Pillage de la Grèce, rigueur en Europe :
Mobilisation européenne !
Mobilisation européenne !
Terrible diktat que les néolibéraux veulent imposer aux Grecs !
La baisse des salaires, la baisse des pensions, des milliers d’emplois en moins dans la fonction publique... Le gouvernement grec, non élu, vient de faire voter un plan de pillage terrifiant pour enrichir les banquiers ! Et pourtant ni les salariés, ni les retraités, ni les fonctionnaires ne sont responsables de la dette grecque !
Ce sont les 2 % très riches, les banquiers, les armateurs, les gros propriétaires fonciers (dont l’Eglise orthodoxe) qu’il faut taxer, auxquels il faut imposer l’austérité !
Et rien ne justifie de rembourser une dette indigne qui finance l’achat de sous-marins à Thyssen-Krupp, une dette gonflée par les banques avec des taux prohibitifs.
La liste des mesures adoptées est édifiante :
suppression des conventions collectives,
baisse de 22 % du salaire minimum (le réduisant à 600 euros bruts ; soit environ 480 € nets), cela réduit toutes les primes qui s’ajoutent éventuellement au salaire de base et sont calculées à partir du salaire minimum,
10 % de baisse supplémentaire pour les moins de 25 ans (leur salaire de base sera 527 euros bruts, moins de 400 euros net, à condition bien sûr de travailler à plein temps),
gel du salaire minimum pour 3 ans (jusqu’en 2015),
gel des primes à l’ancienneté tant que le chômage ne sera pas à moins de 10 % (aux calendes grecques),
baisse de 2 % des cotisations sociales patronales en 2012, et de 13 % en 2013,
baisse des grilles des salaires dans la fonction publique (et bien sûr ce n’est pas la première)
baisse de 15 % de toutes les retraites complémentaires,
baisse de 15&n
suppression des conventions collectives,
baisse de 22 % du salaire minimum (le réduisant à 600 euros bruts ; soit environ 480 € nets), cela réduit toutes les primes qui s’ajoutent éventuellement au salaire de base et sont calculées à partir du salaire minimum,
10 % de baisse supplémentaire pour les moins de 25 ans (leur salaire de base sera 527 euros bruts, moins de 400 euros net, à condition bien sûr de travailler à plein temps),
gel du salaire minimum pour 3 ans (jusqu’en 2015),
gel des primes à l’ancienneté tant que le chômage ne sera pas à moins de 10 % (aux calendes grecques),
baisse de 2 % des cotisations sociales patronales en 2012, et de 13 % en 2013,
baisse des grilles des salaires dans la fonction publique (et bien sûr ce n’est pas la première)
baisse de 15 % de toutes les retraites complémentaires,
baisse de 15&n