La fin du mythe du nucléaire bon marché
"Augmentation
des coûts de production du nucléaire de
21% en 3 ans (et qui continueront de
croître dans les années à venir) ; « mur
d'investissement » de 110 milliards à
venir sur
les réacteurs existants pour
les faire tenir jusque 40 ans (et au
minimum 60 milliards supplémentaires si
on les prolongeait à 60 ans) ; un coût
de l'EPR multiplié par 3 ; une
sous-évaluation manifeste de coûts
pourtant conséquents concernant le
démantèlement, la gestion des déchets,
et évidemment le risque d'accident et
donc l'assurance (la Cour des Comptes
écrit que, de fait, l’État assure
"gratuitement" le risque)…
Suite au
rapport de la commission d’enquête
parlementaire, plus personne ne pourra
prétendre que le nucléaire est bon
marché et que la prolongation du parc à
60 ans serait une simple formalité...."