« Tout ce qui croît finit par s’écrouler sous son propre poids »
Serge Moscovici
Au moment où le GIEC revoit ses prévisions à la hausse concernant l’augmentation des températures, penser la décroissance devient nécessaire.
Un monde fini
Comme le fit remarquer Albert Jacquard dans le Monde diplomatique,
l’un des premiers hommes à comprendre et à exprimer la mutation que
subit actuellement l’humanité ne fut pas un homme politique ou un
scientifique mais un poète. En effet, en 1931, dans Regards sur le monde actuel, Paul Valéry écrivait : « Le temps du monde fini commence ».
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