pour s'interroger sur la capacité de
cette petite rivière à remplir un barrage ; d'ailleurs, ne comptait-on pas sur celui du Jaunay
pour limiter le manque ?
La logique veut donc qu'on abandonne ce projet. Au total, on évite de dégrader la
rivière, et on échappe à un bilan hasardeux – ainsi que, financièrement, à une facture très
élevée, les dommages environnementaux à compenser étant importants.
Le temps est donc venu de se tourner vers d'autres solutions. Tout d'abord, on doit
chercher à consommer moins d'eau ; une campagne médiatique de sensibilisation est urgente
et indispensable.
Mais cela ne saurait dispenser d'une remise en cause sévère des pratiques agricoles et
de la politique d'urbanisation qui accroissent sans cesse les besoins en eau, comme si cette
ressource était inépuisable…alors que le changement climatique va la restreindre.
Au final, une bonne décision qui nous conduit vers plus de réalisme.
27/06/2011
Contact : 02 51 95 23 04
Coordination des Associations Environnementales
du Littoral Vendéen
COORLIT 85

25/06/2011

BARRAGE projet abandonné

bravo et merci à ,tous ceux et celles qui ont œuvré pour que les solutions multiples soient reconnues plus responsables qu'un énième barrage en béton

24/06/2011

projet de piscine de la CCO

Le projet de piscine de la CCO : une polémique révélatrice !

La presse s’est fait l’écho de la polémique dans laquelle se sont engagés le maire d’Olonne et Cap Vrai après la décision prise par la CCO de retenir le site des Plesses.

Premier constat : Moreau et Rossignol ont une conception très particulière de la démocratie ! S’agissant du premier, rien d’étonnant : comme son ancien mentor, Moreau considère que seuls ses choix sont « les bons »…

N’ayant pas été suivi sur ce dossier par la majorité des membres de la CCO (quelle audace !), il a par suite fait preuve d’arrogance, et claironné que les avis exprimés par les chefs d’entreprise des Olonnes et les trois communes de la CCAV (qui lui étaient favorables ) auraient du prévaloir …et que la CCO serait finalement punie de ne l’avoir pas compris !

Rien de bien surprenant en vérité, puisque la Vannerie c’est chez lui, et qu’il se voit déjà patron du Pays des Olonnes et de ses alentours…

Et puis la Vannerie ça aurait permis de développer un « vrai » projet de piscine privée, avec commerces, hôtel…Un vrai projet qui aurait bien plu à Cap Vrai qui voit mal une collectivité gérer ce tye d’équipement public…

Cap Vrai , allié objectif de Moreau, a donc claironné qu’une fois de plus la CCO avait « mis la charrue avant les bœufs en choisissant le site d’implantation sans qu’aucun élu n’ait une idée du type de projet »…

Prenant cette attitude, Cap Vrai reste fidèle à lui-même.

Ses élus nous ont en effet habitués, au Château d’Olonne, à « tirer sur tout ce qui bouge », à tout critiquer, à se considérer comme experts en tout, à affirmer qu’on ne leur présente jamais de « vrais » projets et qu’on leur demande toujours « de signer des chèques en blanc », allant jusqu’à laisser entendre que les commissions préparatoires auxquelles ils ont assisté ou auraient dû assister …ne produisent rien !

Sur ce dernier point le président de la CCO et le maire du Château ont répondu que le vote incriminé a été précédé d’un travail de réflexion engagé par la commission « sport » en relation avec le cabinet conseil, lequel a conduit l’étude, évalué les besoins, interrogé les différentes catégories d’utilisateurs….afin que la CCO puisse préciser les grandes lignes du projet.

Alors pourquoi prétendre qu’il n’y a pas de projet, si ce n’est par souci de nuire et de contester systématiquement le travail des autres ?

A cette habituelle mauvaise foi se mêlent des arrière-pensées électoralistes.

A défaut d’être aux commandes, Cap Vrai, déplorant que les élus « conduisent le Pays des Olonnes au déclin » , se présente opportunément comme la seule force politique capable de redonner de l’ambition à notre territoire.

C’est donc dans cette logique que Cap Vrai réclame à corps et à cri le « grand complexe aquatique » dont on veut nous priver…comme il a précédemment réclamé « un grand centre ville » et un « grand office du tourisme » au Château …

Et Cap Vrai, une nouvelle fois, ne manque pas d’idées , sur ce sujet comme sur tous les autres.

JC.Rossignol veut donc un bassin de 50 mètres. Rien de moins ! et ajoute que ce type de bassin permettrait – cerise sur le gâteau - la pratique du plongeon…

Sans doute ignore-t-il que ce type de piscine entraîne des coûts de gestion extrêmement élevés puisqu’il majore significativement les dépenses de fonctionnement (recrutement de personnels supplémentaires, entretien de surfaces plus importantes, traitement de l’eau….), alors que sa valeur ajoutée demeure relativement minime.

Rappelons en effet qu’aucune piscine n’est « rentable ».

Sauf à proposer des coûts d’entrée prohibitifs et à faire payer les clubs et les scolaires, ce qui n’est ni souhaitable ni possible (sauf dans une logique ultra-libérale !), toute piscine dégage un déficit qui reste à la charge du contribuable. Et l’objectif ne peut pas être de rendre cette charge insupportable, sous prétexte de faire preuve d’ambition….

Envisager par ailleurs la pratique du plongeon nécessiterait que l’une des extrémités du bassin serve de fosse de réception et ait une profondeur d’eau suffisante pour que les plongeurs ne s’écrasent pas au fond.

Promouvoir la pratique du plongeon pourrait séduire quelques adeptes. Mais ce n’est pas raisonnable.

En réalité le Pays des Olonnes dispose déjà d’un bassin beaucoup plus grand et plus intéressant que celui proposé par Cap Vrai .

« Ce bassin s’appelle l’océan atlantique ».

Il accueille déjà la population en période de fréquentation maximale, et sans dépenses supplémentaires.

Voilà pourquoi le pré-projet de la CCO nous paraît convenir puisqu’il devrait notamment satisfaire les besoins recensés dans les deux domaines de la natation scolaire et de la pratique sportive en club.

Soit un bassin de 25m + un bassin ludique + des annexes à déterminer.

Ce nouveau complexe devrait voir le jour aux Plesses, c’est à dire au cœur du réseau de nos établissements scolaires, ce qui aurait dû réjouir tous les élus du Château, les deux autres communes, qui disposent chacune d’une piscine, ne pouvant s’estimer lésées.

Ce complexe sera donc directement accessible aux élèves de notre commune qui pourront, dans la plupart des cas, s’y rendre à pied, ce qui n’aurait pas été le cas pour la Vannerie.

Nos administrés auront pourtant noté que Cap Vrai ne porte aucune attention particulière à nos enfants et se préoccupe davantage du sort des élèves des communes du rétro-littoral, lesquels auraient dû, quelle que soit l’implantation retenue, se déplacer par car…

Il est vrai que ça prendra 3 ou 4 minutes de plus pour rejoindre le site retenu

D'où l'extrême déception du président de la CCAV et de Cap Vrai


Alain Guyot

23/06/2011

infos CNIID

Le 15 juin 2011,

Nom masculin – du verbe emballer, étymologiquement : mettre en balles, c’est-à-dire préparer et grouper des marchandises pour leur transport et stockage.

Objet ou matériau destiné à envelopper un produit aux différentes étapes de sa distribution, jusqu’à son utilisation par le consommateur final.
Autrefois couramment réutilisable, notamment par le biais de systèmes de consigne, l’emballage primaire (celui destiné au consommateur final) est aujourd’hui quasiment toujours jetable.

La fonction première de l’emballage est de protéger le produit durant son transport et son stockage. En tant que support de communication, l’emballage permet de transmettre au client des informations sur le produit, mais surtout de le lui faire acheter : design et messages accrocheurs, suremballage visant à assurer une visibilité optimale dans les rayons, etc.
Pas toujours justifiées, les multiples fonctions attribuées à l’emballage semblent le rendre indispensable. Il s’agit surtout de ne pas manquer d’arguments pour soutenir un secteur économique fleuron de l’industrie française, qui pèse environ 20 milliards d’euros de chiffre d’affaires.
Les milliards de tonnes de matières premières gaspillées, les millions de tonnes de déchets d’emballages produits chaque année, dont moins de la moitié seront recyclés, importent peu…

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L’emballage vu par Martin Vidberg pour le Cniid

Le rôle de l’emballage est étroitement lié au choix du mode de distribution des produits – alimentaires notamment. Si l’emballage est roi dans les rayons des hypermarchés, les circuits courts lui font une place plus conforme à ses fonctions d’origine. Les liens étant plus directs entre producteur et consommateurs, l’information utilise d’autres canaux.

Grâce à de soi-disant prouesses de recherche et développement (consistant par exemple à réduire la taille ou le grammage des cartonnages de suremballage), l’emballage d’aujourd’hui se proclame désormais « éco-conçu ». Supprimer le suremballage en question ? Chaque chose en son temps…

L’emballage du futur, nous promet-on, sera « intelligent » : il pourra surveiller la qualité de l’aliment, indiquer sa température. Et concevoir un emballage réutilisable ? Bien trop compliqué apparemment…

...


"Eau : le barrage sur l'Auzance est-il toujours pertinent ?


Le lieu-dit le Petit Besson, près de l'Auzance. C'est ici que le projet de barrage est envisagé.

Le Département s'apprête à prendre des décisions fortes pour en finir avec l'angoisse chronique du manque d'eau. Le barrage sur l'Auzance a perdu du terrain. Au point d'être remis en cause ?

Trois raisons pour le réaliser

Des besoins toujours plus grands

Face à une population qui augmente (840 000 habitants en 2040), le département doit trouver des ressources nouvelles, les besoins supplémentaires, d'ici 2025, étant estimés à 10 millions de m3.

Qui plus est, les besoins agricoles (environ 100 millions de m3), industriels aussi, restent très élevés. À l'évidence, le barrage de l'Auzance ne serait pas de trop dans un « bouquet » de ressources en eau. Vendée eau (1) a d'ailleurs déposé un nouveau projet à l'État voilà quelques semaines.

Cet après-midi, le préfet, Jean-Jacques Brot, devrait dire la suite (positive ou non) qu'il donne au barrage. Le conseil général dévoilera ensuite ses intentions.

Une si longue attente...

Quinze ans d'études en tous genres, des réunions publiques à répétition, des motions du conseil général, des terres achetées aux agriculteurs (500 hectares) par la Safer puis revendues à Vendée eau... « Que de temps perdu si le barrage ne se fait pas », s'agace le sénateur Jean-Claude Merceron. Depuis quelques mois, le Département travaille sur plusieurs scénarios, avec ou sans barrage, avec ou sans raccordement.

Moins cher qu'un raccordement avec la Loire

Les études comparatives seraient plutôt favorables au barrage. Celui-ci coûterait 25 millions d'euros en investissement pour le contribuable, « contre le double pour une conduite d'une centaine de kilomètres reliant le fleuve nantais à la Vendée », indique Bernard Laubiès, directeur de Vendée eau. Certains craignent aussi qu'en cas de sécheresse, la Loire alimente prioritairement la Loire-Atlantique plutôt que la Vendée.

Trois raisons pour l'enterrer

Il arrive trop tard

« Il y a urgence, analyse Joël Limouzin, président de la FDSEA. On ne peut pas prendre le risque d'une grave pénurie d'eau, il faut trouver des solutions rapidement. » L'option barrage paraît risquée, car sa concrétisation risque d'être longue. « Avec l'enquête publique plus les éventuels recours, si ça doit nous amener à 7 ou 8 ans de délai, on aura une crise avant », prédit Joël Limouzin. Joël Sarlot, vice-président du conseil général, fait preuve de pragmatisme. « Il vaut mieux un raccordement, même si ça n'est pas idéal, plutôt que rien du tout. » L'heure du barrage semble passée. Avec une retenue formatée pour contenir 8 millions de m3 (mais seulement 4 pour l'eau potable), la Vendée ferait encore de la corde raide une année sur cinq.

Des contraintes environnementales et législatives

La législation européenne est devenue très contraignante pour les barrages, coupables de perturber les milieux.

Certes, souligne Bernard Laubiès, « la réglementation européenne n'interdit pas d'en construire, mais c'est très restrictif ». Les porteurs de projet doivent notamment démontrer « qu'il n'y a pas d'autres solutions environnementales meilleures, à un coût qui ne soit pas disproportionné ».

Une définition réglementaire suffisamment floue pour alimenter toutes les interprétations. Avec derrière, le risque d'une bataille juridique à l'issue toujours incertaine.

D'autres solutions

Le transfert d'eau depuis la Loire paraît plus rapide à mettre en oeuvre. « C'est le plus sage, surtout si l'on doit faire face à des recours », estime Joël Sarlot.

Joël Limouzin n'est pas contre et plaide aussi pour le renforcement de l'interconnexion entre les barrages existants. « C'est la solution la plus intelligente. » L'usine de dessalement (dix ans seront nécessaires), les forages (2 millions de m3) et les économies d'eau (2 millions de m3 également) sont d'autres pistes à explorer.

Armand Reboux, président de La Facture d'eau, en propose une autre, plus explosive : changer les modes de culture, trop gourmands en eau. « Ça permettrait de disposer d'une ressource abondante et ça réglerait une bonne partie du problème. »"

Philippe ECALLE. Ouest-France


N.B n'oublions pas non plus, de nous méfier de certaines commissions ad-hoc élaborées pour mieux faire passer certains mauvais projets

22/06/2011

le projet barrage et une de ses conséquence imbéciles

L'APNO ( vendée Nature Environnement ) et la LPO nous alertent

PROJET DE PORT A BRETIGNOLLES


une ferme bio condamnée
Une des dernières fermes littorales de Vendée risque de disparaître engloutie
par un projet fou de port de plaisance dans les terres. Dernier témoin de ces
paysages ruraux-littoraux qui embaume encore nos souvenir de gamins, dernier
rempart à une urbanisation galopante, elle répond pourtant à tous les nouveaux
enjeux de l'agriculture du XXIème siècle: préservation de l'environnement avec
la pratique du bio, valorisation de l'espace et outil d'aménagement du territoire,
relocalisation de la production agricole, économie d'énergie avec la distribution
par les circuits courts, qualité des produits plébiscité par les consommateurs,
visite de ferme favorisant le lien social, le travail à échelle humaine.




OUI le port nous prend la majorité de nos terres (18ha/29ha), nous ne pourrons plus être agriculteurs. NON la municipalité ne nous a jamais rien proposé, indemnisation, replacement. NON l'étude d'impact ne mentionne jamais notre exploitation de manière significative comme uneexploitation entière et viable qui va disparaître. OUI l'enquête publique est importante, ouverte à tous, résidents, non résidents, vous tous. C'est le seul outil démocratique ou tous et chacun peuvent s'exprimer sur ce projet de grande envergure qui modifiera de façon définitive notre territoire

.
NOUS AVONS BESOIN DE VOTRE SOUTIEN

Faites savoir aux commissaires enquêteur votre attachement à cette forme d'agriculture. Dénoncer l'ignominie de la municipalité d'avoir imposé aux rédacteurs de l'étude d'impact de ne pas mentionner la ferme de la Normandelière. Si il y a beaucoup d'avis négatifs et de contres
propositions, les commissaires enquêteurs (personne nommée par le préfet, tous hors département,qui prennent les avis de tous) sont obligés de le mentionner dans leur rapport.
DU 20 JUIN ET AVANT LE 03 AOUT
3 façons de procéder :
-
Écrire un courrier personnel où vous exposez vos arguments, à envoyer à : Bernard Pipet, Présid

-Déposer votre avis sur un registre en mairie du lundi au vendredi de 8h30 à
12h30 et de 14h à 17h30 et le samedi de 9h à 12h30 -Tél : 02.51.22.46.00

-Rencontrer un des 5 commissaires à ces dates à la mairie :

-lundi 20 juin 2011 de 8h30 à 12h00
-J
eudi 23 juin de 14h30 à 17h30
-mercredi 29 juin de 9h00 à 12h00
- vendredi 1er juillet de 9h00 à 12h00
- mercredi 6 juillet de 14h30 à 17h30 -
-samedi 9 juillet de 9h00 à 12h00
- mardi 12 juillet de 14h30 à 17h30
-lundi 18 juillet de 9h00 à 12h0
-jeudi 21 juillet de 14h30 à 17h30
-mardi 26 juillet de 14h30 à 17h30
-vendredi 29 juillet de 9h00 à 12h00

-mercredi 3 août de 14h30 à 17h30

Pour nous soutenir quelques arguments :
-la ferme va disparaître, l'étude n'en parle pas alors que c'est une exploitation viable économiquement. -incroyable, la Chambre d'Agriculture a donné un avis positif au projet du port, quel est l'intérêt d'une chambre d'agriculture dans la réalisation d'un port ? -un des arguments de la municipalité est de préserver ces terres de l’urbanisme, or, les terres agricoles non seulement préservent, mais maintiennent le paysage et permettent par leur exploitation en agriculture biologique, une préservation de l’environnement, de favoriser la cohésion et le lien social par notre proximité des clients et le dynamisme de Brétignolles par notre présence sur le marché et à notre ferme. -nous répondons à une demande des consommateurs qui cherchent la qualité,le local, l'authenticité d'un produit, les circuits courts.
-l'image de ruralité que nous entretenons permet de garder une immage de commune rurale, calme, sereine, pas trop urbanisée, à une taille humaine et se démarquant de toutes celles d'à côté.
-nous participons largement à l'image de Brétignolles qui a la caractéristique d'être une commune littorale « à la campagne ».
-nous participons au développement touristique, présence de 30 à 40 personnes tous les soirs à la traite pendant l'été avec de nombreuses personnes qui reviennent d'une année sur l'autre, vente sur place de nos produits.
Et plus largement :
-le projet est pharaonique, ce qui semble contraire aux restrictions budgétaires en temps de crise et contraire au grenelle de l'environnement.

-cette dépense d'énergie a monopolisé la municipalité et empêché de faire émerger des
projets plus sages, plus « durables » et surtout plus innovants.

-ce projet va à l'encontre de la protection de l'environnement, il détruira une zone humide,
un cordon dunaire au rôle protecteur, des roches en mer, les digues vont forcément perturber les courants, l' ensablement...

-le port sera rempli de bateaux ventouses, qui ne bougent jamais ou sortent une semaine
l'été, donc sans aucun bénéfice pour « allonger la saison ». Bonne plume et merci

Nathalie Retail et David Fromont Ferme de la Normandelière 85470 Brétignolles sur mer Tél : 02.51.90.08.36 (laissez nous un message
Pour en savoir plus voici des liens utiles : http://www.non-au-port-a-bretignolles.com/



APNO


l’A.P.N.O. ( Association de Protection de la Nature du pays des Olonnes ) invite ses adhérents à sa prochaine sortie du 26 juin 2011 qui se déroulera sur une journée dans le sud Vendée selon le programme figure ci-dessous :
- 9h15/9h30 Rendez vous sur le parking de la jardinerie « Vive le jardin » route de Talmont au Château d’Olonne ( en cas de problème tel : 06 07 10 15 75 )
- 9h30 Départ en co-voiturage vers La Faute sur mer
- 10h15 Arrêt à la lagune de la Belle Henriette :
o Observation oiseaux
o Accès au cordon dunaire pour observation des changements dans le milieu suite à la remise en état après la tempête du 28/02/2010
( recolonisation du milieu , analyse des travaux)
- 11h30/45 Départ vers la pointe de l’Aiguillon
- 12h Arrivée à la pointe et pique –nique sorti du panier ( la dégustation de produits maison est autorisée)
- 13h/13h15 Découverte de la pointe :
Faune et flore ( modification du milieu suite à la tempête, nouvelles espèces)
- 15h Départ vers le rocher de la Dive
- 15h15 Arrêt à la Dive pour présentation du milieu
- 16h Départ vers la réserve naturelle nationale de St Denis du Payré via St Michel en l’Herm
- 16h15 arrêt à l’observatoire de la réserve géré par la LPO, accès gratuit les dimanches après-midi jusqu’à fin juin. Le moment et la période ne sont pas optimums mais le site est sur le trajet retour.
- 17h15 retour vers Les Sables d’Olonne
- 18h Arrivée
Cet horaire est indicatif et pourra être adapté selon les découvertes et la météo
Prévoir chaussures de terrain, vêtements pluie, jumelles, guide ornitho et botanique + pique nique.
Patrick Guéguen
Coordinateur sorties nature


A
ssociation pour la Protection de la Nature au pays des Olonnes
8 rue du Maréchal Leclerc
85100 Les Sables d'Olonne
E-mail : apnolonne@yahoo.fr Tél. 02-51-23-97-43
Site:
http://www.apnolonne.fr

PLACE AU PEUPLE

envoi d'Olivier O

http://www.gabrielamard.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=259:rivoluzione&catid=38:notescat&Itemid=53

08/06/2011

07/06/2011

DÉBAT CONTRADICTOIRE,
Mercredi 15 juin 2011 20h/22h30
Salle des Anciennes Écuries des Oudairies
LA ROCHE SUR YON


Le Comité Départemental pour des États Généraux du Service Public
(1) , qui s’est constitué en Vendée en 2010, organise une nouvelle initiative,
sous la forme d’un débat « alternatif » et contradictoire à ceux engagés
par Roselyne Bachelot, le thème central en sera
« LA PERTE D ‘AUTONOMIE »


En effet, « dépendance » ou « autonomie », le débat ouvert recouvre un enjeu de société
essentiel.
Il y a urgence à ouvrir un débat alternatif avec l'ensemble des acteurs,
organisations syndicales, associations, élus et citoyens, pour définir ce que nous exigerons
de faire, demain au niveau du département et nationalement.

La Vendée est une terre de paradoxes : notre département est reconnu pour son
taux de fécondité supérieur à la moyenne nationale, ce qui signifie que l’avenir des nouvelles
générations doit être pris à bras le corps. En même temps, à l’horizon 2040, il est
prévu une population vendéenne en augmentation de 240 000 personnes, ce qui fera du
département de la Vendée une communauté de 840 000 Vendéennes et Vendéens,
mais parmi laquelle 36 % auront plus de 60 ans.
On sait que par exemple, la moyenne des retraites en Vendée est inférieure à 800 euros
mensuels. Ou encore, que le coût moyen dans un EHPAD, du reste à charge pour la
personne âgée et sa famille, s’élève à 1500 euros sur tout le territoire français.
Cette situation inédite appelle à une réflexion de fond :
Quel projet peut nous animer pour que chacune et chacun puisse vivre sur notre territoire,
dans la dignité et la solidarité ? Et très concrètement, quel système, quelle organisation,
quels services et quel financement pour une réelle solidarité nationale face à la
perte d’autonomie ?




Interviendront dans le débat animé par Mme Evelyne Brault-Deluze (2)
· R P Williamson directeur de CLIC, cadre de santé, militant associatif santé et environnement.
· Evelyne Vander-Heym Ex directrice d’Hôpital, membre de la Commission nationale
santé PCF.
· Un Député de la Vendée (en attente de réponse).
(1) Il est composé d’organisations d’usagers, syndicales, politiques et d’élus.
(2) Mme Evelyne Brault-Deluze est Présidente départementale de l’ADSP de Luçon.
Dépendance ou perte d’autonomie ?

L'apéro citoyen de JUIN 2011


L'apéro citoyen de JUIN 2011

vous propose ,de venir échanger
Alors que de nombreux peuples
appellent au « changement »
ou à « la révolution »

Venez partager votre « indignation » et votre bonne humeur ce

Vendredi 10 JUIN 2011.



C'est au Bar « Le Poisson à Roulettes »
Rue St Nicolas à la Chaume
à partir de 18h.30


Nous vous rappelons que l'apéro citoyen se tient
chaque deuxième vendredi du mois et que nous attendons
vos propositions de thèmes pour les prochains
échanges.

Merci de diffuser largement ce message.
Nicolas, Caroline et Dorothée

réunion publique EELVe - aux Sables

Laurent Akriche vous invite à cette réunion du mercredi 8 juin - 20h30 salle de conférences à l'Abbaye de Ste Croix rue de Verdun

infos conosommation

Link to Consommateur, si tu savais...http://www.alain-bazot.fr/

Les Banques prises en flagrant débit sur le blog de QUE CHOISIR

04/06/2011

03/06/2011

01/06/2011

amnésie bien programmée

Serge BILLIG, conseiller municipal et porte parole du groupe de Gauche au Château d'Olonne , puis Alain Guyot , conseiller municipal de gauche président d'alternative citoyenne avaient œuvré l'un après l'autre et avec leur groupe d'opposition sur ce dossier , conjointement avec le groupe CAP VRAI

Depuis, la gauche au Château d'Olonne a repris son "indépendance" ceci explique pourquoi ni les journalistes, ni Cap Vrai n'ont cité cette dernière..un peu comme dans certains pays totalitaires dans lesquels il était courant de supprimer les anciens alliés des photos officielles ..
Il fallait bien évidemment que la justice passe enfin , nous avions fait de ce dossier un combat et étions allé au tribunal avec nos ex- alliés.... . Nous n'avons pas cependant comme certains la religion du complot systématique: élus... justice ..gestionnaires ..tous pourris ? nous ne sommes pas d'accord avec l'attitude de Cap Vrai, attitude arrogante, agressive, emportée..là où calme et responsabilité serait attendus. Mais c'est leur choix.
Alors non , ce n'est pas bizarre com
me le souligne le courageux anonyme. Nous attendons la suite avec calme et raison. Finalement, elle passe la justice avec une certaine lenteur..certes... mais avec la suppression des postes de fonctionnaires il faudra apprendre à attendre encore un peu plus longtemps. !

BIO : Fête du Lait chez nous


Ce sera en Vendée

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Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "