CONSTRUIRE L'AVENIR ENSEMBLE
 

20/10/2011

alerte citoyenne envoi d'Alexandrine


Bonjour à tous,
Nous avons actuellement un élève du lycée qui pourrait être expulsé si le préfet de ne lui donne pas un titre de séjour à titre exceptionnel. Les 2 recours de droit d'asile devant la justice ont été rejetés.
Cette pétition ne sera connue de la presse que si le préfet n'accorde pas le droit d'asile. Pour l'instant, nous avons déjà recueilli 600 signatures.
Merci de votre contribution.
Alexandrine

PS : vous pouvez me renvoyer la feuille de pétition remplie scannée, me la déposer au lycée

Nous refusons que la famille de Saïd Magomedov, 16 ans, élève de 1ère BAC Pro au
lycée Tabarly soit explusée du territoire français après 3 années passées aux Sables
d'Olonne. Son père est menacé de mort au Daghestan ; deux recours devant l'OFPRA ont
été refusés. Une demande de titre de séjour à titre exceptionnel est déposée à la
Préfecture le jeudi 20 octobre 2011.

IL FAUT ABSOLUMENENT QUE CE TITRE DE SEJOUR SOIT ACCORDE !

IL FAUT QU'ILS RESTENT EN FRANCE TOUS LES TROIS !!

Merci de votre soutien,

PETITION ( à faire manuellement)

L'équipe éducative du lycée Tabarly

Les élèves du lycée Tabarly vous indiquez


Nom et prénom .......... Profession......... Code postal......... Signature

vous faites circuler c'est urgent

et à ceux qui doutent je leur conseille vivement ce film "les mains en l'air" dans lequel les enfants eux-mêmes montrent l'exemple aux adultes dans un cas identique.
martine

Les fonctionnaires votent jeudi et inaugurent de nouvelles règles de représentativité.

Trois millions de fonctionnaires sont appelés aux urnes jeudi pour élire leurs représentants au cours d’un scrutin aux enjeux particulièrement importants. De nouvelles règles de représentativité entrent en effet en vigueur, en vertu de la loi du 5 juillet 2010 sur la rénovation du dialogue social. Or, certaines règlent menacent jusqu’à l’existence des formations moins importantes.

Pour subsister, les organisations doivent en effet impérativement obtenir des sièges dans les différentes instances concernées par le vote. Ils doivent donc dépasser des seuils allant de 3 à 7,5%, selon les organismes concernés. La CGC ; qui avait obtenu lors du dernier scrutin 2,8% en moyenne, peut donc trembler. Localement d’ailleurs, des unions ont vu le jour pour dépasser la barre de la représentativité, avec des listes Unsa-CFTC, CGC-CFTC, ou encore FSU-CGT.

Une campagne très active

Les quelque deux millions d'agents de la Fonction publique d'Etat et le million de fonctionnaires de l’Hospitalière sont donc appelées appelé à voter pour différentes instances, dont les Comités techniques (CT), qui deviennent l'espace central de négociation, et où seules les organisations ayant des élus pourront signer des accords.

En raison de l’enjeu, les syndicats ont mené une campagne particulièrement active. Les leaders syndicaux ont multiplié les déplacements à la rencontre des agents, et ont mis l’accent sur la lutte contre la Révision générale des politiques publiques (RGPP), qui engendre le non remplacement d’un départ sur deux dans la Fonction publique d'Etat.

Actuellement, dans les trois Fonctions publiques, la première place est occupée par la CGT (23,5%), devant FO (17,6%), la CFDT (16,8%), la FSU (11,6%), l'Unsa (11,6%), Solidaires (7,5%), la CFTC (3,4%) et donc la CGC (2,8).

conférence UPO

Service Public bien commun, à l'heure de la dette

de Jacques Cotta


Un exposé clair, détaillé sur la casse des services publics - un passage obligé par la Directive Européenne Bolkenstein qui organise leur privatisation , et le "non" Français bafoué .
La conclusion enfin , qu'il faut continuer de résister, de refuser la politique des préteurs d'argent pourri et les diktats imposés par les agences de notation...
et comme souligné dans la salle, participer aux multiples cafés citoyens et réunions républicaines qui se créent partout en France, et amorcent les bases d'une assemblée constituante à venir.

Le compte rendu sera publié sur le site UPO lien situé à droite bas de page

conférences UPO d'avril

Agricultures durables pour nourrir correctement tout le monde


le lien pour lire le cpt rendu publié sur le site de l'UPO
http://s4.e-monsite.com/2011/08/23/21664137conference-du-29-avril-2011-de-marc-dufumier-pdf.pdf

démarchages télèphoniques

Si cela vous agace
une seule solution : vous inscrire sur ce site
:http://www.pacitel.fr/

Antennes relais : Paris suspend leur installation,

Dans le cadre du désaccord qui l'oppose à la Fédération française des télécoms (FFT) pour le renouvellement de la charte parisienne de la téléphonie mobile, la Ville de Paris a annoncé le 17 octobre qu'elle suspendait ''immédiatement toute nouvelle implantation d'antennes relais'' sur son territoire et lançait une étude juridique sur la situation des installations actuelles. Une décision ''unilatérale'' que déplore le ministre de l'Industrie et de l'Economie numérique, Eric Besson.
La ville de Paris travaille désormais sur une proposition de ''charte unilatérale qui serait proposée aux opérateurs souhaitant disposer d'une autorisation d'implantation'' sur des sites lui appartenant.

Quel pouvoir pour les maires ? Le 30 septembre dernier, le Conseil d'Etat examinait le pourvoi de deux communes (Les Pennes-Mirabeau, Bouches-du-Rhône ; Saint-Denis, Seine-Saint-Denis) dont les maires ont pris des arrêtés pour restreindre l'implantation d'antennes relais de téléphonie mobile au nom du principe de précaution, arrêtés qui ont été annulés par les tribunaux administratifs et les cours administratives d'appel. Le Conseil d'Etat examinait également un pourvoi de SFR, qui conteste la réglementation restrictive du maire de Bordeaux (Gironde) concernant l'implantation d'antennes relais.
Lors de l'audience, le rapporteur public a indiqué que ''les décisions du maire ne peuvent se substituer à celles du ministère chargé des communications numériques et de l'Agence nationale des fréquences (ANFR)''.
La décision du Conseil d'Etat a été mise en délibéré à une date non précisée.

extraits actu-envir..

19/10/2011

rappel nous sommes tous concernés

cliquer sur réécouter l'émission

http://www.franceinter.fr/emission-la-tete-au-carre-les-lanceurs-d-alerte


Ils donnent l’alerte avant que ne surviennent les dégâts... Amiante, plomb, dioxine, ogm, nucléaire Et bientôt ondes electromagnétiques ( Micro ondes, portables, wifi..) pesticides et herbicides, effets secondaires des vaccins et médicaments chimiques, liste non exhaustive...

article de Patrick Piro Source Politis n°872

Dans l’Antiquité grecque, la princesse Cassandre prédisait la chute de Troie. Las, nul ne voulut l’écouter. Aujourd’hui, les modernes Cassandre sont chercheurs ou citoyens, ils tentent d’attirer notre attention sur les risques environnementaux et sanitaires, et crient longtemps dans le désert avant d’être éventuellement entendus. Voici quelques-uns des combats de ces « lanceurs d’alerte », comme les nomment les Anglo-Saxons. Et l’analyse d’André Cicolella, l’un d’entre eux, qui plaide pour une protection légale de cette démarche.

Les effets nocifs de la poussière d’amiante ont entraîné un examen microscopique de la poussière minérale par l’inspecteur médical du ministère de la Santé. La nature irrégulière des particules, s’apparentant à du verre coupant, a été clairement décelée, et, lorsque les particules s’élèvent dans une pièce et qu’elles restent en suspension, quelle que soit leur quantité, leurs effets se sont révélés nocifs, comme on pouvait s’y attendre. » Voilà des propos dénués de toute ambiguïté, émis par l’inspectrice du travail britannique Lucy Deane, et dont la validité est désormais notoire en France, le mésothéliome (« cancer de l’amiante ») pourrait tuer 100 000 personnes d’ici à 2025.

Pour saisir toute la portée de ces quelques lignes, il faut savoir qu’elles ont été rédigées en... 1898 ! Cette démonstration, déjà quasi aboutie, du caractère hautement toxique des poussières d’amiante devra attendre un siècle exactement avant de trouver sa conclusion opératoire : l’interdiction, en 1998, de l’usage industriel de cet isolant thermique. En cent ans, les évidences se sont pourtant accumulées avec constance : soupçons de lien avec l’apparition de fibroses (1906), de cancers (1935), etc.

Les anglophones ont inventé un nom pour désigner les individus de la catégorie de Lucy Deane : whistleblowers lanceurs d’alerte, en français, selon le terme forgé par Francis Chateauraynaud, sociologue à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS). Caractéristiques : obstinés, souvent seuls, ils s’époumonent en pure perte pendant des mois, voire des années, pour dénoncer un risque environnemental ou de santé publique, avant d’être enfin entendus par les courants dominants de la science, les autorités, la société , et éventuellement reconnus pour leur contribution décisive et désintéressée à la prise de décision qui s’imposait. Ce sont souvent des chercheurs (toxicologues, épidémiologues, etc.), qui mettent le doigt sur des phénomènes insoupçonnés, mais aussi des citoyens concernés, relais d’opinion et agitateurs rôle classique , mais aussi, de plus en plus souvent, acteurs pointus de l’expertise.

Les lanceurs d’alerte se manifestent aujourd’hui partout dans le monde industrialisé. En France, dans l’histoire récente, ils ont pour noms Henri Pézerat (amiante), André Cicolella (éthers de glycol toxiques des peintures, vernis, etc.), Annie Pfohl- Leszkowitcz (mycotoxines des aliments), Pierre Aubineau, Roger Santini ou les parents d’élèves de Saint-Cyr-l’École (pathologies des ondes de téléphonie mobile), Jean-François Viel (cancers de La Hague), Marc-Édouard Colin (pesticides et abeilles), les collectifs de riverains des incinérateurs d’ordures ménagères, la Criirad et l’épidémiologue bielorusse Youri Bandazhevsky (maladies post- Tchernobyl), les faucheurs volontaires et le biologiste hongrois Arpad Pusztaï (risques des OGM), Yves Cochet (climat) et bien d’autres encore (1).

Politis n° 872

(1) Plusieurs exemples cités sont inspirés d’Alerte santé, d’André Cicolella et Dorothée Benoit-Browaeys, voir p. 15.

Voir Fondation Sciences Citoyennes

et tous les polluants dans le compost TMB sur nos terres agricoles ?i

article Ouest France mercredi 19 octobre 2011

L'alimentation a des effets sur le cancer du sein


Reste à comprendre les mécanismes qui jouent sur le développement de la maladie, qui fait 11 500 morts par an en France. Une étude internationale vient d'être lancée. Pour prévenir plutôt que guérir.

Repères

Un nouveau cap pour la recherche

Depuis quarante ans, la priorité a été donnée à l'amélioration des traitements et au dépistage. « Avec de véritables progrès », se félicite Sophie Lelièvre, une chercheuse normande devenue professeure à l'université de Purdue, dans l'Indiana (États-Unis), et directrice adjointe du centre de recherche sur le cancer de la même ville. « Maintenant, il faut d'urgence ouvrir la piste de la prévention. »

Augmentation des cas

Dans la plupart des pays, on constate une augmentation du nombre de cancers du sein. « On ne peut imaginer de devoir soigner un nombre croissant de femmes avec des traitements lourds et coûteux. Certains pays n'en auront même pas les moyens. Il nous faut agir sur les causes. » L'alimentation en fait partie. « On sait par exemple que l'obésité chez la femme ménopausée et une consommation excessive d'alcool sont des facteurs de risque. »

Des études contradictoires

De nombreux pays ont lancé des programmes sur l'alimentation. Mais les populations étudiées, les méthodes employées ne permettent pas de tirer des conclusions universelles. « Certaines données sont même contradictoires. Une chose est sûre : tous les pays où l'on constate une rapide augmentation des cas ont connu un changement du comportement alimentaire. »

Toujours la malbouffe

Dans le collimateur, la nourriture rapide, trop sucrée, trop grasse, qui fait déjà des ravages dans la population avec l'obésité qu'elle provoque. « La glande mammaire est très sensible à la nutrition entre le début de la vie fœtale et la puberté. L'alimentation de la mère, puis celle de l'enfant jouent donc un rôle essentiel. » Cette exposition rapide à une piètre nutrition pourrait être l'une des explications à la précocité des cancers du sein.

Mais aussi le stress et la pollution

Trois facteurs environnementaux sont susceptibles de démultiplier les risques. La nutrition, mais aussi le stress à long terme et la pollution. « Le facteur socio-économique joue beaucoup. Imaginez une personne qui, toute l'année, se demande comment elle va faire pour nourrir sa famille, qui achète trop de produits gras et sucrés et vit dans une banlieue polluée... »

La clé des gènes

Au-delà du génome, notre patrimoine génétique connu et fixe, il y a ce qu'on appelle l'épigénome. Ou comment l'histoire individuelle de chacun influe sur l'organisation des gènes de notre corps. « L'épigénome est malléable, il est influencé par la nutrition, la pollution... Il l'est l'une des clés pour comprendre comment un facteur de risque peut déclencher la formation d'un cancer. » Toutes ces notions sont au coeur d'une vaste étude internationale prenant en compte des données scientifiques, mais aussi sociétales. Comment changer notre mode de vie pour un avenir plus sain.

Philippe LEMOINE.

mdrgf communique

Nouvelle étude de l'Anses sur pesticides et cancers
+ Générations Futures dénonce des pulvérisations aériennes illégales !

Une nouvelle étude française montre un lien entre exposition aux pesticides et tumeurs
Après l’étude de l’Observatoire Régionale de Santé de Poitou Charente (début septembre) qui montrait une « surmortalité significative » des adultes par lymphomes (19 %) dans certains territoires agricoles, voici le rapport (1) du Réseau national de vigilance et de prévention des pathologies professionnelles (rnv3p) qui lui montre une présence importante de tumeurs en lien avec l’exposition aux pesticides dans la profession agricole.

Qu’est ce que le RNV3P et que nous montre son nouveau rapport? Depuis 2001, les 32 centres de consultation de pathologie professionnelle (CCPP) de France ont constitué un réseau d'experts médicaux, nommé Réseau national de vigilance et de prévention des pathologies professionnelles (rnv3p), coordonné par l'Anses. Le but est d'exercer une activité de vigilance sur les principaux risques professionnels, de détecter les maladies professionnelles émergentes et de favoriser la prévention de ces pathologies. Le réseau a publié le 4 octobre son rapport scientifique. Il dresse un bilan des données recueillies depuis sa création. Il est a noté que toutes pathologies et professions confondues, les tumeurs sont parmi les pathologies en relation avec le travail les plus fréquemment signalées, en 5ème position avec 7.6% des signalements et chez les hommes, les familles de pathologies les plus souvent rapportées sont en premier les tumeurs. Ces données sont intéressantes parce qu’on constate ensuite dans le rapport que les responsables « mettent en relief une association entre les tumeurs et le secteur Agriculture et pêche. Dans ce secteur, les tumeurs représentent 12 % des pathologies en relation avec le travail selon le rnv3p, dont les 2/3 (64%) sont associes à une exposition professionnelle aux pesticides. ». De même, le rnv3p met en exergue des phénomènes émergents avec des relations entre des pathologies et des activités ou expositions particulières. Sur le site de l’ANSES on peut lire que les cas de lymphomes et leucémies en milieu agricole font partis de ces phénomènes.

«Ces éléments nous montrent qu’il y a bien lieu de focaliser notre attention sur certaines expositions (pesticides), de certaines populations (utilisateurs) et la survenue de certaines pathologies (certains cancers). Ce qu’Agrican aujourd’hui ne fait pas. » commente François Veillerette, porte parole de Générations Futures. « Nous constatons que ces données ne font que confirmer les éléments que nous collectons depuis des années sur ces risques sanitaires accrus liés à l’exposition aux pesticides. Il est maintenant plus que temps de prendre des mesures de réduction de l’usage des pesticides et de bannir tous ceux suspectés d’être cancérigènes. Il s’agit là d’une question majeure de santé publique.» conclut-il.

1 : le rapport du rnv3p :
http://www.anses.fr/Documents/RNV3P-Ra-Septembre2011.pdf

Actions juridiques : Pour en finir avec les pulvérisations aériennes de pesticides toxiques !
Générations Futures et des particuliers, dont F. Micouraud, Président d’Allassac ONGF, ont porté plainte lundi 17/10 contre des pulvérisations aériennes, faites dans le Limousin, sur des châtaigneraies et dénoncent les risques liés à l’usage d’un pesticide dangereux pour la santé et l’environnement.

Rappel des faits. Début août 2011, le préfet de Corrèze accorde, à une entreprise locale, des dérogations ponctuelles pour l’épandage d’insecticides (du Lambda Cyhalothrine et du Bacillus Thuringensis) par voie aérienne sur des châtaigneraies pour lutter contre les carpocapses. Les traitements sont à réaliser entre le 15 août et le 5 septembre et les dérogations accordées pour 12 communes .

Rappel de la loi. Depuis la directive européenne du 21 Octobre 2009, le principe est l’interdiction des pulvérisations aériennes des pesticides sauf dérogation. Ces dérogations sont strictement encadrées par l’arrêté ministériel du 31 mai 2011.

Or des irrégularités ont été recensées à l’arrêté du 31 mai 2011 ce qui a incité des particuliers, soutenus par Générations Futures, à porter plainte. Il a été noté notamment que :

L’avis de dérogation du préfet portait sur 12 communes, or 2 autres communes non listées ont aussi été concernées comme en témoigne l’avis du maire de la commune de Beyssenac datant du 16 aout.

Dans les communes où les épandages étaient autorisés, les avis indiquaient que ces pulvérisations auraient lieu le 18 ou 19 août conformément à l’obligation d’information des riverains, or de nombreux témoins attestent du fait que ces pulvérisations ont eu lieu le 20 août.

De même, les donneurs d’ordre étaient dans l’obligation de réaliser un balisage du chantier sur les voies d’accès à la zone traitée, ce qui, d’après témoin, n’a pas été fait. Enfin, le donneur d’ordre est dans l’obligation « d’informer les syndicats apicoles concernés » ce qui n’aurait pas été le cas.
Etc.

Une question de santé publique. Au-delà de ces multiples infractions, les riverains et Générations Futures s’inquiètent de l’usage d’un insecticide neurotoxique, du Lambda Cyhalothrine, considéré comme un perturbateur endocrinien certain par l’UE, insecticide qui inquiète jusqu’au ministère de l’Agriculture lui-même qui l’a considéré comme l’une des 47 substances les plus dangereuses .

Alors que la directive cadre européenne sur l’utilisation des pesticides stipule clairement dans son article 14 que « La pulvérisation aérienne de pesticides est susceptible d'avoir des effets néfastes importants sur la santé humaine et l'environnement, à cause notamment de la dérive des produits pulvérisés. Il convient donc d'interdire d'une manière générale la pulvérisation aérienne » pourquoi la France déroge-t-elle à cette règle claire ?

Plus de détails dans le Communiqué complet : http://www.generations-futures.fr/pdf/CP181011_epandage_aerien_final.pdf

Laîcité

Associations, rejoignez le printemps de la laïcité !http://www.laligue85.org/fr/images/stories/printemps%2020123eme%20version%20copie.jpg

Lundi 17 octobre, les Amicales du pays des Olonnes se sont réunies pour réaffirmer leur projet avec la volonté de le faire évoluer. La date du 9 juin 2012 a donc été arrêtée pour le prochain printemps de la laïcité, une manifestation publique où chaque association peut apporter sa pierre à l'édifice.

Nous invitons donc toutes les associations désireuses de participer à cette grande fête à nous contacter.

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