CONSTRUIRE L'AVENIR ENSEMBLE
 

08/01/2013

Déchets : quelques pistes déjà connues: Pincé dans la Sarthe




 

Les déchets coutent cher à détruire ..mais si on adoptait  deux poules ?

Évidemment...pour les faire garder pendant les vacances...et en cas de séparation .....et puis en liberté dans les jardins ....la chasse aux œufs commencerait ..
quoique ces problèmes ont  bien du être  examinés soigneusement je crois , avant de mener à bien cette expérience , et puis 150kg de déchets ménagers mangés ... pour faire baisser la taxe incitative  et ...une poule au blanc (hem!) ..bref comme relaté  avec humour par cet article de Rustica :


à suivre ?

le panier pour la balade...


.la résidence Grand Luxe


06/01/2013

la voix des Sages

« En 2013, il faudra plus encore se méfier de la docte ignorance des experts"


Edgar Morin, le philosophe souligne notre incapacité à faire un « diagnostic juste » de ce qui se passe aujourd’hui :

« Tout notre passé, même récent, fourmille d’erreurs et d’illusions, l’illusion d’un progrès indéfini de la société industrielle, l’illusion de l’impossibilité de nouvelles crises économiques, l’illusion soviétique et maoïste, et aujourd’hui règne encore l’illusion d’une sortie de la crise par l’économie néolibérale, qui pourtant a produit cette crise.
Règne aussi l’illusion que la seule alternative se trouve entre deux erreurs, l’erreur que la rigueur est remède à la crise, l’erreur que la croissance est remède à la rigueur. »
Il enfonce encore plus précisément le clou :

« Cette docte ignorance est incapable de percevoir le vide effrayant de la pensée politique, et cela non seulement dans tous nos partis en France, mais en Europe et dans le monde"



et Michel Serres de demander :
« Une nouvelle université. Il faut aussi construire une nouvelle chambre des députés, une nouvelle représentation politique, un nouveau droit. Le droit tel qu’il est – il n’y a qu’à voir l’échec d’Hadopi – ne correspond plus à la réalité… Le plus grand effort qu’il faudra faire, demain matin, c’est même assez urgent, est de repenser l’ensemble de ces institutions. » 

« Ce n’est pas une crise, c’est un changement de monde. »

 

 

extraits RUE89

les tricheurs aux commandes !




Les pesticides s’invitent toujours dans nos assiettes


Alors que la Commission européenne se félicite de voir les produits phytosanitaires disparaître peu à peu de notre alimentation, une ONG dénonce un tour de passe-passe




Pourcentage des fruits et légumes où des pesticides ont été décelés. Pourcentage des fruits et légumes où des pesticides ont été décelés.


Explications.  Pour prendre en compte l’incertitude analytique des laboratoires analysant les résidus de pesticides et les différences éventuelles entre les laboratoires, la DG SANCO a, dans un document guide officiel (2), arrêté la valeur de l’incertitude analytique à +/- 50% de la valeur mesurée (X). Ainsi, pour une valeur mesurée de X = 2 mg/kg, l’intervalle d’incertitude est compris entre 2 -1 et 2+1 ( 50% de 2 = 1). L’intervalle d’incertitude est donc compris dans cet exemple entre 1 et 3  mg/kg.  Jusque-là tout va bien….
 Des chiffres joliment rabaissés… Le tour de passe-passe intervient ensuite et il est énorme : la DG Sanco considère arbitrairement que la valeur qui sera retenue pour juger d’un éventuel dépassement de LMR est –  non la valeur mesurée mais – la valeur inférieure de cet intervalle (valeur mesurée – 50%) soit dans l’exemple ci-dessus 1mg/kg, au lieu des 2 mg/kg mesurés ! Le truc est énorme : Il s’agit ni plus ni moins que de diviser la valeur mesurée par 2 avant de la comparer à la LMR ! On se doute qu’avec cette méthode les dépassements de LMR vont diminuer…mais artificiellement.  La DG Sanco demande aux Etats membres de l’UE d’appliquer cette méthode.
« En matière de LMR pour les pesticides la DG Sanco a inventé la machine à diviser par 2  les quantités de pesticides retrouvées dans les aliments! Cela revient dans les faits à doubler la tolérance par rapport aux résidus de pesticides et à exposer la population européenne à des quantités toujours plus grandes de ces produits toxiques dans leur alimentation ce qui est un pur scandale. » Déclare François Veillerette, Porte- parole de Générations Futures.

  La presse en parle


04/01/2013

envoi de militants pour information à diffuser selon vos choix

    
        Comité du Pays des Olonnes 85
Contre le projet d’aéroport de Notre Dame des Landes
Depuis le Lundi 10 décembre 2012, un nouveau comité s’est mis en place aux   Sables d’Olonne afin :


- d’informer la population du Pays des Olonnes et ses communes environnantes.
- de relayer, coordonner les actions définies tant au niveau local, régional ou/et
national.


A notre seconde rencontre du 20 décembre, nous nous sommes retrouvés 32  participants, ce n’est qu’un début, soyons encore plus nombreux à :


La prochaine réunion aura lieu à la Bourse du Travail - Les Sables d’Olonne
              Le mardi 8 janvier 2013 de 18h à 20h.


Nous y ferons le point sur la situation
 

                         Ordre du jour proposé
 

Préparation des actions à mener, soirée d’informations, communication, atelier
confection de banderoles.
 

                 Pour nous contacter :
      comite.nddl.paysdesolonnes.85@orange.fr
                Tél : 06 72 14 58 70
 

Si vous n’êtes pas libre pendant ces 2 heures, n’hésitez à prendre contact ou à passer quelques minutes seulement à la Bourse du travail : un point d’accueil sera  organisé.
 

Ce comité est ouvert à toutes les citoyennes et les citoyens intéressés par l’opposition à ce projet inutile et coûteux.
 

Merci de faire circuler ce message auprès de vos ami-e-s ou connaissances!
Pour suivre les informations sur Notre Dame des Landes : http//acipa.free.fr

le littoral sensible ..et ses dérives ......



 

 

Alors que les experts prédisent une augmentation du niveau de la mer d'ici 2050,( voir  précédemment, les statistiques données suite au sommet de DOHA ) le « recul stratégique » dans certaines zones littorales s'impose progressivement comme la solution raisonnable plutôt qu'une protection « coûte que coûte » contre la mer.

 Mais le message reste difficile à faire passer…..






 

"Le recul stratégique est la mesure la plus sûre et la plus durable », assume Thierry Lataste, préfet du Languedoc

-Roussillon, lors des rencontres. « Mais cela suppose beaucoup de conviction et de courage », déclare le
représentant de l’État, tant sa position est délicate face à la défiance des élus locaux. 

En témoigne les propos de Jean-François Rapin, président de l'Association nationale des élus locaux (Anel), qui défend le maintien du trait de côte au risque de « spolier les propriétaires privés pour nos propres lubies d’avenir ». Les élus ne sont donc pas prêts à endosser la stratégie du repli face à leurs administrés.

« Le recul stratégique est très dur à entendre par les habitants qui réclament au contraire que leur côte soit consolidée », explique Yves Colcombet.

 Commandé à la suite de la tempête Xynthia, le rapport parlementaire du député de la Manche Alain Cousin soulignait bien que l’adaptation à la montée des eaux ne relevait pas « d’aménagements techniques ponctuels » mais « d’un sujet éminemment politique ».

La cour des comptes critique l’État sur Xynthia
Mais si la relocalisation peut constituer la solution la plus raisonnable, elle n’est pas une solution miracle. Elle coûtera cher et sera dure à négocier. Grâce à un appel à projet clôturé le 1er octobre 2012, le ministère de l’Écologie espère voir émerger des expériences sur des territoires volontaires.

Une chose est sûre, le coût de Xynthia plaide pour anticiper la montée des eaux plutôt que de la subir. Dans un rapport rendu public en juillet 2012, la Cour des comptes fait un bilan financier « très lourd » de la tempête. Le rapport dénonce en particulier les rachats « précipités » d'habitations à risque par l'État, « dans un élan de protection  et de solidarité nationale ». C’est en effet 300 millions d’euros qui ont été mobilisés via le fonds de prévention des risques naturels majeurs (FPRNM), soit plus du double du coût de la catastrophe elle-même
 Un coût qui s’explique aussi par la complicité des élus et des promoteurs immobiliers dans la constructibilité des zones inondables.

03/01/2013

enfantement ?

les artistes discrets suite
sculpture  (alain guyot)

02/01/2013

lumière bleue du soir

envoi de marie françoise Astoul:.peinture de  JEHAN MARIE

pour vous faire  rêver un peu

. le sommet de DOHA . échec !



Dans son article " CO2 Trop c'est Trop,", Courrier International présente une pleine page  de statistiques  sur les dégâts occasionnés par l'impact des émissions de gaz carbonique sur la planète,  et les alertes à venir avec pour limite de dépassement acceptable  dans le "temps restant avant dépassement"  de 13 ans . bigre !*



 Actuellement nous constatons  avec une augmentation de température   de +0,8% :
  •   +30% d'acidification des océans , et  des vagues de chaleur de plus en plus fortes dans le monde.

Avec une  augmentation de température  de +1,5° maintenant considérée comme inévitable  :
  •   une élévation du niveau de la mer  de + 0,85 m.
  •  Les coraux ne poussent plus. 
  • La glace arctique diminue de +15%.
  • Les fortes pluies augmentent de +7%

Les réserves utilisables  de notre budget carbone seraient de 500GT.
 Entre 1850 et 2000 nous avons produit 1 020 gigatonnes  de dioxydes de carbone.
et 380 GT depuis 2000.

 Chaque homme produit chaque année 31 GT.

 Si nous atteignons   + , le seuil de sécurité est franchi.
  • Le niveau de la mer s'élève de +1,04m. La ville d'Amsterdam est inondée.
  • Le corail disparait.
  • La couche de glace de l'océan arctique fond de +30%. 
  • L'Europe connait des vagues de chaleur tous les étés. 
  • Les fortes pluies augmentent de +30%.

Un scénario effrayant est alors posé: la calotte glaciaire du Groenland se désintègre. Elle mettra certes  50 000 ans à fondre, mais les niveaux de la mer s'élèveront de 6 m.

Je vous fais grâce des simulations  à +3° et +5°.

On peut jeter un regard désabusé à ces prédictions statistiques, et passer à nos petits soucis casaniers, "d'amour gloire et beauté "comme le feuilleton tarte américain.
Il n'en reste pas moins vrai que personne ne remet en cause ce constat et qu'aucune voix  ne semble vouloir proposer de solution à l'échelle de la planète .
 C'est l'échec.
 
De multiples  associations de défense de l'environnement donnent des conseils pour modérer notre "pollution personnelle" de carbone. . Sera -ce suffisant ? comme dans le livre cité plus avant .?.
Quand le désir d'acquisition d'objets et leur commercialisation à tout crin  sont  devenus l'objectif  unique d'une "joie de vivre" .et le moteur d'une société ...
Acheter plus consommer plus,  susciter à coup de PUB des désirs éphémères et marchands .. quelle  machine infernale.  Finalement .

  • Comment enrayer  cette surchauffe sans occasionner le chaos d'ordre économique ?
  •  Comment consommer sans détruire ?

  • comment limiter notre consommation énergétique ,
  •  Comment peuvent   réagir les Étatsles gouvernements devant cette quadrature du cercle ?
  •  
  •  
Vaste chantier ! et les sommets s'enchaînent sans qu'aucun État ne puisse prendre  le problème par les cornes  pour y mettre fin.

.

La pensée de Victor Hugo prend tout  son sens. Nous sommes bien entre les mains des " marchands" 

*David Mac Candless

méditation envoi de la FEVE

01/01/2013

à tous ceux qui sont engagés dans cette voie .ce livre



extrait de RUE 89

A l’heure où la phrase de Margaret Thatcher « There is no alternative » (au libéralisme, à la rigueur budgétaire) n’a jamais été autant dans la bouche des dirigeants, il est bon de rappeler la réponse de Susan George : « There are thousands of alternatives ».
La journaliste Bénédicte Manier est partie de la deuxième assertion et, pendant deux ans, est allée voir ce qui fait bouger la société civile, les graines de changement semées partout et qui inventent un « autre monde possible ». Elle en a ramené un livre passionnant, « Un million de révolutions tranquilles » (Editions Les liens qui libèrent), qui fourmille d’utopies réalisées.
Des assemblées villageoises qui gèrent l’eau en Inde aux banques citoyennes en Espagne, elle décrit le fonctionnement de quelques-unes des solutions susceptibles de contourner la grande machine capitaliste.......


Bénédicte Manier (DR

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