29/02/2016
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
TMB la fin ....!
Actualité tirée de Zéro Waste (Zéro déchets)
Un nouveau revers pour les projets de TMB
Un nouveau revers pour les projets de TMB
27 /01/2016
Actualité tirée de Zéro Waste (Zéro déchets)
Un nouveau revers pour les projets de TMB
27 /01/2016
1
Le 15 décembre dernier, le tribunal administratif de Pau a rendu un jugement qui condamne un peu plus l’avenir du procédé de tri mécano biologique (TMB), en annulant l’autorisation d’exploitation d’une nouvelle installation de TMB à Bordères sur l’Echez.
Au delà du verdict, c’est le fondement de la décision choisi par le juge qui se révèle particulièrement intéressant. Celui-ci s’est en effet basé sur les nouvelles dispositions relatives au tri à la source des biodéchets introduites dans le code de l’environnement par la loi de transition énergétique votée l’été dernier. Rappelons que cette loi fixe comme objectif la généralisation de tri à la source des biodéchets pour tous les producteurs d’ici 2025 et précise qu’à cette date, chaque citoyen devra bénéficier "d’une solution lui permettant de ne pas jeter ses biodéchets dans les ordures résiduelles". Tirant les conséquences de cet objectif, le législateur a précisé que le procédé de tri mécano biologique était ainsi devenu obsolète et que le développement de nouvelles installations “devait être évité”.
C’est précisement ce raisonnement qu’a suivi le Tribunal administratif de Pau pour annuler l’autorisation d’exploitation du TMB de Bordères sur l’Echez. Le jugement précise ainsi : “par ces dispositions, le législateur a annoncé de manière claire et précise un objectif de développement de tri à la source des déchets organiques [...], le législateur a également entendu tirer les conséquences de cet objectif en précisant qu’il devait d’ores et déjà être mis un terme au développement des installations nouvelles de tri mécano-biologiques des ordures ménagères résiduelles, lesquelles ne sont plus adaptées à cette nouvelle politique de prévention et de gestion des déchets, et sont même décrites par le législateur comme “non pertinentes” et “devant être évitées”.
Ce premier jugement confirme ainsi la portée juridique de ces nouvelles dispositions introduites à l’article L541-1 du code de l’environnement. Loin d’être de simples recommandations, elles sont opposables aux projets de création de nouvelles installations de TMB et peuvent justifier l’annulation d’une autorisation d’exploitation. C'est donc un signal fort pour tous les porteurs de projets de TMB qui devraient revoir leurs plans.
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
"Le projet de loi sur le travail suscite au sein de la gauche et du Parti socialiste, malaises et interrogations. Certains utiliseront un vocabulaire plus fort, mais ce qui est sûr, c'est qu'en l'état, il est très largement rejeté. Les expressions de parlementaires socialistes en ce sens se multiplient, y compris par notre 1er secrétaire, Jean-Christophe Cambadelis. Réaffirmer au sein de notre fédération que la vision de la société que nous portons est celle de l'émancipation, du progrès social, des valeurs collectives et solidaires est sain," Stéphane Ibarra
CFDT, CFE‐CGC, CGT, FSU, UNION SYNDICALE SOLIDAIRES, UNSA, UNEF,
UNL, FIDL
UNL, FIDL
Le droit collectif n’est pas l’ennemi de l’emploi
Les organisations syndicales de salariés et de jeunesse signataires se sont réunies ce
jour pour faire le point sur la situation sociale et économique notamment après la publication du projet de loi dit El Khomri, concernant la modification du Code du travail.
Ensemble et à des degrés divers, elles constatent que ce projet, élaboré sans réelle
concertation, va profondément changer la législation du travail et comporte des risques
pour les salarié‐e‐s et les jeunes qui aspirent à accéder à un emploi.
Les organisations signataires ne sont pas satisfaites de ce projet et demandent le retrait
de la barèmisation des indemnités prudhommales dues en cas de licenciement abusif et
des mesures qui accroissent le pouvoir unilatéral des employeurs.
Elles conviennent de travailler ensemble sur la construction de droits nouveaux, et sur
les autres articles du projet, notamment, sur les licenciements économiques, le forfaitjours, l’organisation du travail et la santé au travail, l’apprentissage, …
Les organisations signataires, conscientes des enjeux et des responsabilités du
mouvement syndical sont porteuses de propositions et sont disponibles pour engager le
dialogue permettant le développement de l’emploi, la lutte contre la précarité et la
sécurisation des droits des salarié‐e‐s.
Les organisations signataires se retrouveront le 3 mars prochain afin d’approfondir
leurs analyses.
dans les fédérations socialistes sont votées des motions dont la formulation: "est plus radicale encore que la déclaration commune des syndicats qui rejettent certains éléments du projet *"
*Stéphane Ibarra
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
27/02/2016
réveil douloureux ?
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
18/02/2016
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
16/02/2016
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
14/02/2016
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Accueil d'émigrés pour 1000 habitants !la France n'apparait donc pas ..
intervention de Robert Badinter le 14/2/16
http://www.marianne.net/robert-badinter-france-n-est-pas-condition-accueillir-les-migrants-qui-viendront-100234639.html
https://www.dailymotion.com/video/x35l7g9_meeting-en-soutien-a-l-accueil-des-refugies-temoignage-de-robert-badinter_news#tab_embed
petit rappel
sur 1000 personnes:
Liban.........232
Jordanie : ....87
Turquie :.......21
Canada :.........5
Allemagne :....2,4
Ukraine : .......2
Australie : ....1,4
U.S. : ............0,9
et nous ?
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
je connais et on est bien seul dans ce moment là ! et c'est irréparable ..on peut recoller les morceaux ..mais la coquille est irrémédiablement fragilisée
En France 3,2 millions de français sont exposés à un risque élevé de « burn out »
Ce
syndrome d’épuisement professionnel frappe sans distinction, cadres et
simples employés, salariés du public comme du privé. Il est la
conséquence d’un trop plein de travail, d’un trop plein de pression qui
mènent des hommes et des femmes à l’effondrement.
http://petition-burnout.fr/
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
de Vincent Rocquecave cet envoi ....
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
La ministre de l’écologie, Ségolène Royal, a demandé, vendredi 12 février, à l’Anses (Agence de sécurité sanitaire) le retrait des autorisations de mise sur le marché des herbicides contenant du glyphosate mélangé à des adjuvants à base d’« amines grasses de suif » (tallow amine), qui présentent des risques pour la santé.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/02/12/royal-demande-l-interdiction-d-herbicides-contenant-du-glyphosate-melange-a-certains-adjuvants_4864688_3244.html
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
13/02/2016
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
11/02/2016
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
lol !
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
08/02/2016
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Près de 60 millions de réfugiés, apatrides, exilés dans le monde en
2015. Une progression phénoménale. Des humains martyrisés, spoliés,
refoulés. Jean Ziegler, un des responsables de l'ONU, rappelle l'Europe à
ses devoirs et dénonce ses manquements à la convention sur les
réfugiés.
http://www.humanite.fr/jean-ziegler-la-tragedie-des-refugies-doit-provoquer-un-sursaut-mondial-598201
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
07/02/2016
nos sols !
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
ce que vous ne verrez pas à la TV
Lettre ouverte
Notre jeune collègue de mathématiques a mis fin à ses jours mercredi 27 janvier 2016. Il avait 27 ans et commençait tout juste dans le métier. Vincent était professeur stagiaire en mathématiques, tout comme Anne-Marie, comme Alice en français, ou Ana et Georges en anglais. L'équipe enseignante avait pourtant demandé au Rectorat, en juin dernier, de ne plus affecter de stagiaires dans notre collège. Personne ne peut ignorer les conditions difficiles dans lesquelles nous exerçons notre métier: insultes, incivilités, coups portés sur les adultes, dégradations des locaux, déclenchements incessants de l'alarme incendie, violence dans la cour, en classe ou devant le collège, harcèlements conduisant certains élèves à des absences répétées voire à des départs de notre établissement. Il se tient dans le collège plus de 15 conseils de discipline par an, et tout autant ne sont pas tenus pour faire baisser les chiffres... Il faut regarder les choses en face.
En quatre ans nous avons obtenu la création d'un poste supplémentaire de CPE. Or depuis notre dernière audience au rectorat en 2014, la situation, déjà préoccupante à l'époque, s'est fortement aggravée. L'Équipe Mobile de Sécurité a fait acte de présence de temps à autre, en simple observateur dont nous n'avons jamais lu les conclusions. Rien de plus. Aucun label ZEP, REP, Eclair ou autre, qui permettrait d'alléger les effectifs en classe, d'apporter des réponses à la violence et aux difficultés des élèves. On nous dit que le label fait peur, qu'il risque de pousser certains élèves vers le privé, de faire disparaître pour de bon la mixité sociale. Dans les faits, de nombreux élèves de CM2 évitent notre collège et partent dans le privé. D'autres le quittent en cours d'année, excédés, effrayés par le comportement des camarades et l'absence, de la part de l'institution, de réponse rassurante et de nature proprement éducative. Les professeurs stagiaires, l'an dernier, ont démissionné: celui de mathématiques en décembre 2014 puis celle de français en janvier 2015. Personne ne s'en est ému.
En septembre dernier, ils étaient cinq stagiaires, emplis d'espoir et d'appréhension à la fois, mais la foi a vite cédé la place au désenchantement et à l'angoisse la plus profonde. La réalité du terrain est cruelle: confrontation permanente au bruit et à l'indiscipline, difficulté voire impossibilité de faire cours, furie des élèves dans les couloirs, dans la cour de récréation ou au réfectoire, violence verbale et physique à l'encontre des adultes ou des élèves eux-mêmes, mépris affiché de l'autorité. Les rapports s'amoncellent, symptôme de l'impasse dans laquelle l'institution se trouve. Au final, quelle solitude pour chacun lorsqu'il se retrouve seul dans sa salle de classe! Quelle absence de reconnaissance de la part de notre hiérarchie, nous renvoyant sans cesse à notre responsabilité individuelle, remettant en cause nos compétences, nous rappelant que nous sommes « des professionnels et non des personnes » alors même qu'on nous somme d'incarner « la bienveillance » en toute situation! On nous punit même comme des enfants! On nous interdit même, dans une telle situation, l'exercice de notre droit de retrait!
Le soutien apporté par le collège n'aura pas suffi à aider Vincent. Aujourd'hui nous crions notre colère et notre désespoir. Quelle réponse nous est faite? Le secrétaire général adjoint de l'académie, M. Jean-Jacques Vial, a témoigné dans la presse locale, il considère que lier ce suicide à nos conditions de travail relève d'un «raccourci un peu grossier». L'article qualifie le collège Hubertine Auclert (affublé d'une belle faute d'orthographe) d'«établissement pas connu pour être compliqué». Quel mépris pour notre métier et le travail accompli! Quelle méconnaissance de la situation de notre établissement, alors même que le Rectorat est en possession de l'état des lieux déplorable dressé en 2014! Par ailleurs on nous propose un soutien psychologique individuel, là où nous dénonçons un dysfonctionnement institutionnel.
Le jour de ses obsèques, nous avons appris que Vincent était malade: son dossier médical n'était pas un secret pour l'institution. En toute connaissance de cause, il n'aurait jamais dû être envoyé dans notre collège. Le métier d'enseignant requiert une solidité certaine. Mais à l'heure où il faut absolument mettre des adultes dans les classes, on fait peu de cas de la santé mentale de chacun. Professeurs stagiaires, contractuels ou titulaires sont placés çà et là, qu'ils connaissent, ou pas, la réalité du terrain, qu'ils soient préparés, ou pas, à vivre les situations les plus déstabilisantes, qu'ils aient les épaules, ou pas, pour esquiver les coups. Une fois la porte de la classe fermée, les souffrances sont étouffées: on nous demande coûte que coûte de garder tous les élèves en classe, y compris ceux qui nous insultent et qui empêchent le cours de se dérouler. Et même si les souffrances parviennent jusqu'en salle des professeurs, muselées, elles ne passent pas la porte de l'établissement. Les enseignants souffrent en silence. Nos ministres nous imposent sans cesse de nouvelles réformes, comme des réponses à tous les maux. Nos pratiques pédagogiques ne sont jamais les bonnes, nous sommes, dit-on, responsables de ce qui nous arrive...
En tout cas, nous nous sentons collectivement responsables du décès de notre collègue. Personne n'a su préserver son intégrité physique et morale; personne, surtout pas le grand appareil de l'État.
Combien de Vincent faudra-t-il pour qu'on entende enfin la douleur des enseignants?
Un collectif de professeurs du collège Hubertine Auclert de Toulouse, le 1er février 2016
Notre jeune collègue de mathématiques a mis fin à ses jours mercredi 27 janvier 2016. Il avait 27 ans et commençait tout juste dans le métier. Vincent était professeur stagiaire en mathématiques, tout comme Anne-Marie, comme Alice en français, ou Ana et Georges en anglais. L'équipe enseignante avait pourtant demandé au Rectorat, en juin dernier, de ne plus affecter de stagiaires dans notre collège. Personne ne peut ignorer les conditions difficiles dans lesquelles nous exerçons notre métier: insultes, incivilités, coups portés sur les adultes, dégradations des locaux, déclenchements incessants de l'alarme incendie, violence dans la cour, en classe ou devant le collège, harcèlements conduisant certains élèves à des absences répétées voire à des départs de notre établissement. Il se tient dans le collège plus de 15 conseils de discipline par an, et tout autant ne sont pas tenus pour faire baisser les chiffres... Il faut regarder les choses en face.
En quatre ans nous avons obtenu la création d'un poste supplémentaire de CPE. Or depuis notre dernière audience au rectorat en 2014, la situation, déjà préoccupante à l'époque, s'est fortement aggravée. L'Équipe Mobile de Sécurité a fait acte de présence de temps à autre, en simple observateur dont nous n'avons jamais lu les conclusions. Rien de plus. Aucun label ZEP, REP, Eclair ou autre, qui permettrait d'alléger les effectifs en classe, d'apporter des réponses à la violence et aux difficultés des élèves. On nous dit que le label fait peur, qu'il risque de pousser certains élèves vers le privé, de faire disparaître pour de bon la mixité sociale. Dans les faits, de nombreux élèves de CM2 évitent notre collège et partent dans le privé. D'autres le quittent en cours d'année, excédés, effrayés par le comportement des camarades et l'absence, de la part de l'institution, de réponse rassurante et de nature proprement éducative. Les professeurs stagiaires, l'an dernier, ont démissionné: celui de mathématiques en décembre 2014 puis celle de français en janvier 2015. Personne ne s'en est ému.
En septembre dernier, ils étaient cinq stagiaires, emplis d'espoir et d'appréhension à la fois, mais la foi a vite cédé la place au désenchantement et à l'angoisse la plus profonde. La réalité du terrain est cruelle: confrontation permanente au bruit et à l'indiscipline, difficulté voire impossibilité de faire cours, furie des élèves dans les couloirs, dans la cour de récréation ou au réfectoire, violence verbale et physique à l'encontre des adultes ou des élèves eux-mêmes, mépris affiché de l'autorité. Les rapports s'amoncellent, symptôme de l'impasse dans laquelle l'institution se trouve. Au final, quelle solitude pour chacun lorsqu'il se retrouve seul dans sa salle de classe! Quelle absence de reconnaissance de la part de notre hiérarchie, nous renvoyant sans cesse à notre responsabilité individuelle, remettant en cause nos compétences, nous rappelant que nous sommes « des professionnels et non des personnes » alors même qu'on nous somme d'incarner « la bienveillance » en toute situation! On nous punit même comme des enfants! On nous interdit même, dans une telle situation, l'exercice de notre droit de retrait!
Le soutien apporté par le collège n'aura pas suffi à aider Vincent. Aujourd'hui nous crions notre colère et notre désespoir. Quelle réponse nous est faite? Le secrétaire général adjoint de l'académie, M. Jean-Jacques Vial, a témoigné dans la presse locale, il considère que lier ce suicide à nos conditions de travail relève d'un «raccourci un peu grossier». L'article qualifie le collège Hubertine Auclert (affublé d'une belle faute d'orthographe) d'«établissement pas connu pour être compliqué». Quel mépris pour notre métier et le travail accompli! Quelle méconnaissance de la situation de notre établissement, alors même que le Rectorat est en possession de l'état des lieux déplorable dressé en 2014! Par ailleurs on nous propose un soutien psychologique individuel, là où nous dénonçons un dysfonctionnement institutionnel.
Le jour de ses obsèques, nous avons appris que Vincent était malade: son dossier médical n'était pas un secret pour l'institution. En toute connaissance de cause, il n'aurait jamais dû être envoyé dans notre collège. Le métier d'enseignant requiert une solidité certaine. Mais à l'heure où il faut absolument mettre des adultes dans les classes, on fait peu de cas de la santé mentale de chacun. Professeurs stagiaires, contractuels ou titulaires sont placés çà et là, qu'ils connaissent, ou pas, la réalité du terrain, qu'ils soient préparés, ou pas, à vivre les situations les plus déstabilisantes, qu'ils aient les épaules, ou pas, pour esquiver les coups. Une fois la porte de la classe fermée, les souffrances sont étouffées: on nous demande coûte que coûte de garder tous les élèves en classe, y compris ceux qui nous insultent et qui empêchent le cours de se dérouler. Et même si les souffrances parviennent jusqu'en salle des professeurs, muselées, elles ne passent pas la porte de l'établissement. Les enseignants souffrent en silence. Nos ministres nous imposent sans cesse de nouvelles réformes, comme des réponses à tous les maux. Nos pratiques pédagogiques ne sont jamais les bonnes, nous sommes, dit-on, responsables de ce qui nous arrive...
En tout cas, nous nous sentons collectivement responsables du décès de notre collègue. Personne n'a su préserver son intégrité physique et morale; personne, surtout pas le grand appareil de l'État.
Combien de Vincent faudra-t-il pour qu'on entende enfin la douleur des enseignants?
Un collectif de professeurs du collège Hubertine Auclert de Toulouse, le 1er février 2016
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
La liste des marques d’eau qui possèdent des polluants dans leurs produits
On a pu relever des
polluants dans certaines marques d’eau en vente dans nos magasins. Selon
une étude menée conjointement par France libertés et 60 millions de
consommateurs, des polluants ont été retrouvés dans 10 bouteilles d’eau
sur les 47 examinées. Des micro-traces qui ne sont pas nuisibles pour la
santé mais une situation qui pose cependant la question de la pureté de
l’eau.
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
03/02/2016
ils nous ont déclaré la guerre ? résistons Michéle Rivasi propose .....
Manger bio, local et de saison... tel est l'un des meilleurs conseils à donner.
Lorsque cela est local vous pouvez vous assurer de la provenance du
produit, de son mode de production : dans une logique de circuit-court,
on peut facilement interroger un paysan et lui demander comment il
cultive sa terre et traite ses bêtes ! Lorsque cela est de saison cela
vient logiquement de moins loin, pollue moins, offre plus de garantie en
termes de circuit alimentaire.
http://alternatives.blog.lemonde.fr/2016/02/03/que-faire-apres-les-revelations-de-cash-investigation-sur-lagriculture-qui-tue/?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
02/02/2016
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
ce soir sur la 2
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
"Dans la France de 2016, oublieuse de cet irrespect fondateur qui fit longtemps sa force, plus beaucoup de monde n’ose montrer son cul aux riches."
Si notre époque se moque allègrement des politiques, du pape, des profs, des magistrats, de l’armée, etc., qui ose s’en prendre à la vraie, la seule puissance du moment : l’argent ? la suite ......un clic
http://teleobs.nouvelobs.com/polemique/20160201.OBS3734/qui-fera-peur-aux-riches.html
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
01/02/2016
et autour de vous ?
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Murmures pour la jeunesse
L'ancienne Garde des Sceaux y écrit notamment : "Céder à la coulée d'angoisse et se laisser entraîner, au lieu d'endiguer, signe la fin du Politique et de la politique. Le glas. Plus fatal que l'hallali."
http://www.francetvinfo.fr/politique/christiane-taubira/info-france-2-christiane-taubira-publie-cette-semaine-un-livre-requisitoire-contre-la-decheance-de-nationalite-intitule-murmures-pour-la-jeunesse_1293821.html
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
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