"45 ans jour pour jour après la mort du Général de Gaulle, le 9 novembre 1970, que reste-t-il du gaullisme?
Alors que la figure du Général est entrée dans l'Histoire de notre pays depuis bien longtemps déjà, chaque républicain peut se référer au grand homme. De Gaulle fait partie de notre patrimoine national. Le gaullisme, avant d'être une idéologie ou une doctrine est avant tout un état d'esprit, porteur d'une "certaine idée" de la France. Le gaullisme c'est l'idée d'une France grande et donc humaniste, d'une nation soudée grâce à une politique sociale forte. C'est l'idée d'une France indépendante et libre. C'est l'idée du rassemblement de tous les Français, au-delà du clivage gauche/droite. C'est le refus du libéralisme économique au profit d'une économie orientée par l'Etat. C'est le refus à la fois du capitalisme et des socialismes révolutionnaires au profit d'une troisième voie sociale.
De tout cela, malheureusement, il reste peu de choses chez les "héritiers" politiques de De Gaulle depuis la disparition du RPR. L'UMP et à présent le parti "Les Républicains" étant à présent bien éloignés de cette certaine idée de la France, en prônant une politique ultra libérale et en courant sans cesse après l'extrême droite. Finalement l'Histoire réserve des retournements inattendus !"
Alors que la figure du Général est entrée dans l'Histoire de notre pays depuis bien longtemps déjà, chaque républicain peut se référer au grand homme. De Gaulle fait partie de notre patrimoine national. Le gaullisme, avant d'être une idéologie ou une doctrine est avant tout un état d'esprit, porteur d'une "certaine idée" de la France. Le gaullisme c'est l'idée d'une France grande et donc humaniste, d'une nation soudée grâce à une politique sociale forte. C'est l'idée d'une France indépendante et libre. C'est l'idée du rassemblement de tous les Français, au-delà du clivage gauche/droite. C'est le refus du libéralisme économique au profit d'une économie orientée par l'Etat. C'est le refus à la fois du capitalisme et des socialismes révolutionnaires au profit d'une troisième voie sociale.
De tout cela, malheureusement, il reste peu de choses chez les "héritiers" politiques de De Gaulle depuis la disparition du RPR. L'UMP et à présent le parti "Les Républicains" étant à présent bien éloignés de cette certaine idée de la France, en prônant une politique ultra libérale et en courant sans cesse après l'extrême droite. Finalement l'Histoire réserve des retournements inattendus !"