CONSTRUIRE L'AVENIR ENSEMBLE
 

31/03/2009

SAMEDI 4 AVRIL 2009 journée SANS ACHATS

D'autres pays l'ont déjà fait. Et ils ont réussi à faire baisser le prix des pâtes alimentaires pour l'Italie. Deux jours de grève d'achats a suffi pour faire reculer l'énorme augmentation du prix des pâtes.
Même action au Liban pour le prix du pain, le lendemain de la grève d'achats le prix du pain reprenait son ancien prix.
PARTICIPEZ AU MOUVEMENT NATIONAL *SAMEDI 4 AVRIL 2009


* LE GOUVERNEMENT ET LES GRANDS FINANCIERS DE CE PAYS SE SOUVIENDRONT
:
Vous êtes invités, tous et toutes, ce jour-là à ne *RIEN ACHETER
*surtout :
- L'ESSENCE - GAZOIL - TABAC
- JEUX DE HASARD (ts jeux de la Française des Jeux)
- ALCOOL
- BOYCOTT DE LA GRANDE DISTRIBUTION (sauf les petits commerces de proximité)
- ESSAYER DE NE PAS ETRE VERBALISE (radars, feu rouge,stop, stationnement....)

Avec un minimum d'organisation, nous pouvons tous y arriver.
Ce message n'est issu d'absolument, aucun parti politique ni d'aucun syndicat. :-)
Imaginez l'impact que ce _mouvement solidaire national _pourrait engendrer.
Cette action sera et c'est certain plus efficace que n'importe quelle grève ou manifestation !!!!.

PREVENEZ VOS AMIS, COLLEGUES, FAMILLES....... qui eux même
préviendront à leur tour, leurs amis, familles, etc ......
L' EFFET BOULE DE NEIGE SE FERA NATURELLEMENT
Servons nous d'internet, cette merveilleuse invention. AIDONS NOUS et nous parviendront à faire reculer la vie chère. Ne dites pas "cela ne servira à rien " Observez le 5 avril les réactions constatées grâce à vous, grâce à nous. Cessons de nous plaindre et AGISSONS

26/03/2009

Point de vue: Conseil municipal du Château d'Olonne du 24 mars 2009 - clic sur l'image pour l'agrandir

Aujourd'hui 26 mars, la presse évoque très sommairement les motifs qui ont conduit la majorité des membres de l'opposition à quitter la séance du conseil municipal du 24 mars 2009.
Pour mieux vous informer, nous avons demandé la publication sur ce site de la déclaration, dans son intégralité, de Francine VRIGNON, conseillère municipale d'opposition, qu'elle a remise à la presse avant de quitter la salle des délibérations.

Vous pourrez ainsi mesurer l'écart existant avec les comptes rendus de la presse locale.

Cependant, les journalistes soulignent à juste titre la défection dans la réaction de l'opposition, de deux conseillers d'opposition.

Vous pourrez ainsi vérifier le mépris de leurs engagements électoraux. Vous pourrez aussi vérifier l'écart existant dans le comportement de celui qui conduisait une liste d'opposition lors des dernières élections municipales, rassemblant des électeurs de gauche sincères, et ses actes en conseil municipal.

Ces électeurs de gauche se considèrent aujourd'hui plus qu'hier trahis.
Pascal GRACIA

26/02/2009

Impôts locaux: on va trinquer

On va trinquer, mais pas dans les luxueux salons du Vendée Globe : le conseil Général a décidé d'augmenter sa part dans les impôts locaux près de 7% et non pas 5% comme indiqué dans la presse locale.

A cette hausse vont s'ajouter en 2010 les conséquences de la suppression de la Taxe professionnelle. Celle-ci implique nécessairement une compensation de recettes pour les collectivités locales au moyen d'autres prélèvements obligatoires (lesquels ?) Le premier Ministre assure que les ressources des collectivités locales seront maintenues mais ne dit pas comment. A moins qu'il envisage la la diminutions de dépenses compensées par l'Etat. Lesquelles ? Le RSA (ex RMI) ?

Le même prétend que cette suppression de ressource fiscale vise à combatre les délocalisations: cet argument surprend plus d'un spécialiste des questions fiscales: le poids de la taxe professionnelle sur le prix de revient d'une fabrication est négligeable : 250 € sur le prix de vente d'une voiture de 14 000 €

Le débat d'orientation budgétaire du conseil municipal CHATEAU D'OLONNE n'éclaire pas l'avenir fiscal. Le maire n'ose pas s'engager et ne dénonce pas ce contexte trompeur.

Hélas, il est probable que les ménages les plus fragiles vont encore subir les conséquences de cette politique fiscale.


En période de licenciements annoncés dans l'industrie nautique et de réduction du pouvoir d'achat, pendant la "course" du Vendée Globe aux arrivées "miraculeuses" des fin de semaine, célébrées au champagne et petits fours, sous chapiteaux luxueux et coûteux, les ménages les plus modestes vont encore trinquer, au risque de faire ainsi le lit des extrémistes.

18/02/2009

Contribution au débat

Communiqué de presse adressé le 18 février à Ouest-France et au Journal des Sables


"Contribution au débat sur le projet de barrage sur l'Auzance

Dans le journal Ouest France du 18 février, Le syndicat départemental Vendée eau souligne qu’il est déjà propriétaire des 250 hectares nécessaires à la réalisation du barrage, et qu’il a dépensé deux millions d'euros entre études et réserves foncières pour ce barrage pour les travaux qu’il estime à 60 millions d'euros.

Car le syndicat qui se heurte aux réticences des services de l’Etat , dénonce de « nouvelles contraintes imposées par la loi sur l'eau et liées à la directive européenne mettant en avant les conséquences environnementales d'un tel projet »

Notre association Alternative Citoyenne au Château d’Olonne réfute cette position qui prétend ignorer l’ancienneté du droit communautaire en la matière.

Elle rappelle que:

· la Directive-Cadre sur l'Eau (DCE) a été Adoptée le 23 Octobre 2000 et publiée au Journal Officiel des Communautés Européennes le 22 Décembre 2000.

Cette directive entend impulser une politique européenne de l'eau, en posant le cadre d'une gestion et d'une protection des eaux par secteurs équivalent à nos « bassins hydrographiques » à savoir le bassin Loire-Bretagne pour les région Bretagne & Pays de Loire.

Cette Directive innove en définissant un cadre européen pour la politique de l'eau, en instituant une approche globale autour d'objectifs environnementaux avec une obligation de résultats.

Elle fixe un objectif clair et ambitieux : le bon état des eaux souterraines, superficielles et côtières en Europe en 2015, date butoir pour obtenir l’objectif. Des dérogations sont admises et encadrées à condition de les justifier.
Ce bon état est défini par des paramètres écologiques, chimiques et quantitatifs et s’accompagne :

  • d’une réduction ou d’une suppression des rejets de certaines substances classées comme dangereuses
  • d’absence de dégradation complémentaire pour les eaux de surface et les eaux souterraines,
  • du respect des objectifs dans les zones protégées c’est à dire là où s’appliquent déjà des textes communautaires dans le domaine de l’eau.

Pour la France, la Directive qui a été transposée en droit français confirme la gestion par bassin hydrographique, le bassin Loire-Bretagne pour notre région, et place le milieu naturel comme l’élément central de la politique de l'eau. Elle renforce le principe d’une gestion équilibrée de la ressource selon les dispositions de la loi sur l'eau du 3 janvier 1992 et affirme le principe pollueur – payeur, le rôle des acteurs de l'eau et la participation du public.

Par ailleurs, la directive reprend à son compte l’ensemble des directives déjà existantes à cette époque ( en 2000) et intègre les thématiques de l'aménagement du territoire et de l'économie dans la politique de l'eau.


L’association Alternative Citoyenne au Château d’Olonne s’étonne que le Syndicat départemental Vendée Eau ignore à ce point les objectifs des directives européennes et se demande s’il s’agit

  • du résultat du manque d’assiduité des élus vendéens au Institutions Européennes
  • ou d’une manœuvre bassement politicienne à la veille des élections pour le renouvellement du Parlement Européen

L’association dénonce les pressions exercées par les instances et organismes départementaux sur l’opinion au moyens de communiqués de presse et injonctions adressés aux exécutif municipaux sur ce sujet.

L’association soutient la position des services de l’Etat, conforme aux orientations Européennes.

Alain GUYOT Président "

17/02/2009

Les Verts des Olonnes opposés au barrage sur l’Auzance

Communiqué de Presse des Verts des Olonnes

"Suite au rapport de la DIREN, les Verts des Olonnes rappellent leur opposition au projet de barrage sur l’Auzance et appuient la demande de la DIREN d’assurer l’approvisionnement en eau par une buse puisant dans la Loire. Les Verts affirment que des alternatives au barrage sont aujourd’hui possibles.
En effet, les Verts rappellent que la création d’un barrage n’est pas sans conséquence pour l’environnement comme semble l’oublier les défenseurs du projet. Une telle infrastructure ne manquerait pas en effet de déstabiliser durablement les écosystèmes de la rivière en amont et en aval du barrage et engendrerait une concentration des pollutions (nitrates, produits phytosanitaires, métaux lourds) dans la retenue d’eau ainsi créée. Ne créons pas en Vendée un nouveau barrage de la Bultière !
Les Verts rappellent que l’approvisionnement en eau de la Vendée est réalisé à 90% par des eaux de surface contre 40% en moyenne en France. Or la Vendée n’est pas le Sahara comme on voudrait nous le faire croire. Outre l’approvisionnement venant de la Loire, il ne serait donc pas aberrant de prévoir des captages notamment dans la nappe située sous le granit yonnais. Cette nappe est en effet estimée à 600 millions de mètres cube d’eau or seulement 3,6 millions sont aujourd’hui prélevés par an. Ces eaux souterraines présentent également l’avantage d’être moins polluées que les eaux de surface (le sol les filtrant avant leur arrivée dans la nappe).
Etant données les alternatives possibles au barrage, les Verts dénoncent les gesticulations politiciennes d’un certain nombre d’élus visant à faire aboutir en force ce projet néfaste pour l’environnement et la qualité des eaux. Une fois encore en Vendée, l’intérêt général des citoyens est bafoué au profit de batailles politiques tape à l’œil et stériles."

13/02/2009

un barrage pourquoi faire ?

Si le réchauffement de la planète menace VRAIMENT de sécheresse le nord ouest du département de la vendée, à quoi bon un barrage vide ?

29/01/2009

LE BARRAGE SUR L'AUZANCE AU CONSEIL MUNICIPAL DU CHATEAU D'OLONNE

Ce projet de barrage fait partie du schéma départemental d'alimentation en eau potable . Il serait le deuxième plus gros barrage de Vendée. La DIREN (direction régionale de l'environnement) qui est un service de l’Etat, n’approuve pas cette solution et lui préfère un transfert d'eau pompée dans la Loire. La DIREN considère que la solution du barrage n’est pas conforme à la législation inspirée de la directive européenne (voir ci après le rappel règlementaire) Selon cette directive cadre sur l'eau, le barrage aux conséquences environnementales préjudiciables, ne doit être qu'une solution de repli, après avoir démontré qu'il n'y a pas d'autre solution.

Le conseil municipal du 27 janvier 2009 était appelé à se prononcer sur la motion initiée par Vendée eau, le syndicat départemental d'eau potable visant à faire prévaloir le projet de barrage.

Le maire de Château d'Olonne s'en est pris à l'État (la DIREN) qui a osé émettre un avis défavorable à la réalisation de ce barrage.
Minimisant le coût environnemental du projet ( il a ironisé en citant deux ou trois espèces de volatiles éventuellement menacées par la construction d'un tel ouvrage)... il a réaffirmé à plusieurs reprises qu'il nous fallait absolument ce barrage pour satisfaire les besoins du tourisme estival.
Il n'a présenté aucun dossier; il a simplement demandé que les conseillers se mobilisent comme un seul homme pour réclamer un barrage qui a déjà coûté très cher en frais d'études et en acquisitions foncières.

J'ai donc été contraint de réagir.

Sur la forme:

le chef dit: "votez pour", en s'appuyant sur un seul argument "le barrage est moins cher!", et les troupes doivent s'exécuter! puisqu'on nous dit que c'est la bonne solution, il faut comprendre que c'est la bonne solution! et admettre que les techniciens de la DIREN sont des ânes, ou des fonctionnaires bornés!

Sur le fond:

le maire se garde bien de dire que la position de la DIREN ne fait que découler d'une directive européenne, directive qui paraît fondée puisque "le Grenelle de l'environnement" a lui-même demandé que l'on mette un terme aux ruptures artificielles dans les cours d'eau.
Mais pour le maire et sa majorité, cette logique n'a aucun sens; puisqu'il nous faut de l'eau, rapidement, et à moindre coût!
Peu importe que l'on continue de piller les ressources naturelles de la planète: nous devons satisfaire nos besoins; donc nous pouvons nous servir! Pourquoi chercher à économiser l'eau et à se comporter en bons citoyens puisque avec ce barrage nous pourrons laisser les robinets couler...

Cette politique est totalement irresponsable.

Tout comme l'est ce que fait la commune (ou plutôt ne fait pas) en matière de développement durable et de réduction des coûts énergétiques;
On refait la rue Clémenceau sans prendre la peine d'inclure une piste cyclable; on construit des bâtiments communaux sans vraiment innover en matière de chauffage; on ne réalise pas non plus un diagnostic thermique par photo aérienne, des fois que ça pourrait renseigner les habitants quant aux travaux à réaliser pour réduire consommations énergétiques et factures...
Notre commune ne gère pas l'avenir; elle se contente de gérer le présent, avec retard, et en proposant des solutions dépassées...


Alain GUYOT,

Conseiller Municipal

28/01/2009

Pour d'autres solutions que les barrages

Dans un communiqué du 28 janvier 2009, l'association de consommateurs, la Facture d'eau est imbuvable, milite pour d'autres solutions que les barrages.

"Rappelons que notre alimentation en eau provient à 90 % des rivières, contre seulement 40 % en moyenne en France. La question se trouve posée avec la construction d'une nouvelle retenue sur la rivière l'Auzance. La consommation moyenne d'eau augmente peu, 1 % d'ici 2018, nous dit-on. Il s'agit plutôt de répondre aux besoins de la population touristique en cas de sécheresse, comme en 2003.

Seulement voilà, le Grenelle de l'environnement est passé par là, demandant de mettre un terme aux ruptures artificielles dans les cours d'eau. Pour cela il est nécessaire de réorienter l'économie vers moins de béton, moins de maïs, moins de consommation d'eau.

Que faut-il faire à notre avis ?

Pour accroître la ressource : installer une conduite d'alimentation à partir de la nappe alluviale de la Loire. Développer la recherche en eau souterraine, par exemple du côté d'Avrillé. Relier les réserves de Mervent à celle de l'Angle-Guignard, à partir de laquelle l'approvisionnement de la côte peut être assuré.

Pour inciter à l'économie d'eau :

  • baisser l'abonnement en le reportant sur le prix du mètre cube d'eau consommé.
  • Taxer les prélèvements d'eaux souterraines destinés à l'arrosage des cultures (les agriculteurs paient un centime d'euro le mètre cube aujourd'hui)
  • Supprimer les aides à l'irrigation du maïs, grosse consommatrice d'eau l'été en période de pénurie, afin d'inciter à la diversification des cultures.
  • Relever le prix du mètre cube d'eau en juillet et en août pour le diminuer les autres mois de l'année.
  • Fixer un abonnement par mobil-home pour l'eau et l'assainissement, pour que les Vendéens ne soient pas les seuls à supporter les surcoûts des besoins en eau du tourisme.

Barrages: rappel réglementaire

La non-détérioration de l’état existant des milieux aquatiques est un objectif fondamental de la Directive cadre sur l’eau du 23 octobre 2000 (DCE).

L’article 6 de la Loi sur l’eau et les milieux aquatiques du 30 décembre 2006 (LEMA) prévoit

l’identification de deux types de cours d’eau par l’autorité administrative :

- les cours d’eau pour lesquels aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s’ils constituent un obstacle a la continuité écologique : il s’agit des cours d’eau en très bon état écologique, ou ceux jouant le rôle de réservoirs biologiques nécessaires au maintien ou a l’atteinte du bon état écologique, ou enfin des cours d’eau dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs amphihalins est nécessaire (1° du I de l’article L.214-17 du Code de l’Environnement),

- les cours d’eau dans lesquels il est nécessaire d’assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs (2° du I de l’article L.214-17 du Code de l’Environnement).

« Empêcher toute nouvelle dégradation des milieux » est ainsi une orientation majeure du futur SDAGE Loire-Bretagne. Toute opération de restauration, modification ou de création d’ouvrage transversal dans le lit mineur des cours d’eau fait l’objet d’un examen portant sur l’opportunité de la création de l’ouvrage par rapport, d’une part aux objectifs de la gestion équilibrée de la ressource en eau mentionnes a l’article L.211-1 du Code de l’Environnement, d’autre part aux objectifs environnementaux des masses d’eau et axes migratoires concernés, fixés dans le SDAGE.

Lorsque les mesures envisagées ne permettent pas de réduire significativement ou de compenser les effets négatifs des projets pour respecter l’objectif des masses d’eau concernées, ceux-ci font l’objet d’un refus, à l’exception des projets répondant à des motifs d’intérêt général (projets inscrits dans le SDAGE, relevant du VII de l’article L-212-1 et des articles R.212-7 et R.212-11 du Code de l‘Environnement).


Un projet de barrage, quant à lui, doit répondre à des motifs d’intérêt général pour l’alimentation en eau potable, le maintien de la sécurité des personnes et toutes autres activités de développement durable. Il doit être justifié sur la base d’une étude des solutions alternatives démontrant que la raison d’être de l’ouvrage ne peut être assurée par d’autres équipements ayant un impact environnemental moindre et à un moindre coût. Il doit être inscrit dans le SDAGE.

VENDEE GLOBE

Je suis à nouveau invité à participer aux festivités du VENDEE GLOBE, en ma qualité de conseiller municipal.

Lors de l'ouverture du village j'avais déjà été convié à QUATRE pince fesses-champagne- précédés de discours d'auto-congratulation...

  • la première fois par le président de la S'AIME lui-même,

  • la seconde par le Conseiller général,

  • la troisième par le Député de la mer...et

  • la quatrième par le sponsor principal.

Ces festivités coûtant fort cher, j'avais naturellement préféré m'abstenir par respect pour celles et ceux qui souffrent de la crise...

Et voilà que ça recommence!

On remonte actuellement le village du "Vendée Globe"; il faut donc l'inaugurer une seconde fois !

J'avais pensé mettre en vente sur E-BAY mes cartons d'invitation dans l'intention d'offrir le fruit de leur vente à une association caritative.
Mais c'est long et un peu compliqué pour moi.
Alors je mets en vente directement mon premier carton au prix de 100 euros. Le premier lecteur intéressé peut me le faire savoir par courriel (
a.citoyenne@orange.fr); Ses 100 euros seront remis au "Secours populaire" ou aux "Restos du Cœur". Au lecteur de choisir.

Alain GUYOT

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Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "