17/03/2015
résister aux lobbies ! quel courage !
Tiers payant : le gouvernement résiste aux lobbies
Les Jeunes Socialistes saluent l’annonce de Marisol
Touraine, ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des
femmes, du maintien de la généralisation du tiers-payant d’ici 2017. Ils
sont fiers que le gouvernement n’ait pas cédé aux pressions de certains
médecins.
La généralisation du tiers-payant est une mesure de justice sociale,
parce qu’elle dispense les patients d’avancer des frais. C’est aussi une
nécessité sanitaire alors que de nombreux patients renoncent à se
soigner faute de moyens. Les jeunes sont notamment 33% à déclarer
renoncer aux soins pour des raisons financières. Enfin, cette décision
permet une simplification pour les médecins et des économies pour
l’Assurance maladie.
Les Jeunes Socialistes rappellent leur souhait de mettre fin au dépassement des honoraires.
encore un effort !
Des belges lancent un nouveau pesticide biologique
Stimuler
les défenses naturelles des plantes pour qu’elles apprennent à lutter
contre leurs agresseurs au lieu de les asperger de produits chimiques ?
c’est l’idée innovante, fruit de 10 ans de recherches, lancée par une
spin off belge !
Actuellement, l’agriculture mondiale
s’appuie fortement sur les produits chimiques pour stimuler la
croissance des cultures et les protéger. Près de 1.000 substances
actives ont été mises sur le marché depuis les années 50. Leur but :
tuer chimiquement les organismes nuisibles. Il existe près de 100
familles chimiques de pesticides (organophosphorés, organochlorés,
carbamates, pyréthrinoïdes, triazines…). Ils sont aujourd’hui
omniprésents dans l’environnement (air, eau, sol, chaîne alimentaire…)
et le risque d’exposition est chronique.
faudra trouver d'autres raisons de râler !
Comme s’y était
engagée la ministre, Najat Vallaud-Belkacem, le ministère de l’Éducation
nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a assuré la
semaine dernière la mise en paiement du solde de l’aide 2014-2015 du
fonds national de soutien à l’organisation des activités périscolaires :
un versement de l’ordre de 250 millions d’euros a été assuré par le
ministère à un peu plus de 22 500 communes au titre de la mise en œuvre
de la réforme des rythme scolaires dans les écoles publiques.
plus d'infos ;http://www.najat-vallaud-belkacem.com/2015/03/16/letat-verse-le-solde-de-laide-au-developpement-des-activites-periscolaires-250-me-pour-les-communes-et-intercommunalites/
16/03/2015
Nous
avons tous été choqués de voir certains élus interdire l'accès de la
cantine aux enfants dont les parents avaient parfois des difficultés à
régler la facture en fin de mois. Trop souvent, l'intérêt des enfants
eux-mêmes était bafoué dans ces cas alors même que le déjeuner à la
cantine est parfois le seul repas complet pour certains enfants. En
votant une proposition de loi qui interdira ce genre de dérive
inacceptable, les députés de gauche rétablissent de la justice à l'école
qui en a tant besoin. Bravo à eux !
www.clergeau.com/une-nouvelle-victoire-pour-legalite
Vous pouvez revoir "Aliments irradiés, mauvaises ondes dans nos assiettes ?" en replay sur le site de France 5 http://www.france5.fr/…/ali…/diffusion-du-15-03-2015-20h40-0
..Cpt-rendu CCO du Président d'A.C au Château d'Olonne
Compte rendu du conseil communautaire du 13 mars 2015.
Chacun d’entre eux, à sa façon, a tenté de se « dédouaner » en renvoyant vers l’ancienne équipe la paternité des décisions qui ont mené la CCO dans une impasse financière. Sauf que, tous les deux faisant partie de cette équipe. M. MOREAU qui avait perdu de sa superbe habituelle, a imputé ces décisions à l’ancien Président (les oreilles de Louis GUEDON ont du siffler jusqu’au larsen) et plus fort encore qualifié le budget soumis ce soir « de dernier budget de la mandature précédente ». Il finira par reconnaître que la situation financière de la CCO est difficile, que tous les voyants sont passés à l’orange et que si on ne prend pas de mesures (douloureuses) la CCO serait en cessation de paiement en 2016. « Les projets et les dépenses engagés produisent leurs effets maintenant. On doit donc réduire la voilure et revoir à la baisse les investissements et les frais de fonctionnement ».
J’ai noté tout au long de la soirée une série d’informations qui explique qu’aujourd’hui il faut payer la note :
L’entêtement à vouloir maîtriser toute la zone de la Vannerie par l’achat des terrains (la CCO n’en possède pas tout à fait la moitié)
La construction du centre aquatique sans évaluation des coûts générés par l’exploitation (quid des énergies renouvelables ?)
Le regroupement de toutes les structures de crèche et l’augmentation des places (reprise des personnels de la crèche associative)
L’investissement dans le village nautique de façon hasardeuse (pas de locataires – remboursement de l’emprunt non couvert par les loyers)
L’aménagement de zones d’activités économiques qui ne trouvent pas preneurs
La baisse des dotations de l’État et la baisse des rentrées fiscales
L’achat d’un immeuble avenue Carnot pour agrandir les locaux administratifs de la CCO
Les transports en commun (bus Oléane)
L’explosion des dépenses de fonctionnement
Tous les budgets annexes sont déficitaires
La proposition de mettre les trois communes à contribution par l’abandon partielle ou totale de la compensation que leur verse la CCO n’a pas été retenue. Elle avait pourtant l’avantage d’atténuer la hausse des impôts. Je salue aussi le courage de Brigitte GAUVIN et Frédéric CHENECHAUD qui ont fait part de leurs désaccords sur une quelconque augmentation des impôts et ce pour respecter l’engagement pris pendant la campagne électorale.
Le conseil communautaire a donc voté le budget et l’augmentation du taux de 15% de la taxe d’habitation.
Pour ce compte rendu je suis resté volontairement dans un exposé de la situation. Je vous donnerais mes impressions sur la situation de la CCO dans un prochain article.
Serge BILLIG, Président
Avant même d’assister à la séance, chacun d’entre nous pouvait lire le compte rendu dans le quotidien Ouest France (10 mars) et dans l’hebdo Journal des Sables (12 mars) alors même que les conseillers communautaires n’avaient pas encore débattu et voté. C’est nouveau… çà va au-delà de l’anticipation, c’est réduire ce conseil au rôle d’une chambre d’enregistrement.
Plus grave encore, laisser dire dans la presse que l’augmentation future de nos impôts est due à la construction du centre aquatique et à la réalisation de la crèche n’est pas acceptable… ceci revient à reconnaître implicitement que les investissements décidés n’étaient pas financés. Je croyais qu’un budget doit être « équilibré et sincère ».
Principaux sujets à l’ordre du jour, le budget communautaire 2015 et la fixation des recettes (nos futurs impôts).
Principaux sujets à l’ordre du jour, le budget communautaire 2015 et la fixation des recettes (nos futurs impôts).
L’opposition de gauche a justement réclamé des comptes à M. Joël MERCIER (en charge des finances de la CCO depuis 2008) et au Président MOREAU (alors Vice-Président de l’ancien en équipe). Ces deux là ont passé une bien mauvaise soirée et pour les avoir bien observé, ils ont du faire face à une belle tempête.
Chacun d’entre eux, à sa façon, a tenté de se « dédouaner » en renvoyant vers l’ancienne équipe la paternité des décisions qui ont mené la CCO dans une impasse financière. Sauf que, tous les deux faisant partie de cette équipe. M. MOREAU qui avait perdu de sa superbe habituelle, a imputé ces décisions à l’ancien Président (les oreilles de Louis GUEDON ont du siffler jusqu’au larsen) et plus fort encore qualifié le budget soumis ce soir « de dernier budget de la mandature précédente ». Il finira par reconnaître que la situation financière de la CCO est difficile, que tous les voyants sont passés à l’orange et que si on ne prend pas de mesures (douloureuses) la CCO serait en cessation de paiement en 2016. « Les projets et les dépenses engagés produisent leurs effets maintenant. On doit donc réduire la voilure et revoir à la baisse les investissements et les frais de fonctionnement ».
J’ai noté tout au long de la soirée une série d’informations qui explique qu’aujourd’hui il faut payer la note :
L’entêtement à vouloir maîtriser toute la zone de la Vannerie par l’achat des terrains (la CCO n’en possède pas tout à fait la moitié)
La construction du centre aquatique sans évaluation des coûts générés par l’exploitation (quid des énergies renouvelables ?)
Le regroupement de toutes les structures de crèche et l’augmentation des places (reprise des personnels de la crèche associative)
L’investissement dans le village nautique de façon hasardeuse (pas de locataires – remboursement de l’emprunt non couvert par les loyers)
L’aménagement de zones d’activités économiques qui ne trouvent pas preneurs
La baisse des dotations de l’État et la baisse des rentrées fiscales
L’achat d’un immeuble avenue Carnot pour agrandir les locaux administratifs de la CCO
Les transports en commun (bus Oléane)
L’explosion des dépenses de fonctionnement
Tous les budgets annexes sont déficitaires
La proposition de mettre les trois communes à contribution par l’abandon partielle ou totale de la compensation que leur verse la CCO n’a pas été retenue. Elle avait pourtant l’avantage d’atténuer la hausse des impôts. Je salue aussi le courage de Brigitte GAUVIN et Frédéric CHENECHAUD qui ont fait part de leurs désaccords sur une quelconque augmentation des impôts et ce pour respecter l’engagement pris pendant la campagne électorale.
Le conseil communautaire a donc voté le budget et l’augmentation du taux de 15% de la taxe d’habitation.
Pour ce compte rendu je suis resté volontairement dans un exposé de la situation. Je vous donnerais mes impressions sur la situation de la CCO dans un prochain article.
Serge BILLIG, Président
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