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13/11/2011

petite histoire du Bisphénol A




Il aura fallu le drame du médiator pour que tout à coup il devienne urgent d'écouter les experts indépendants et ainsi éliminer le bisphénol A .
Combien d'autres produits sont-encore concernés, et  continuent sournoisement à nous intoxiquer avec l'accord de certains politiques corrompus ou imbéciles ...?

quelle est notre capacité à agir ? 
l' histoire et son bêtisier !

"Bachelot réaffirme l'"innocuité" du bisphénol A

Publié le 10-06-09  nouvel obs        

La ministre de la Santé a souligné à l'Assemblée que "les doses repérées" dans des biberons fabriqués avec du BPA "étaient très inférieures à l'effet toxique". Un député socialiste demande que l'utilisation de tels biberons soit bannie des crèches.

Les biberons contenant du Bisphénol A (BPA) ne sont pas toxiques, a affirmé mercredi 10 juin la ministre de la Santé Roselyne Bachelot devant l'Assemblé nationale.
L'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) a conclu dans un avis rendu le 24 octobre à "l'innocuité de ces conditionnements même en cas de chauffage", a indiqué la ministre en réponse au député Gérard Bapt (PS, Haute-Garonne), qui demande que l'utilisation de biberons contenant du BPA soit bannie dans les crèches."



"
L'agence de sécurité alimentaire Afssa a annoncé, mardi 27 avril, "des résultats rassurants" concernant le Bisphénol A (BPA), un produit utilisé pour la fabrication de biberons ou de bonbonnes d'eau et présent dans les résines époxy qui tapissent les boîtes de conserve et les canettes."



" Le Bisphenol A est bien toxique, même à faible dose

Publié le 27-09-11 à 09:32     Le Nouvel Observateur     

L'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire va reconnaître la nocivité potentielle des molécules sur la santé. Par Guillaume Malaurie

On retrouve du bisphénol A dans presque tous les plastiques alimentaires .."

.

" Publié le 27-09-11
Ce mardi matin, l’Anses va rendre public sa nouvelle approche toxicologique sur le Bisphenol A et au-delà sur les perturbateurs endocriniens.
Selon les premières indiscrétions, l'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire va reconnaître la nocivité potentielle à très faible dose sur la santé de ces molécules utilisées massivement dans les plastiques, les conserves, les films alimentaires, les cannettes…
Dans son rapport, l'agence (Anses) considère comme objectif prioritaire de prévenir l'exposition des populations les plus fragiles et d'engager sans tarder une substitution au BPA dans les matériaux en contact avec les produits alimentaires.
A l’évidence, il s’agit là d’une rupture conceptuelle de toute première importance avec les avis antérieurs de l’Agence. Mais aussi avec les derniers avis de l’Agence européenne pour la sécurité des aliments (Efsa)."

19/10/2011

et tous les polluants dans le compost TMB sur nos terres agricoles ?i

article Ouest France mercredi 19 octobre 2011

L'alimentation a des effets sur le cancer du sein


Reste à comprendre les mécanismes qui jouent sur le développement de la maladie, qui fait 11 500 morts par an en France. Une étude internationale vient d'être lancée. Pour prévenir plutôt que guérir.

Repères

Un nouveau cap pour la recherche

Depuis quarante ans, la priorité a été donnée à l'amélioration des traitements et au dépistage. « Avec de véritables progrès », se félicite Sophie Lelièvre, une chercheuse normande devenue professeure à l'université de Purdue, dans l'Indiana (États-Unis), et directrice adjointe du centre de recherche sur le cancer de la même ville. « Maintenant, il faut d'urgence ouvrir la piste de la prévention. »

Augmentation des cas

Dans la plupart des pays, on constate une augmentation du nombre de cancers du sein. « On ne peut imaginer de devoir soigner un nombre croissant de femmes avec des traitements lourds et coûteux. Certains pays n'en auront même pas les moyens. Il nous faut agir sur les causes. » L'alimentation en fait partie. « On sait par exemple que l'obésité chez la femme ménopausée et une consommation excessive d'alcool sont des facteurs de risque. »

Des études contradictoires

De nombreux pays ont lancé des programmes sur l'alimentation. Mais les populations étudiées, les méthodes employées ne permettent pas de tirer des conclusions universelles. « Certaines données sont même contradictoires. Une chose est sûre : tous les pays où l'on constate une rapide augmentation des cas ont connu un changement du comportement alimentaire. »

Toujours la malbouffe

Dans le collimateur, la nourriture rapide, trop sucrée, trop grasse, qui fait déjà des ravages dans la population avec l'obésité qu'elle provoque. « La glande mammaire est très sensible à la nutrition entre le début de la vie fœtale et la puberté. L'alimentation de la mère, puis celle de l'enfant jouent donc un rôle essentiel. » Cette exposition rapide à une piètre nutrition pourrait être l'une des explications à la précocité des cancers du sein.

Mais aussi le stress et la pollution

Trois facteurs environnementaux sont susceptibles de démultiplier les risques. La nutrition, mais aussi le stress à long terme et la pollution. « Le facteur socio-économique joue beaucoup. Imaginez une personne qui, toute l'année, se demande comment elle va faire pour nourrir sa famille, qui achète trop de produits gras et sucrés et vit dans une banlieue polluée... »

La clé des gènes

Au-delà du génome, notre patrimoine génétique connu et fixe, il y a ce qu'on appelle l'épigénome. Ou comment l'histoire individuelle de chacun influe sur l'organisation des gènes de notre corps. « L'épigénome est malléable, il est influencé par la nutrition, la pollution... Il l'est l'une des clés pour comprendre comment un facteur de risque peut déclencher la formation d'un cancer. » Toutes ces notions sont au coeur d'une vaste étude internationale prenant en compte des données scientifiques, mais aussi sociétales. Comment changer notre mode de vie pour un avenir plus sain.

Philippe LEMOINE.

28/02/2011

le tri METHANO biologique en question à BENET


Où nous voyons un projet moins dangereux pour notre santé choisi sur le site de BENET!
pour nous ici au Pays des Olonnes nous n'aurons droit qu'au trimécanobiologique

On peut analyser le choix des décideurs :
Le Tri mécano biologique présente des risques, certes, qui seront minorés en conséquences visibles, par le fait que la population locale importante, est sur le littoral, au maximum de sa capacité , 2 à 3 mois par an seulement .
Que des populations en transit se retrouvent momentanément en contact avec des produits agricoles contaminés resterait donc peu préoccupant , car c'est une population volatile .....!

Mais alors , pour les résidants " captifs" ?
Probablement que le constat sur notre territoire , d'une population qui flirte avec presque 50% de personnes au dessus de 60 ans laisse croire que l'intoxication cumulative par ces polluants sera suffisamment "lente", pour ne pas avoir des mises en accusation, pour atteinte à l'intégrité et à la santé d'autrui.

Sauf que les Experts de Santé indépendants , conscients des risques , commencent ici et là , à les dénoncer..ces atteintes!

Donc nous voilà bien en présence d'un grave dilemme...

  • soit le compost du TMB est épandu et les procès s'ensuivront car les connaissances affluent .
  • soit le compost est enfoui et un scandale pour gaspillage de l'argent du contribuable va faire la une des médias et d'autres actions seront intentées
"trop compliqué" le tri METHANO biologique ?
pas sûr !
A quoi donc pensaient nos conseillers généraux du canton quand ils ont voté ce projet ?
A ne pas déplaire au maître ?
Il devient urgent de changer les responsables qui nous gèrent avec le plus grand mépris
!
Il est temps que nos décideurs soient formés à la notion de respect de la vie de leur population et de l'avenir des générations futures.
Il va aussi leur falloir apprendre à devenir sourds aux manipulateurs
du monde des affaires .
  • et que les citoyens reprennent en main leur devenir .
Les cantonales ont lieu les 20 et 27 mars prochains, et finalement c'est nous qui feront la différence.
martine

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