29/12/2015
Bonne Année à tous
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
reduire ses frais ?
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
28/12/2015
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
20/12/2015
Ca ne sert à rien d'avoir raison trop tôt ! et puis cela aura permis à Certain de finir sur le podium du conseil Génèral ..comme Pdt .alors !
Pas de chance pour les Vendéens qui "boufferont" de la nourriture frelatée par l'apport d'un compost nocif pour les sols agricoles et à plus long terme ...pour leur santé ..un seul conseil !! manger bio
Les projets d’unités de tri mécano-biologique sont-ils obsolètes ?
Publié le 30/09/2015 • Par Hélène
Huteau • dans : A la
une, actus
experts technique
En région parisienne, en Charente-Maritime, en Corse, des
projets d’usines de tri mécano-biologique sont remis en cause. A Angers, à
Montpellier, les dysfonctionnements de TMB-méthanisation s’accumulent. Enfin,
la loi de transition énergétique, qui programme la généralisation du tri des
biodéchets pour 2025, juge en conséquence « non pertinente » la création de
nouvelles unités de tri mécano-biologique de déchets collectés en mélange.
Obsolète, le TMB ?
Sans formellement les interdire, la loi de transition
énergétique pour la croissance verte (LTECV) du 17 août 2015 dissuade de
recourir aux usines de tri mécano-biologique (TMB) et impose aux collectivités
de mettre à disposition des citoyens une solution de collecte séparée de leurs
biodéchets d’ici 2025 (art. 70-4).
Si la solution de tri amont est privilégiée,
le tri en aval conserve-t-il un quelconque intérêt ?
envoi de la FEVE
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
19/12/2015
mise en fiche ...aussi !
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
18/12/2015
lanceur d'alerte ,
Selon une chercheuse du MIT, la moitié des enfants seront diagnostiqués autistes à cause du glyphosate d’ici 2025
La moitié des enfants seront autistes d’ici 2025, met en garde la
chercheuse principale du MIT (Massachussetts Institute of Technology)
Pourquoi ? Des preuves démontrent la toxicité du glyphosate provenant
de la sur-utilisation de l’herbicide Roundup de Monsanto sur notre
alimentation.
http://l1d.fr/la-moitie-des-enfants-seront-diagnostiques-autistes-a-cause-du-glyphosate-dici-2025/
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
le revenu universel gagne du terrain !
Finlande, Pays-Bas, Suisse... Le revenu universel va-t-il conquérir l'Europe ?
Par Lara Charmeil I Publié le 14 Décembre 2015
Officiellement attribué aux citoyens finlandais dès 2017, le revenu de base est actuellement en cours de discussion dans différents pays. "We Demain" fait le point sur les dernières avancées de cette solution possible à la crise de nos modèles économiques et sociaux. la suite ......
http://www.wedemain.fr/Finlande-Pays-Bas-Suisse-Le-revenu-universel-va-t-il-conquerir-l-Europe_a1538.html
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
parfois la vie c'est cela ...aussi !
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Le scandale LuxLeaks a éclaté il y a plus d’un an. A ce jour, les États ont accepté sous la pression médiatique de s’échanger a minima
les rescrits qu’ils accordent aux entreprises, mais les pratiques et
les montages d’optimisation fiscale n’ont pas changé. Notre objectif
politique est aussi clair que notre détermination est forte : les
multinationales doivent payer leurs impôts là où elles font leurs
bénéfices. Surtout, elles doivent accepter de s’acquitter du même taux
que les entreprises nationales et abandonner leurs montages visant à
dissimuler leurs profits. la suite .....
http://www.deputes-socialistes.eu/lutte-contre-levasion-fiscale-le-parlement-renforce-son-arsenal-de-propositions/
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
17/12/2015
pas pu résister !!!!
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
12/12/2015
une agglo fonctionnelle !
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
11/12/2015
un clic
http://webteamps.github.io/livre-noir-fn/
http://webteamps.github.io/livre-noir-fn/
Depuis juin 2014, à l’initiative du Premier secrétaire, Jean-Christophe
Cambadélis, le Parti socialiste a mis en place une équipe chargée,
notamment, de suivre les politiques menées dans les communes gagnées par
le Front national deux mois plus tôt.
Animée par Sarah Proust et Elsa Di Méo, Secrétaires nationales, cette équipe de militants bénévoles a assuré un suivi minutieux des actions, des déclarations – et des provocations – des responsables municipaux de l’extrême droite.
C’est par ce travail, qu’il a été possible de démasquer, lors des dernières élections départementales, la xénophobie et le racisme assumés de quelque 120 candidats frontistes.
C’est par cet investissement militant, enrichi par les nombreux échanges qui existent avec les collectifs de vigilance, des universitaires et des chercheurs, qu’il est aujourd’hui possible de tirer le bilan encore provisoire, mais déjà bien noir des municipalités frontistes.
Animée par Sarah Proust et Elsa Di Méo, Secrétaires nationales, cette équipe de militants bénévoles a assuré un suivi minutieux des actions, des déclarations – et des provocations – des responsables municipaux de l’extrême droite.
C’est par ce travail, qu’il a été possible de démasquer, lors des dernières élections départementales, la xénophobie et le racisme assumés de quelque 120 candidats frontistes.
C’est par cet investissement militant, enrichi par les nombreux échanges qui existent avec les collectifs de vigilance, des universitaires et des chercheurs, qu’il est aujourd’hui possible de tirer le bilan encore provisoire, mais déjà bien noir des municipalités frontistes.
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
allons voter unis !
Bon courage à nous ...
femmes et hommes de gauche
qui croyons encore
en la solidarité et la communauté
femmes et hommes de gauche
qui croyons encore
en la solidarité et la communauté
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
"Ce soir en Conseil communautaire nous allons acter la création de l'agglomération. Excellente chose."
Ce soir j'étais à l'Arbre de Noël de la CCO, moment poétique et joyeux pour les petits et les plus grands. Très joli spectacle du Conservatoire Marin Marais, bravo aux professeurs.
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
des possibilités ....
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
un dessin vaut parfois mieux qu'ne phrase : Le 10 décembre 1948 - Déclaration Universelle des Droits de L'Homme .
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
09/12/2015
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
trouve ce bilan ....ce ne sont pas les élections identiques..certes mais le fonds de commerce est le même .. alors ?
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
07/12/2015
vidéo France info
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Il va nous falloir réapprendre le courage !
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
06/12/2015
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
on n'a pas" le cul sorti des ronces" si les médias réussissent à avoir toutes les cartes en main !
Michel Onfray et la place de l’intellectuel Débats
L’intellectuel français a décidé de quitter le champ médiatique. C’est regrettable pour le débat public, estime Vincent Engel.
En annonçant sur un plateau télé sa décision de quitter le champ médiatique et de fermer son compte Twitter, Michel Onfray a suscité des réactions qui sont à l’image de celles que son rôle d’intellectuel, et la manière dont il l’assume, provoquent depuis longtemps. Elles sont surtout le reflet de l’incompréhension d’un penseur profond et original et du rejet que subissent les intellectuels aujourd’hui. Plus largement, du rejet d’une pensée qui entend mettre l’actualité à distance, proposer une réflexion approfondie sur des sujets éminemment complexes et se dégager des lectures du monde conditionnées par des idéologies qui confortent un néocolonialisme et une emprise sur le monde toujours plus grande de l’économique, et donc de structures dirigeantes supranationales et toujours plus dégagées des contraintes de la loi.
Puisqu’on m’a fait l’honneur, dans certains commentaires sur le forum des lecteurs, de me comparer à Michel Onfray – et c’est bien un honneur car je n’ai pas la prétention d’arriver à la cheville intellectuelle de cet homme dont j’admire la pensée et l’érudition, quand bien même je ne suis pas d’accord avec tout ce qu’il dit et écrit –, je commencerai en lui adressant un message personnel : je vous comprends mais je regrette cette décision.
Je comprends, car la situation vécue par Onfray doit être épuisante. On lui reproche de courir les plateaux et de ne penser à rien d’autre qu’à multiplier sa présence médiatique ; personne ne semble considérer que, ce faisant, il assume pleinement, à sa manière, une responsabilité d’intellectuel qui a une opinion – il n’a jamais prétendu qu’elle était la seule valable, mais il demande, et c’est la moindre des choses, que les arguments qu’on lui oppose soient étayés et développés – et qui entend la diffuser le plus largement possible. N’oublions pas que Michel Onfray est le fondateur des universités populaires, par lesquelles il entend proposer les meilleurs cours à ceux qui, de plus en plus, sont exclus d’un savoir et d’une instruction de qualité, approfondie, et sont soumis à l’abrutissement diffusé par la plupart des programmes télévisés.
Onfray, donc, est un rebelle, un anarchiste, un libertaire, et les écrits qu’il a consacrés à ce sujet sont passionnants. Or, comment peut-on définir cette pensée ? Difficile, certes, de la réduire et de la synthétiser puisque, par définition, elle est multiple ; mais il est néanmoins possible de distinguer quelques principes.
D’abord, la fédération. Pas celle qui est en train de ridiculiser la Belgique aux yeux du monde entier ; la fédération anarchiste est un réseau de cellules, de groupes à taille humaine où chaque individu jouit d’une véritable égalité. Entre ces groupes, nulle hiérarchie non plus, mais des échanges et des dialogues. Au sein des fédérations comme entre elles, un principe de solidarité et de mutualité, qui n’est pas incompatible avec l’indépendance et l’individualité. Solitaire et solidaire, pour reprendre la belle formule de Camus.
Ensuite, le refus de croire qu’un groupe, quel qu’il soit, détient une vérité qu’il pourrait imposer aux autres. Chaque groupe fonde ses règles de vie commune. Quand Onfray dit que le Mali a le droit d’imposer la charia, c’est dans cette logique, mais dans cette double logique : à la fois un droit autonome (auto-nomos, poser à soi-même sa propre loi) et refus de la logique hypocrite de l’Occident qui ne défend les droits de l’homme que dans les pays où il n’y a pas de pétrole.
La pensée libertaire repose également sur la provocation et la diffusion la plus large possible de ses idées. De ce point de vue, et en reprenant le principe de la fédération et des réseaux, on pourrait croire qu’Internet a été inventé par les anarchistes, ou du moins pour eux – ce qui est ironique, quand on sait que c’est l’armée américaine qui l’a développé. Mais c’est aussi révélateur d’une autre caractéristique des libertaires : le retournement des outils de « l’adversaire », ainsi que le démontrent quotidiennement les Anonymous.
Et donc, oui, Michel Onfray a usé (et abusé disent certains) des médias et des réseaux sociaux, Twitter en particulier. Mais les médias ont aussi profité de lui ; Onfray fait de l’audience. Il est, comme on dit dans le jargon radio-télé, un « bon client ». Vif, intelligent, cultivé – et toujours davantage que la plupart des interlocuteurs qui le défient dans une joute où la victoire du contradicteur n’a aucune importance, son seul rôle étant celui d’un boute-en-train, d’un « picador » chargé d’assurer le spectacle. Il l’a fait en connaissance de cause, évidemment, connaissant les risques, et parmi ceux-ci, le principal : n’avoir jamais le temps de développer une idée correctement, être coupé sans cesse, devoir ramasser sa pensée en une ou deux phrases.
La seconde récupération est plus compliquée : celle que Daesh a faite, en diffusant des vidéos où des propos du philosophe semblent lui donner raison et justifier ses actes de terrorisme. Dans un tel détournement des propos et de la pensée, il n’y a pas beaucoup de réactions possibles ; et Onfray a décidé d’annoncer, dans l’émission d’Ardisson, qu’il renonçait aux médias et à Twitter : « Si vous vouliez bien me faire la grâce d’imaginer qu’il faut plusieurs phrases pour exprimer une idée », a-t-il expliqué, tout en sachant que chaque phrase, prise isolément, peut être détournée. « Donnez-moi une phrase d’un homme, et je le condamne à mort », proclamait fièrement Fouquet-Tinville, grand fournisseur de têtes lors de la Révolution.
Dans le Nouvel Obs, Thierry de Cabarrus cache difficilement sa joie, même si, évidemment, il commence par mettre en doute la décision d’Onfray, lequel n’est à ses yeux qu’un monstre l’ego surdimensionné prêt à tout pour être dans la lumière, y compris à se contredire. Et c’est le reproche que l’on retrouve souvent à propos d’Onfray, et qui n’est possible que si l’on n’a pas pris le temps de le lire et de l’écouter attentivement.
En particulier par rapport à l’islam ; on lui reproche d’être passé d’une islamophobie à une islamophilie, d’abord en pointant ce qui, dans le Coran, justifiait les pires violences, puis en dénonçant la responsabilité de l’Occident dans la haine que les jeunes musulmans (de naissance ou convertis) peuvent lui porter. Mais il n’y a pas contradiction entre les deux points de vue, et pas plus de haine dans le premier que d’amour dans le second ; il ne s’agit que d’un constat objectif, fait par d’autres qu’Onfray.
D’un côté, nombreux, y compris dans le monde arabe, appellent à une relecture du Coran pour en « corriger » les passages les plus controversés, comme l’ont fait les autres traditions du Livre ; de l’autre, il ne faut pas nécessairement être adeptes des théories de la guerre des civilisations pour constater que l’Occident a effectivement semé la ruine et le désordre, et qu’il récolte en partie ce qu’il a semé.
Si vous ne voulez pas croire Michel Onfray, lisez et écoutez l’excellente émission de Matthieu Aron sur France Inter, « Secrets d’info », consacrée à « Daesh : autopsie d’un monstre » ou, pour aller plus loin encore, l’analyse remarquable d’Olivier Roy qui place ce terrorisme dans une histoire plus longue, celle de la révolte d’une génération qui ne trouve pas sa place et pour laquelle, aujourd’hui, la religion est le prétexte idéal – il s’agirait donc, pour Roy, non pas d’une radicalisation de l’islam mais d’une islamisation de la radicalité.
D’autres, proches d’Onfray, lui reprochent justement cette « fuite » ; « C’est quand on est attaqué qu’il faut faire face, se défendre et contre-attaquer ! Et non battre en retraite ! », s’écrie Serge Uleski sur le site Agoravox.
D’abord, pour tous ceux qui usent et abusent des médias, en particulier les responsables politiques qui, comme l’affirme Jacques Mouriquand sur son blog, participent « à la dévaluation de leur propre parole […] à l’instant même de l’envoi » de leurs tweets – critique qui, bien sûr, s’adresse aussi à Onfray, du moins dans le chef de Mouriquand, il faut replacer l’usage que le philosophe en a fait dans cette vision libertaire que j’ai tenté d’exposer. Ensuite pour le public, qui gagnerait sans doute à prendre le temps de lire les essais d’Onfray, non pas pour se laisser convaincre, mais pour élargir et nourrir leurs réflexions. Car contrairement à un Attali, des penseurs comme Onfray n’attendent pas que leurs lecteurs les approuvent ; les philosophes sont des « accoucheurs » de l’esprit, qui rappellent à chacun, comme Hamlet à Horatio, qu’il y a « plus de choses dans le ciel et sur la terre que ne peut l’imaginer ta philosophie ».
Je crois que Camus soutiendrait Onfray, même si cet autre compagnon de route des libertaires n’a jamais été aussi radical dans ses propos ni aussi provocateur. On peut ne pas aimer, on peut détester Onfray, on peut critiquer ses idées, souligner ses erreurs ; mais c’est cela, le débat. Onfray n’empêche personne de parler, de le critiquer, de l’attaquer. Il incarne, comme d’autres, avec d’autres, la liberté d’opinion et la liberté d’expression. Si Onfray se tait aujourd’hui, qui osera encore défendre une parole différente, provocatrice et intelligente, argumentée, construite ?
Peut-on espérer que, dans un temps que j’espère pas trop éloigné, on prendra le temps de juger Onfray sur le fond, sur ce que disent vraiment ses livres (et pas seulement ses déclarations dans les médias), non pas pour accueillir une parole d’évangile, non pas pour être d’accord avec lui, mais pour renouer avec le sens d’un vrai débat d’idées, qui rend tout le monde plus intelligent ? Notre monde en a grand besoin.
En annonçant sur un plateau télé sa décision de quitter le champ médiatique et de fermer son compte Twitter, Michel Onfray a suscité des réactions qui sont à l’image de celles que son rôle d’intellectuel, et la manière dont il l’assume, provoquent depuis longtemps. Elles sont surtout le reflet de l’incompréhension d’un penseur profond et original et du rejet que subissent les intellectuels aujourd’hui. Plus largement, du rejet d’une pensée qui entend mettre l’actualité à distance, proposer une réflexion approfondie sur des sujets éminemment complexes et se dégager des lectures du monde conditionnées par des idéologies qui confortent un néocolonialisme et une emprise sur le monde toujours plus grande de l’économique, et donc de structures dirigeantes supranationales et toujours plus dégagées des contraintes de la loi.
Puisqu’on m’a fait l’honneur, dans certains commentaires sur le forum des lecteurs, de me comparer à Michel Onfray – et c’est bien un honneur car je n’ai pas la prétention d’arriver à la cheville intellectuelle de cet homme dont j’admire la pensée et l’érudition, quand bien même je ne suis pas d’accord avec tout ce qu’il dit et écrit –, je commencerai en lui adressant un message personnel : je vous comprends mais je regrette cette décision.
Je comprends, car la situation vécue par Onfray doit être épuisante. On lui reproche de courir les plateaux et de ne penser à rien d’autre qu’à multiplier sa présence médiatique ; personne ne semble considérer que, ce faisant, il assume pleinement, à sa manière, une responsabilité d’intellectuel qui a une opinion – il n’a jamais prétendu qu’elle était la seule valable, mais il demande, et c’est la moindre des choses, que les arguments qu’on lui oppose soient étayés et développés – et qui entend la diffuser le plus largement possible. N’oublions pas que Michel Onfray est le fondateur des universités populaires, par lesquelles il entend proposer les meilleurs cours à ceux qui, de plus en plus, sont exclus d’un savoir et d’une instruction de qualité, approfondie, et sont soumis à l’abrutissement diffusé par la plupart des programmes télévisés.
Un penseur libertaire
Peut-être faut-il avant toute chose rappeler ceci : Michel Onfray est un philosophe libertaire. La pensée anarchiste et libertaire est sans doute une des plus difficiles à appréhender aujourd’hui, à l’heure où l’ultralibéralisme – qui n’a pas grand-chose à voir avec le libéralisme qui nourrit la Révolution française et fonde la démocratie représentative, mais c’est un autre débat – est capable de tout récupérer, y compris la révolte et la révolution. Le Che n’a-t-il pas été utilisé par la filiale luxembourgeoise de Dexia pour une campagne publicitaire ?Onfray, donc, est un rebelle, un anarchiste, un libertaire, et les écrits qu’il a consacrés à ce sujet sont passionnants. Or, comment peut-on définir cette pensée ? Difficile, certes, de la réduire et de la synthétiser puisque, par définition, elle est multiple ; mais il est néanmoins possible de distinguer quelques principes.
D’abord, la fédération. Pas celle qui est en train de ridiculiser la Belgique aux yeux du monde entier ; la fédération anarchiste est un réseau de cellules, de groupes à taille humaine où chaque individu jouit d’une véritable égalité. Entre ces groupes, nulle hiérarchie non plus, mais des échanges et des dialogues. Au sein des fédérations comme entre elles, un principe de solidarité et de mutualité, qui n’est pas incompatible avec l’indépendance et l’individualité. Solitaire et solidaire, pour reprendre la belle formule de Camus.
Ensuite, le refus de croire qu’un groupe, quel qu’il soit, détient une vérité qu’il pourrait imposer aux autres. Chaque groupe fonde ses règles de vie commune. Quand Onfray dit que le Mali a le droit d’imposer la charia, c’est dans cette logique, mais dans cette double logique : à la fois un droit autonome (auto-nomos, poser à soi-même sa propre loi) et refus de la logique hypocrite de l’Occident qui ne défend les droits de l’homme que dans les pays où il n’y a pas de pétrole.
La pensée libertaire repose également sur la provocation et la diffusion la plus large possible de ses idées. De ce point de vue, et en reprenant le principe de la fédération et des réseaux, on pourrait croire qu’Internet a été inventé par les anarchistes, ou du moins pour eux – ce qui est ironique, quand on sait que c’est l’armée américaine qui l’a développé. Mais c’est aussi révélateur d’une autre caractéristique des libertaires : le retournement des outils de « l’adversaire », ainsi que le démontrent quotidiennement les Anonymous.
Et donc, oui, Michel Onfray a usé (et abusé disent certains) des médias et des réseaux sociaux, Twitter en particulier. Mais les médias ont aussi profité de lui ; Onfray fait de l’audience. Il est, comme on dit dans le jargon radio-télé, un « bon client ». Vif, intelligent, cultivé – et toujours davantage que la plupart des interlocuteurs qui le défient dans une joute où la victoire du contradicteur n’a aucune importance, son seul rôle étant celui d’un boute-en-train, d’un « picador » chargé d’assurer le spectacle. Il l’a fait en connaissance de cause, évidemment, connaissant les risques, et parmi ceux-ci, le principal : n’avoir jamais le temps de développer une idée correctement, être coupé sans cesse, devoir ramasser sa pensée en une ou deux phrases.
La récupération
La première récupération possible est donc bien entendu celle qu’opèrent les médias français qui utilisent Michel Onfray autant que celui-ci les utilise. C’est de bonne guerre, sans doute, et le philosophe aurait peut-être pu s’en accommoder puisque cela s’inscrit dans une logique libertaire. Si on prend la peine de regarder, mais surtout d’écouter ces émissions, ce qu’y dit Onfray, la manière dont il se comporte physiquement, on est frappé par la maîtrise de l’homme, tant sur ses gestes que sur ses paroles. Et surtout, par sa capacité impressionnante de ne pas perdre le fil de sa pensée et de ne pas se laisser entraîner là où il ne veut pas aller – le plus souvent, vers des simplifications grotesques ou vers l’aveu qu’il soutiendrait Marine Le Pen ou Daesh.La seconde récupération est plus compliquée : celle que Daesh a faite, en diffusant des vidéos où des propos du philosophe semblent lui donner raison et justifier ses actes de terrorisme. Dans un tel détournement des propos et de la pensée, il n’y a pas beaucoup de réactions possibles ; et Onfray a décidé d’annoncer, dans l’émission d’Ardisson, qu’il renonçait aux médias et à Twitter : « Si vous vouliez bien me faire la grâce d’imaginer qu’il faut plusieurs phrases pour exprimer une idée », a-t-il expliqué, tout en sachant que chaque phrase, prise isolément, peut être détournée. « Donnez-moi une phrase d’un homme, et je le condamne à mort », proclamait fièrement Fouquet-Tinville, grand fournisseur de têtes lors de la Révolution.
Les jugements
La décision appartient à Onfray et à lui seul ; ce qui est par contre assez stupéfiant, ce sont certaines réactions, dont certaines combinent à la fois la médiocrité et la lâcheté, comme les couards qui bombent le torse en apprenant la mort de celui qu’ils détestaient mais qu’ils n’ont jamais osé affronter. Sur les forums, nombreux sont ceux qui se lâchent et assassinent verbalement celui qui, selon eux, aurait outrepassé tous les droits en s’imposant dans les médias et en « imposant » ses idées, en s’exprimant là où les autres doivent se taire – lecteurs et spectateurs souvent anonymes qui ne prennent pas un instant en considération qu’ils occupent eux aussi les médias et, somme toute, de manière bien plus massive et permanente que les plus populaires des intellectuels.Dans le Nouvel Obs, Thierry de Cabarrus cache difficilement sa joie, même si, évidemment, il commence par mettre en doute la décision d’Onfray, lequel n’est à ses yeux qu’un monstre l’ego surdimensionné prêt à tout pour être dans la lumière, y compris à se contredire. Et c’est le reproche que l’on retrouve souvent à propos d’Onfray, et qui n’est possible que si l’on n’a pas pris le temps de le lire et de l’écouter attentivement.
En particulier par rapport à l’islam ; on lui reproche d’être passé d’une islamophobie à une islamophilie, d’abord en pointant ce qui, dans le Coran, justifiait les pires violences, puis en dénonçant la responsabilité de l’Occident dans la haine que les jeunes musulmans (de naissance ou convertis) peuvent lui porter. Mais il n’y a pas contradiction entre les deux points de vue, et pas plus de haine dans le premier que d’amour dans le second ; il ne s’agit que d’un constat objectif, fait par d’autres qu’Onfray.
D’un côté, nombreux, y compris dans le monde arabe, appellent à une relecture du Coran pour en « corriger » les passages les plus controversés, comme l’ont fait les autres traditions du Livre ; de l’autre, il ne faut pas nécessairement être adeptes des théories de la guerre des civilisations pour constater que l’Occident a effectivement semé la ruine et le désordre, et qu’il récolte en partie ce qu’il a semé.
Si vous ne voulez pas croire Michel Onfray, lisez et écoutez l’excellente émission de Matthieu Aron sur France Inter, « Secrets d’info », consacrée à « Daesh : autopsie d’un monstre » ou, pour aller plus loin encore, l’analyse remarquable d’Olivier Roy qui place ce terrorisme dans une histoire plus longue, celle de la révolte d’une génération qui ne trouve pas sa place et pour laquelle, aujourd’hui, la religion est le prétexte idéal – il s’agirait donc, pour Roy, non pas d’une radicalisation de l’islam mais d’une islamisation de la radicalité.
D’autres, proches d’Onfray, lui reprochent justement cette « fuite » ; « C’est quand on est attaqué qu’il faut faire face, se défendre et contre-attaquer ! Et non battre en retraite ! », s’écrie Serge Uleski sur le site Agoravox.
Le bénéfice du doute et le doute du bénéfice
Et si, en prenant du recul, Onfray avait simplement voulu rappeler l’essentiel ? Qu’une pensée riche et complexe – la sienne ou celle de n’importe qui – nécessite du temps et de l’ouverture d’esprit pour être comprise. L’apport majeur d’Onfray à notre temps, ce sont ses livres – et ils sont nombreux. Dans ces ouvrages comme sur les plateaux télés, il y aborde tous les sujets qui touchent à notre temps, assumant ainsi pleinement son rôle d’intellectuel. Mais hélas, il y a infiniment moins de lecteurs prêts à lire des centaines de pages que de téléspectateurs heureux de savourer dix minutes de polémique à l’écran. La retraite que s’impose Onfray – et j’espère qu’elle ne durera pas éternellement – est une invitation à une retraite semblable pour tous.D’abord, pour tous ceux qui usent et abusent des médias, en particulier les responsables politiques qui, comme l’affirme Jacques Mouriquand sur son blog, participent « à la dévaluation de leur propre parole […] à l’instant même de l’envoi » de leurs tweets – critique qui, bien sûr, s’adresse aussi à Onfray, du moins dans le chef de Mouriquand, il faut replacer l’usage que le philosophe en a fait dans cette vision libertaire que j’ai tenté d’exposer. Ensuite pour le public, qui gagnerait sans doute à prendre le temps de lire les essais d’Onfray, non pas pour se laisser convaincre, mais pour élargir et nourrir leurs réflexions. Car contrairement à un Attali, des penseurs comme Onfray n’attendent pas que leurs lecteurs les approuvent ; les philosophes sont des « accoucheurs » de l’esprit, qui rappellent à chacun, comme Hamlet à Horatio, qu’il y a « plus de choses dans le ciel et sur la terre que ne peut l’imaginer ta philosophie ».
Une crainte
On peut cependant redouter que ce silence soit d’une certaine manière une nouvelle victoire de la terreur, tout comme la montée de la peur et du tout-sécuritaire. En ces jours si particuliers, je ne peux m’empêcher de penser sans relâche à Camus – qu’Onfray connaît si bien – et je me demande ce qu’il ferait. Lui aussi était un intellectuel engagé, présent dans les médias. Rédacteur en chef de Combats, il a fustigé la liesse macabre qui s’était emparée de la presse occidentale au lendemain d’Hiroshima, sans être pour autant un spécialiste de l’armement ou du nucléaire. En homme, en philosophe, en intellectuel, il a pris parti, il a défendu ses positions dans des situations douloureuses et complexes, comme la guerre d’Algérie. Il a été conspué, moqué. Mais tout comme Onfray dit très justement qu’il faut cinquante ans pour « déterminer que les guerres qui ont été faites n’auraient pas dû être faites », il en faut autant pour se rendre compte qu’un intellectuel décrié en son temps, comme Camus l’a été, n’avait peut-être pas tort…Je crois que Camus soutiendrait Onfray, même si cet autre compagnon de route des libertaires n’a jamais été aussi radical dans ses propos ni aussi provocateur. On peut ne pas aimer, on peut détester Onfray, on peut critiquer ses idées, souligner ses erreurs ; mais c’est cela, le débat. Onfray n’empêche personne de parler, de le critiquer, de l’attaquer. Il incarne, comme d’autres, avec d’autres, la liberté d’opinion et la liberté d’expression. Si Onfray se tait aujourd’hui, qui osera encore défendre une parole différente, provocatrice et intelligente, argumentée, construite ?
Peut-on espérer que, dans un temps que j’espère pas trop éloigné, on prendra le temps de juger Onfray sur le fond, sur ce que disent vraiment ses livres (et pas seulement ses déclarations dans les médias), non pas pour accueillir une parole d’évangile, non pas pour être d’accord avec lui, mais pour renouer avec le sens d’un vrai débat d’idées, qui rend tout le monde plus intelligent ? Notre monde en a grand besoin.
Vincent Engel
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
humour gris
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Téléthon au Château d'Olonne
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
05/12/2015
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
04/12/2015
pas surprenant avec cette droite dure !
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Contre le planning familial. Contre les musulmans de France. En cette
fin de campagne, le FN montre son vrai visage. Dimanche, votez PS
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
29/11/2015
« Le défaut de cette conférence sur le climat, c’est qu’elle est faite par des hommes qui n’aiment pas la nature !
Le problème de la pollution est évident et c’est catastrophique pour la faune et la flore, mais, pour le reste, on s’adaptera.
Londres disparaîtra… eh bien, on s’en passera ! »
Jean Mallaurie / sur la COP
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
réveillez les !
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
28/11/2015
Vendée : des migrants accueillis à La Roche-sur-Yon et Fontenay-le-Comte
Ces
migrants sont venus s'échouer à Calais, ils ont fini par abandonner
leur rêve du Royaume-Uni et souhaitent désormais trouver refuge en
France, les premiers, parmi les 402 migrants qui ont fait ce choix, sont
attendus à La Roche-sur-Yon et Fontenay-le-Comte
12 migrants attendus samedi matin
Les
premiers migrants attendus seront 12 soudanais, 12 jeunes hommes
célibataires, anglophones, en provenance de Calais , ils arriveront à
Fontenay-le-Comte dans la nuit de vendredi à samedi, au foyer des jeunes
travailleurs.
Ils seront accueillis sur place par l'AREAMS et Sud-Vendée migrants. Les deux associations se sont portées volontaires. Un représentant de l'office français de l'immigration les accompagne, il les rencontrera individuellement en début de semaine pour voir leurs parcours et leurs demandes.
Ils seront accueillis sur place par l'AREAMS et Sud-Vendée migrants. Les deux associations se sont portées volontaires. Un représentant de l'office français de l'immigration les accompagne, il les rencontrera individuellement en début de semaine pour voir leurs parcours et leurs demandes.
source F3 Pays de Loire
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
dessin de Steve Cutts.: "J'ai reçu vos résultats d'analyse....J'ai une très mauvaise nouvelle....Vous avez des humains !!!!
source : Mélanie Laurent co-productrice du film DEMAIN
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
27/11/2015
martine Chantecaille
« Ils brûlent les livres, nous sommes ceux des bibliothèques. Ils imaginent la terreur, nous répondons avec la culture » : c’est par cette affirmation forte que Matteo RENZI a annoncé hier qu’en Italie, pour chaque euro supplémentaire investi dans la sécurité, un euro de plus serait investi dans la culture ». Quel moyen plus pérenne, en effet, pour combattre l’obscurantisme que d’exercer l’esprit critique, l’ouverture aux autres, la tolérance que l’éducation et la culture ?.....
Rue Montorgueil à Paris 1878 par Claude Monet
la suite en un clic
http://martinechantecaille.fr/plus-que-jamais-leducation-plus-que-jamais-la-culture/
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
le Pays des Olonnes a les moyens de se priver de l'aide de l'Europe !!!! envoi d'Anthony Pitalier
"Pourquoi le pays des Olonnes n'a rien demandé ?"
de Matthieu MARIN.
De nombreux territoires signent en ce moment un contrat Leader, qui permet de toucher de grosses sommes. Le pays des Olonnes n'a rien sollicité. Explications.
Pourquoi ? Comment ?Les voisins touchent des fonds européens. ..
Fontenay-le-Comte, deux millions d'euros. Saint-Jean et Challans, 1,8 million. Saint-Gilles, 800 000 €. La Mothe-Achard, un million... Voilà quelques exemples de fonds injectés récemment par l'Europe dans ces territoires. Comment ? Par le biais de la démarche Leader. Un contrat signé avec le conseil régional, qui distribue une partie des enveloppes européennes depuis deux ans...la suite en un clic :
http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/les-sables-dolonne-85100/pourquoi-lagglo-se-prive-de-largent-de-leurope-3866132
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
25/11/2015
il faut maintenant
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
FNE communique
RAPPEL
18 DECEMBRE : RENCONTRE SUR LES ACTIONS ASSOCIATIVES POUR LUTTER CONTRE L'OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE
Bonjour,
France Nature
Environnement a la plaisir de vous inviter aux troisièmes rencontres sur
les actions associatives pour lutter contre l'obsolescence programmée
et prolonger la durée de vie de nos produits.
Celle-ci aura lieu le vendredi 18 décembre de 9h30 à 17h30 au FIAP Jean Monnet à Paris (14ème arrondissement).
Cette journée aura notamment pour objectifs :
- D'identifier vos attentes sur l'allongement de la durée de vie des produits ;
- De partager un socle de connaissances commun sur les évolutions législatives et réglementaires relatives à cette thématique ;
- De favoriser l'échange d'expérience à travers la valorisation d'actions associatives sur le sujet ;
- D'identifier de nouveaux outils et projets sur la durée de vie des produits à co-construire.
Retrouvez le programme en cliquant ici http://civicrm.fne.asso.fr/sites/all/modules/civicrm/extern/url.php?u=5313&qid=1015247
et le formulaire d'inscription ici.http://civicrm.fne.asso.fr/civicrm/event/register?reset=1&id=89&cid=0
Merci de vous inscrire avant le 11 décembre.
Pour rappel, vos frais de transport SNCF (2nde classe) peuvent être remboursés à hauteur de 50% (dans la limite de 77€). Le repas du midi est pris en charge par FNE.
Pour toute question, contactez Héloïse Gaborel (01 44 08 64 17, heloise.gaborel@fne.asso.fr).
Bien cordialement,
Héloïse Gaborel, chargée de mission prévention et gestion des déchets
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
21/11/2015
Place de la Liberté aux Sables d'olonne
Une semaine après les attentats de Paris, une centaine de personnes se sont rassemblées place de la Liberté, ce matin aux Sables.
« On a besoin de se retrouver, de se soutenir après ces événements douloureux et tristes. »
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
soirée solidarité à Château d'Olonne- Anthony Pitalier- " Cette photo symbolise l'union nationale au-delà des clivages politiques bien stériles en cette période."
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
à ré écouter
http://www.lesinrocks.com/inrocks.tv/ne-renoncer-a-rien-le-cri-de-francois-morel/
douce folie
“Ne renoncer à rien”: le cri de François Morel
le 20 novembre 2015 à 10:34 • Dans sa chronique vendredi matin sur France Inter, François Morel est évidemment revenu sur les attentats qui ont frappé Paris il y a une semaine. Et son programme est clair: “Ne renoncer à rien”. “Surtout pas au théâtre, aux terrasses de café, à la musique, à l’amitié, au vin rouge, aux feuilles de menthe et aux citrons verts dans les mojitos, aux promenades dans Paris, aux boutiques, aux illuminations de Noël,…”La chronique s’achève avec François Morel, qui répète avec force et colère, sa devise: “Ne renoncer à rien. Ne renoncer à rien. Ne renoncer à rien. Surtout pas à Paris, surtout pas aux amis, surtout pas à la vie”.
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
19/11/2015
remettre les pendules à l'heure !
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
18/11/2015
les anonymus partent en chasse contre Daesh
ce sont en tout 5.500 comptes qui auraient été signalés et supprimés dans les jours qui ont suivi les attentats de Paris, action réalisée dans le cadre d'une campagne baptisée "#OpParis" par les hackers.
"Les Anonymous du monde entier vont vous traquer. Oui,
vous les vermines qui tuent les pauvres innocents, nous allons vous
traquer, comme nous avons pu le faire depuis les attentats de 'Charlie
Hebdo'", promettaient les Anonymous dans une vidéo diffusée ce week-end.
http://www.franceinfo.fr/emission/france-info-numerique/2014-2015/le-facebook-de-l-etat-islamique-debranche-par-anonymous-09-03-2015-22-10
et aussi
http://www.phonandroid.com/attentats-de-parisanonymous-passent-attaque-devoilent-9200-comptes-twitter-daesh.html
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
Cher-e-s ami-e-s, cher-e-s camarades,
A la demande des élu-e-s, les partenaires institutionnels du département organisent une marche de mémoire envers les victimes des attentats du 13 novembre 2015.
jeudi 19 novembre 2015
Place François Mitterrand
devant la Préfecture de la Vendée à 18h00 à La Roche-sur-Yon,
suivi d’une marche allant de la Préfecture vers la Place Albert Ier.
Pour partager notre solidarité avec les familles des victimes, pour affirmer notre union nationale, pour afficher notre attachement aux valeurs de la République.
Amitiés socialistes.
Stéphane IBARRA
1er Secrétaire fédéral
FEDERATION DE VENDEE DU PARTI SOCIALISTE
52, rue de Verdun BP132
85004 LA ROCHE SUR YON cedex
Tel : 02.51.37.44.89
Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "
17/11/2015
contrer le terrorisme ? nous sommes tous concernés
profil des jeunes attirés par le Djihad :
"de 15 à 29 ans "...59% sont issus des classes moyennes...30% des classes populaires et 11% des classes supérieures ...
Leurs origines ;
au sein des familles touchées nous lisons "40% "référencées athées"...40 % "référencé catholiques" et 19%" référencées musulmanes". on est bien loin des idées préconçues ou formatées...
Leur recherche:
- quête de sens , quête identitaire, révolte contre l'injustice sociale ...économique
Désir d'appartenir à une communauté "musulmane" (?) et recherche de "solidarite entre frères"
en projet.
..élaboration de plans de lutte contre la radicalisation en concertation avec les mairies...les bailleurs sociaux...les commerçants...les associations de citoyens ....
source ; O.F du 17/11/15
"de 15 à 29 ans "...59% sont issus des classes moyennes...30% des classes populaires et 11% des classes supérieures ...
Leurs origines ;
au sein des familles touchées nous lisons "40% "référencées athées"...40 % "référencé catholiques" et 19%" référencées musulmanes". on est bien loin des idées préconçues ou formatées...
Leur recherche:
- quête de sens , quête identitaire, révolte contre l'injustice sociale ...économique
Désir d'appartenir à une communauté "musulmane" (?) et recherche de "solidarite entre frères"
Une infime partie de notre jeunesse semble attirée par un processus de violence absolue...emprisonnée intellectuellement dans une secte ....fascinée par la mort.
Daesh ne serait qu'une autre forme de drogue dure....
Quelques pare-feu... stop-djihadisme.gouv.fr...
des associations pour aider les proches de ceux partis en Syrie ou en Irak *...
et des associations de victimes du terrorisme
*revoir sur France 2 , la 3 eme partie : " Des paroles et des Actes " du 16/11
http://pluzz.francetv.fr/videos/des_paroles_et_des_actes_,131045750.htmlen projet.
..élaboration de plans de lutte contre la radicalisation en concertation avec les mairies...les bailleurs sociaux...les commerçants...les associations de citoyens ....
source ; O.F du 17/11/15
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- pas surprenant avec cette droite dure !
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