"Suite au rapport de la DIREN, les Verts des Olonnes rappellent leur opposition au projet de barrage sur l’Auzance et appuient la demande de la DIREN d’assurer l’approvisionnement en eau par une buse puisant dans la Loire. Les Verts affirment que des alternatives au barrage sont aujourd’hui possibles.
En effet, les Verts rappellent que la création d’un barrage n’est pas sans conséquence pour l’environnement comme semble l’oublier les défenseurs du projet. Une telle infrastructure ne manquerait pas en effet de déstabiliser durablement les écosystèmes de la rivière en amont et en aval du barrage et engendrerait une concentration des pollutions (nitrates, produits phytosanitaires, métaux lourds) dans la retenue d’eau ainsi créée. Ne créons pas en Vendée un nouveau barrage de la Bultière !
Les Verts rappellent que l’approvisionnement en eau de la Vendée est réalisé à 90% par des eaux de surface contre 40% en moyenne en France. Or la Vendée n’est pas le Sahara comme on voudrait nous le faire croire. Outre l’approvisionnement venant de la Loire, il ne serait donc pas aberrant de prévoir des captages notamment dans la nappe située sous le granit yonnais. Cette nappe est en effet estimée à 600 millions de mètres cube d’eau or seulement 3,6 millions sont aujourd’hui prélevés par an. Ces eaux souterraines présentent également l’avantage d’être moins polluées que les eaux de surface (le sol les filtrant avant leur arrivée dans la nappe).
Etant données les alternatives possibles au barrage, les Verts dénoncent les gesticulations politiciennes d’un certain nombre d’élus visant à faire aboutir en force ce projet néfaste pour l’environnement et la qualité des eaux. Une fois encore en Vendée, l’intérêt général des citoyens est bafoué au profit de batailles politiques tape à l’œil et stériles."
En effet, les Verts rappellent que la création d’un barrage n’est pas sans conséquence pour l’environnement comme semble l’oublier les défenseurs du projet. Une telle infrastructure ne manquerait pas en effet de déstabiliser durablement les écosystèmes de la rivière en amont et en aval du barrage et engendrerait une concentration des pollutions (nitrates, produits phytosanitaires, métaux lourds) dans la retenue d’eau ainsi créée. Ne créons pas en Vendée un nouveau barrage de la Bultière !
Les Verts rappellent que l’approvisionnement en eau de la Vendée est réalisé à 90% par des eaux de surface contre 40% en moyenne en France. Or la Vendée n’est pas le Sahara comme on voudrait nous le faire croire. Outre l’approvisionnement venant de la Loire, il ne serait donc pas aberrant de prévoir des captages notamment dans la nappe située sous le granit yonnais. Cette nappe est en effet estimée à 600 millions de mètres cube d’eau or seulement 3,6 millions sont aujourd’hui prélevés par an. Ces eaux souterraines présentent également l’avantage d’être moins polluées que les eaux de surface (le sol les filtrant avant leur arrivée dans la nappe).
Etant données les alternatives possibles au barrage, les Verts dénoncent les gesticulations politiciennes d’un certain nombre d’élus visant à faire aboutir en force ce projet néfaste pour l’environnement et la qualité des eaux. Une fois encore en Vendée, l’intérêt général des citoyens est bafoué au profit de batailles politiques tape à l’œil et stériles."