le 28/11/2012 à 16:25
Les
médicaments antirhume vendus sans ordonnance augmenteraient le risque
de problèmes cardio-vasculaires, selon le bulletin d'information
Bip31.fr publié par le service de pharmacologie du CHU de Toulouse.
Un infarctus contre un simple rhume. Les médicaments antirhume contenant de la pseudoéphédrine, comme Actifed Rhume, Nurofen Rhume, Dolirhume ou Humex Rhume, augmenterait le risque d'infarctus du myocarde et d'accident vasculaire cérébral, selon les études d’une équipe de pharmaco-vigilance du CHU de Toulouse.
"La pseudoéphédrine a tendance à resserrer les vaisseaux sanguins. Par conséquent, le cœur doit fournir beaucoup plus d’effort pour fonctionner et se fatigue très vite."
Un cas pour un million
Face à cette révélation, de nombreuses personnes réclament déjà leur interdiction ou leur placement sur la liste des médicaments à proscription obligatoirement. Les risques pour la santé sont réels, mais très faibles. En effet, on ne compte qu'un cas pour un million de personnes.
Cependant, lorsque des complications se présentent, elles sont extrêmement graves. Le Dr Emmanuelle Bondon Guitton, auteur de l’alerte, recommande donc de s’orienter vers un autre produit comme le sérum physiologique et d’éviter toute consommation d’un médicament contenant de la pseudoéphédrine.
Un infarctus contre un simple rhume. Les médicaments antirhume contenant de la pseudoéphédrine, comme Actifed Rhume, Nurofen Rhume, Dolirhume ou Humex Rhume, augmenterait le risque d'infarctus du myocarde et d'accident vasculaire cérébral, selon les études d’une équipe de pharmaco-vigilance du CHU de Toulouse.
"La pseudoéphédrine a tendance à resserrer les vaisseaux sanguins. Par conséquent, le cœur doit fournir beaucoup plus d’effort pour fonctionner et se fatigue très vite."
Un cas pour un million
Face à cette révélation, de nombreuses personnes réclament déjà leur interdiction ou leur placement sur la liste des médicaments à proscription obligatoirement. Les risques pour la santé sont réels, mais très faibles. En effet, on ne compte qu'un cas pour un million de personnes.
Cependant, lorsque des complications se présentent, elles sont extrêmement graves. Le Dr Emmanuelle Bondon Guitton, auteur de l’alerte, recommande donc de s’orienter vers un autre produit comme le sérum physiologique et d’éviter toute consommation d’un médicament contenant de la pseudoéphédrine.
Par GimP le 28/11/2012 à 16:25