« les contaminations des nappes phréatiques
par les pesticides sont essentiellement localisées, pour les plus
fortes, en région Centre, dans les Charentes, le Vaucluse, les Alpes de
Haute-Provence, en Martinique, ainsi qu’au Sud de la Guyane et de Basse
Terre en Guadeloupe, avec des concentrations totales de pesticides
dépassant 0,5 µg/l (norme de qualité DCE). Au nord de l’Hexagone, en
nord Bretagne, dans le couloir rhodanien et le Sud-Ouest, les
concentrations totales en pesticides des nappes sont fréquemment
supérieures à 0,1 µg/l. Les nappes sous couverture argileuse (en
Aquitaine et à l’est du bassin parisien) et les nappes de montagne, est
et sud du Massif Central, Pyrénées, Alpes, sont les plus préservées
puisqu’aucun pesticide n’y est détecté. »
Dans les zones de cultures intensives comme le Bassin parisien, le Sud-Ouest et le nord de la France, certains secteurs dépassent les 5 microgrammes par litre, seuil au-delà duquel l’eau est « impropre à la fabrication d’eau potable ». Plus de 20 pesticides différents ont été décelés sur 18% des points de mesure, précise le Commissariat.
et plus en un clic :https://jsherpin.wordpress.com/2013/07/25/la-quasi-totalite-des-reserves-deau-francaises-contaminees-par-les-pesticides/
Dans les zones de cultures intensives comme le Bassin parisien, le Sud-Ouest et le nord de la France, certains secteurs dépassent les 5 microgrammes par litre, seuil au-delà duquel l’eau est « impropre à la fabrication d’eau potable ». Plus de 20 pesticides différents ont été décelés sur 18% des points de mesure, précise le Commissariat.
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