25/06/2011
BARRAGE projet abandonné
24/06/2011
projet de piscine de la CCO
Le projet de piscine de la CCO : une polémique révélatrice !
La presse s’est fait l’écho de la polémique dans laquelle se sont engagés le maire d’Olonne et Cap Vrai après la décision prise par la CCO de retenir le site des Plesses.
Premier constat : Moreau et Rossignol ont une conception très particulière de la démocratie ! S’agissant du premier, rien d’étonnant : comme son ancien mentor, Moreau considère que seuls ses choix sont « les bons »…
N’ayant pas été suivi sur ce dossier par la majorité des membres de la CCO (quelle audace !), il a par suite fait preuve d’arrogance, et claironné que les avis exprimés par les chefs d’entreprise des Olonnes et les trois communes de la CCAV (qui lui étaient favorables ) auraient du prévaloir …et que la CCO serait finalement punie de ne l’avoir pas compris !
Rien de bien surprenant en vérité, puisque la Vannerie c’est chez lui, et qu’il se voit déjà patron du Pays des Olonnes et de ses alentours…
Et puis la Vannerie ça aurait permis de développer un « vrai » projet de piscine privée, avec commerces, hôtel…Un vrai projet qui aurait bien plu à Cap Vrai qui voit mal une collectivité gérer ce tye d’équipement public…
Cap Vrai , allié objectif de Moreau, a donc claironné qu’une fois de plus la CCO avait « mis la charrue avant les bœufs en choisissant le site d’implantation sans qu’aucun élu n’ait une idée du type de projet »…
Prenant cette attitude, Cap Vrai reste fidèle à lui-même.
Ses élus nous ont en effet habitués, au Château d’Olonne, à « tirer sur tout ce qui bouge », à tout critiquer, à se considérer comme experts en tout, à affirmer qu’on ne leur présente jamais de « vrais » projets et qu’on leur demande toujours « de signer des chèques en blanc », allant jusqu’à laisser entendre que les commissions préparatoires auxquelles ils ont assisté ou auraient dû assister …ne produisent rien !
Sur ce dernier point le président de la CCO et le maire du Château ont répondu que le vote incriminé a été précédé d’un travail de réflexion engagé par la commission « sport » en relation avec le cabinet conseil, lequel a conduit l’étude, évalué les besoins, interrogé les différentes catégories d’utilisateurs….afin que la CCO puisse préciser les grandes lignes du projet.
Alors pourquoi prétendre qu’il n’y a pas de projet, si ce n’est par souci de nuire et de contester systématiquement le travail des autres ?
A cette habituelle mauvaise foi se mêlent des arrière-pensées électoralistes.
A défaut d’être aux commandes, Cap Vrai, déplorant que les élus « conduisent le Pays des Olonnes au déclin » , se présente opportunément comme la seule force politique capable de redonner de l’ambition à notre territoire.
C’est donc dans cette logique que Cap Vrai réclame à corps et à cri le « grand complexe aquatique » dont on veut nous priver…comme il a précédemment réclamé « un grand centre ville » et un « grand office du tourisme » au Château …
Et Cap Vrai, une nouvelle fois, ne manque pas d’idées , sur ce sujet comme sur tous les autres.
JC.Rossignol veut donc un bassin de 50 mètres. Rien de moins ! et ajoute que ce type de bassin permettrait – cerise sur le gâteau - la pratique du plongeon…
Sans doute ignore-t-il que ce type de piscine entraîne des coûts de gestion extrêmement élevés puisqu’il majore significativement les dépenses de fonctionnement (recrutement de personnels supplémentaires, entretien de surfaces plus importantes, traitement de l’eau….), alors que sa valeur ajoutée demeure relativement minime.
Rappelons en effet qu’aucune piscine n’est « rentable ».
Sauf à proposer des coûts d’entrée prohibitifs et à faire payer les clubs et les scolaires, ce qui n’est ni souhaitable ni possible (sauf dans une logique ultra-libérale !), toute piscine dégage un déficit qui reste à la charge du contribuable. Et l’objectif ne peut pas être de rendre cette charge insupportable, sous prétexte de faire preuve d’ambition….
Envisager par ailleurs la pratique du plongeon nécessiterait que l’une des extrémités du bassin serve de fosse de réception et ait une profondeur d’eau suffisante pour que les plongeurs ne s’écrasent pas au fond.
Promouvoir la pratique du plongeon pourrait séduire quelques adeptes. Mais ce n’est pas raisonnable.
En réalité le Pays des Olonnes dispose déjà d’un bassin beaucoup plus grand et plus intéressant que celui proposé par Cap Vrai .
« Ce bassin s’appelle l’océan atlantique ».
Il accueille déjà la population en période de fréquentation maximale, et sans dépenses supplémentaires.
Voilà pourquoi le pré-projet de la CCO nous paraît convenir puisqu’il devrait notamment satisfaire les besoins recensés dans les deux domaines de la natation scolaire et de la pratique sportive en club.
Soit un bassin de 25m + un bassin ludique + des annexes à déterminer.
Ce nouveau complexe devrait voir le jour aux Plesses, c’est à dire au cœur du réseau de nos établissements scolaires, ce qui aurait dû réjouir tous les élus du Château, les deux autres communes, qui disposent chacune d’une piscine, ne pouvant s’estimer lésées.
Ce complexe sera donc directement accessible aux élèves de notre commune qui pourront, dans la plupart des cas, s’y rendre à pied, ce qui n’aurait pas été le cas pour la Vannerie.
Nos administrés auront pourtant noté que Cap Vrai ne porte aucune attention particulière à nos enfants et se préoccupe davantage du sort des élèves des communes du rétro-littoral, lesquels auraient dû, quelle que soit l’implantation retenue, se déplacer par car…
Il est vrai que ça prendra 3 ou 4 minutes de plus pour rejoindre le site retenu…
D'où l'extrême déception du président de la CCAV et de Cap Vrai
Alain Guyot
23/06/2011
infos CNIID
Nom masculin – du verbe emballer, étymologiquement : mettre en balles, c’est-à-dire préparer et grouper des marchandises pour leur transport et stockage.
Objet ou matériau destiné à envelopper un produit aux différentes étapes de sa distribution, jusqu’à son utilisation par le consommateur final.
Autrefois couramment réutilisable, notamment par le biais de systèmes de consigne, l’emballage primaire (celui destiné au consommateur final) est aujourd’hui quasiment toujours jetable.
La fonction première de l’emballage est de protéger le produit durant son transport et son stockage. En tant que support de communication, l’emballage permet de transmettre au client des informations sur le produit, mais surtout de le lui faire acheter : design et messages accrocheurs, suremballage visant à assurer une visibilité optimale dans les rayons, etc.
Pas toujours justifiées, les multiples fonctions attribuées à l’emballage semblent le rendre indispensable. Il s’agit surtout de ne pas manquer d’arguments pour soutenir un secteur économique fleuron de l’industrie française, qui pèse environ 20 milliards d’euros de chiffre d’affaires.
Les milliards de tonnes de matières premières gaspillées, les millions de tonnes de déchets d’emballages produits chaque année, dont moins de la moitié seront recyclés, importent peu…
- L’emballage vu par Martin Vidberg pour le Cniid
Le rôle de l’emballage est étroitement lié au choix du mode de distribution des produits – alimentaires notamment. Si l’emballage est roi dans les rayons des hypermarchés, les circuits courts lui font une place plus conforme à ses fonctions d’origine. Les liens étant plus directs entre producteur et consommateurs, l’information utilise d’autres canaux.
Grâce à de soi-disant prouesses de recherche et développement (consistant par exemple à réduire la taille ou le grammage des cartonnages de suremballage), l’emballage d’aujourd’hui se proclame désormais « éco-conçu ». Supprimer le suremballage en question ? Chaque chose en son temps…
L’emballage du futur, nous promet-on, sera « intelligent » : il pourra surveiller la qualité de l’aliment, indiquer sa température. Et concevoir un emballage réutilisable ? Bien trop compliqué apparemment…
...
"Eau : le barrage sur l'Auzance est-il toujours pertinent ?
Le lieu-dit le Petit Besson, près de l'Auzance. C'est ici que le projet de barrage est envisagé.
Le Département s'apprête à prendre des décisions fortes pour en finir avec l'angoisse chronique du manque d'eau. Le barrage sur l'Auzance a perdu du terrain. Au point d'être remis en cause ?
Trois raisons pour le réaliser
Des besoins toujours plus grands
Face à une population qui augmente (840 000 habitants en 2040), le département doit trouver des ressources nouvelles, les besoins supplémentaires, d'ici 2025, étant estimés à 10 millions de m3.
Qui plus est, les besoins agricoles (environ 100 millions de m3), industriels aussi, restent très élevés. À l'évidence, le barrage de l'Auzance ne serait pas de trop dans un « bouquet » de ressources en eau. Vendée eau (1) a d'ailleurs déposé un nouveau projet à l'État voilà quelques semaines.
Cet après-midi, le préfet, Jean-Jacques Brot, devrait dire la suite (positive ou non) qu'il donne au barrage. Le conseil général dévoilera ensuite ses intentions.
Une si longue attente...
Quinze ans d'études en tous genres, des réunions publiques à répétition, des motions du conseil général, des terres achetées aux agriculteurs (500 hectares) par la Safer puis revendues à Vendée eau... « Que de temps perdu si le barrage ne se fait pas », s'agace le sénateur Jean-Claude Merceron. Depuis quelques mois, le Département travaille sur plusieurs scénarios, avec ou sans barrage, avec ou sans raccordement.
Moins cher qu'un raccordement avec la Loire
Les études comparatives seraient plutôt favorables au barrage. Celui-ci coûterait 25 millions d'euros en investissement pour le contribuable, « contre le double pour une conduite d'une centaine de kilomètres reliant le fleuve nantais à la Vendée », indique Bernard Laubiès, directeur de Vendée eau. Certains craignent aussi qu'en cas de sécheresse, la Loire alimente prioritairement la Loire-Atlantique plutôt que la Vendée.
Trois raisons pour l'enterrer
Il arrive trop tard
« Il y a urgence, analyse Joël Limouzin, président de la FDSEA. On ne peut pas prendre le risque d'une grave pénurie d'eau, il faut trouver des solutions rapidement. » L'option barrage paraît risquée, car sa concrétisation risque d'être longue. « Avec l'enquête publique plus les éventuels recours, si ça doit nous amener à 7 ou 8 ans de délai, on aura une crise avant », prédit Joël Limouzin. Joël Sarlot, vice-président du conseil général, fait preuve de pragmatisme. « Il vaut mieux un raccordement, même si ça n'est pas idéal, plutôt que rien du tout. » L'heure du barrage semble passée. Avec une retenue formatée pour contenir 8 millions de m3 (mais seulement 4 pour l'eau potable), la Vendée ferait encore de la corde raide une année sur cinq.
Des contraintes environnementales et législatives
La législation européenne est devenue très contraignante pour les barrages, coupables de perturber les milieux.
Certes, souligne Bernard Laubiès, « la réglementation européenne n'interdit pas d'en construire, mais c'est très restrictif ». Les porteurs de projet doivent notamment démontrer « qu'il n'y a pas d'autres solutions environnementales meilleures, à un coût qui ne soit pas disproportionné ».
Une définition réglementaire suffisamment floue pour alimenter toutes les interprétations. Avec derrière, le risque d'une bataille juridique à l'issue toujours incertaine.
D'autres solutions
Le transfert d'eau depuis la Loire paraît plus rapide à mettre en oeuvre. « C'est le plus sage, surtout si l'on doit faire face à des recours », estime Joël Sarlot.
Joël Limouzin n'est pas contre et plaide aussi pour le renforcement de l'interconnexion entre les barrages existants. « C'est la solution la plus intelligente. » L'usine de dessalement (dix ans seront nécessaires), les forages (2 millions de m3) et les économies d'eau (2 millions de m3 également) sont d'autres pistes à explorer.
Armand Reboux, président de La Facture d'eau, en propose une autre, plus explosive : changer les modes de culture, trop gourmands en eau. « Ça permettrait de disposer d'une ressource abondante et ça réglerait une bonne partie du problème. »"
Philippe ECALLE. Ouest-France
N.B n'oublions pas non plus, de nous méfier de certaines commissions ad-hoc élaborées pour mieux faire passer certains mauvais projets
22/06/2011
le projet barrage et une de ses conséquence imbéciles
PROJET DE PORT A BRETIGNOLLES
une ferme bio condamnée
par un projet fou de port de plaisance dans les terres. Dernier témoin de ces
paysages ruraux-littoraux qui embaume encore nos souvenir de gamins, dernier
rempart à une urbanisation galopante, elle répond pourtant à tous les nouveaux
enjeux de l'agriculture du XXIème siècle: préservation de l'environnement avec
la pratique du bio, valorisation de l'espace et outil d'aménagement du territoire,
relocalisation de la production agricole, économie d'énergie avec la distribution
par les circuits courts, qualité des produits plébiscité par les consommateurs,
visite de ferme favorisant le lien social, le travail à échelle humaine.
OUI le port nous prend la majorité de nos terres (18ha/29ha), nous ne pourrons plus être agriculteurs. NON la municipalité ne nous a jamais rien proposé, indemnisation, replacement. NON l'étude d'impact ne mentionne jamais notre exploitation de manière significative comme uneexploitation entière et viable qui va disparaître. OUI l'enquête publique est importante, ouverte à tous, résidents, non résidents, vous tous. C'est le seul outil démocratique ou tous et chacun peuvent s'exprimer sur ce projet de grande envergure qui modifiera de façon définitive notre territoire
. NOUS AVONS BESOIN DE VOTRE SOUTIEN
Faites savoir aux commissaires enquêteur votre attachement à cette forme d'agriculture. Dénoncer l'ignominie de la municipalité d'avoir imposé aux rédacteurs de l'étude d'impact de ne pas mentionner la ferme de la Normandelière. Si il y a beaucoup d'avis négatifs et de contres
propositions, les commissaires enquêteurs (personne nommée par le préfet, tous hors département,qui prennent les avis de tous) sont obligés de le mentionner dans leur rapport.
DU 20 JUIN ET AVANT LE 03 AOUT
3 façons de procéder :
-Écrire un courrier personnel où vous exposez vos arguments, à envoyer à : Bernard Pipet, Présid
-Déposer votre avis sur un registre en mairie du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 14h à 17h30 et le samedi de 9h à 12h30 -Tél : 02.51.22.46.00
-Rencontrer un des 5 commissaires à ces dates à la mairie :
-lundi 20 juin 2011 de 8h30 à 12h00
-Jeudi 23 juin de 14h30 à 17h30
-mercredi 29 juin de 9h00 à 12h00
- vendredi 1er juillet de 9h00 à 12h00
- mercredi 6 juillet de 14h30 à 17h30 -
-samedi 9 juillet de 9h00 à 12h00
- mardi 12 juillet de 14h30 à 17h30
-lundi 18 juillet de 9h00 à 12h0
-jeudi 21 juillet de 14h30 à 17h30
-mardi 26 juillet de 14h30 à 17h30
-vendredi 29 juillet de 9h00 à 12h00
-mercredi 3 août de 14h30 à 17h30
-la ferme va disparaître, l'étude n'en parle pas alors que c'est une exploitation viable économiquement. -incroyable, la Chambre d'Agriculture a donné un avis positif au projet du port, quel est l'intérêt d'une chambre d'agriculture dans la réalisation d'un port ? -un des arguments de la municipalité est de préserver ces terres de l’urbanisme, or, les terres agricoles non seulement préservent, mais maintiennent le paysage et permettent par leur exploitation en agriculture biologique, une préservation de l’environnement, de favoriser la cohésion et le lien social par notre proximité des clients et le dynamisme de Brétignolles par notre présence sur le marché et à notre ferme. -nous répondons à une demande des consommateurs qui cherchent la qualité,le local, l'authenticité d'un produit, les circuits courts.
-l'image de ruralité que nous entretenons permet de garder une immage de commune rurale, calme, sereine, pas trop urbanisée, à une taille humaine et se démarquant de toutes celles d'à côté.
-nous participons largement à l'image de Brétignolles qui a la caractéristique d'être une commune littorale « à la campagne ».
-nous participons au développement touristique, présence de 30 à 40 personnes tous les soirs à la traite pendant l'été avec de nombreuses personnes qui reviennent d'une année sur l'autre, vente sur place de nos produits.
-cette dépense d'énergie a monopolisé la municipalité et empêché de faire émerger des projets plus sages, plus « durables » et surtout plus innovants.
-ce projet va à l'encontre de la protection de l'environnement, il détruira une zone humide, un cordon dunaire au rôle protecteur, des roches en mer, les digues vont forcément perturber les courants, l' ensablement...
-le port sera rempli de bateaux ventouses, qui ne bougent jamais ou sortent une semaine l'été, donc sans aucun bénéfice pour « allonger la saison ». Bonne plume et merci
Nathalie Retail et David Fromont Ferme de la Normandelière 85470 Brétignolles sur mer Tél : 02.51.90.08.36 (laissez nous un message
Pour en savoir plus voici des liens utiles : http://www.non-au-port-a-bretignolles.com/
APNO
Association pour la Protection de la Nature au pays des Olonnes
Site: http://www.apnolonne.fr
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