CONSTRUIRE L'AVENIR ENSEMBLE
 

29/04/2011

conférence Gargamoelle UPO

ce soir à la gargamoelle , nous avons eu une conférence d"excellente qualité,
ont été abordés des problèmes de procédures abusives dans l'exploitation intensive agricole....qu'un ingénieur agronome dise et écrive : "de telles pratiques nous mènent dans le mur, il nous a été demandé de faire plus et vite et nous sommes arrivés au bout d'un processus aberrant" ( semences trafiquées, agriculture intensive non diversifiée, sols détruits.)..et un nouveau pari : la diversification des cultures , bref nous avions tout sous la main mais pas trop le mode d'emploi intelligent ! c'est rare !
il rejoint la famille des Bourguignon, Belpomme .....il a reconnu que le compost issu du TMB sera bien frelaté et nous encourage à continuer notre action .......


son interview par l'UFAL
http://dai.ly/9m9MYT
vidéo-- 



Marc Dufumier est un ingénieur agronome et enseignant-chercheur français, dirigeant la chaire d'agriculture comparée à AgroParisTech. Il a été impliqué dans de nombreux projets de développement agricole, en France comme à l'étranger, notamment dans des pays du tiers-monde.


Les transnationales mettent le vivant en coupe réglée: extraits

.... c'est bien par un accroissement de la productivité et des revenus agricoles des paysans les plus pauvres que l’on parviendra à réduire la prévalence de la faim et de la malnutrition dans le monde.

Mais rien n’indique que le recours aux PGM permette d’atteindre cet objectif. D’un point de vue technique, les solutions prioritaires doivent associer les cultures combinant diverses espèces et variétés, complémentaires dans l’espace et dans le temps, de façon notamment à :

– intercepter au mieux les rayons solaires et transformer ainsi le maximum d’énergie lumineuse en calories alimentaires, par la voie de la photosynthèse ;

– produire des protéines par la fixation de l’azote de l’air, grâce aux légumineuses avec lesquelles des bactéries fixatrices peuvent vivre en symbiose ;

– favoriser l’exploration maximale des sols par les racines et les transferts verticaux de minéraux vers la surface, via la production de biomasse aérienne, la chute des feuilles et leur décomposition dans la couche arable ;

– assurer une couverture végétale maximale des terrains, et les protéger ainsi de l’agressivité des agents d’érosion (pluies tropicales, eaux de ruissellement, vents violents, etc.) ;

– apporter le maximum de matières organiques sur les champs cultivés et favoriser ainsi la production d’humus en leur sein ;

– faire barrière à la propagation et à la prolifération d’éventuels insectes prédateurs et agents pathogènes.

Des variétés rustiques, survivant en conditions aléatoires, permettent de limiter les risques de très mauvaises récoltes, ce qui est crucial pour les paysans précaires. En témoigne le succès récent du riz pluvial Nerica en Afrique de l’Ouest. Issue d’une hybridation classique entre des espèces de riz africaine et asiatique, cette variété, riche en protéines, résiste bien aux sécheresses... sans modification génétique.

De même, il conviendrait d’associer agriculture et élevage, de façon à valoriser les résidus de culture dans l’alimentation des troupeaux, et à utiliser les déjections animales pour la fabrication de fumier sans transports excessifs. Mais encore faudrait-il que les paysans aient accès aux moyens de production nécessaires : animaux de trait, charrettes pour le transport des matières organiques, terres en quantités suffisantes, etc. Il s’agit là bien davantage d’un problème de répartition des ressources que d’une affaire de génétique.

Les paysanneries du tiers-monde disposent d’un savoir-faire « naturel » sous-utilisé. Ainsi en est-il des associations de culture dans les « jardins créoles » d’Haïti et dans de nombreuses îles des Caraïbes. De même, certaines sociétés de l’Afrique soudano-sahélienne emblavent leurs céréales sous des parcs arborés d’Acacia albida, légumineuse dont le feuillage constitue un excellent fourrage pour les animaux, et sert aussi à la fertilisation des sols. Les paysans du delta du fleuve Rouge, au Vietnam, cultivent, dans leurs rizières, des algues aquatiques qui favorisent des cyanobactéries contribuant à la fertilisation azotée des sols. Et l’élevage de canards n’est-il pas un moyen efficace de lutter contre les insectes prédateurs du riz ?

Certes, tous ces systèmes sont perfectibles, et les agronomes ne manquent pas de travail, à la condition de reconnaître les écosystèmes souvent complexes dont on doit toujours ménager les diverses potentialités productives.

De ce point de vue, rien n’indique que la génétique soit le facteur limitant de la production et des revenus agricoles, et que les OGM puissent être utiles aux paysans pauvres. Les multinationales auraient-elles massivement investi dans la mise au point de PGM, pour céder ensuite leurs semences aux paysans les moins solvables du tiers-monde ? Les semences de soja, de maïs et de coton transgéniques sont utilisées dans les pays du Sud, au sein de grands latifundia au Brésil, en Argentine et en Afrique du Sud. On ne sache pas qu’elles aient mis fin à la misère des paysans sans terre et des populations des favelas et des bantoustans...


Marc Dufumier

Professeur à l’Institut national agronomique Paris-Grignon (INAPG).

énergie renouvelable suite

Dossier spécial véhicules électriques

couverture du numero 202 du journal des energies renouvelables


Demain les centaines de milliers de batteries des véhicules électriques pourront être utilisées comme un immense volant de stockage !

Adapter la production électrique à la demande, c’est le casse-tête des gestionnaires de réseaux. Ce défi, auquel s’ajoute l’intégration d’une part croissante d’énergies renouvelables variables, est traditionnellement relevé en faisant appel à différentes formes de stockage de l’énergie : stockage chimique (hydrocarburant), stockage gravitaire (barrages hydrauliques), ou stockage virtuel en interconnectant les réseaux électriques. Mais un nouvel acteur émerge dans la famille des stockeurs : l’ensemble des batteries des véhicules électriques.

28/04/2011

Conférences UPO

"Quelles alternatives au Nord et au Sud pour une agriculture mondiale plus équitable"

Le 29/04/2011 à 18:15

Salle de la Gargamoëlle - LE CHÂTEAU D' OLONNE

Contact : courrier.upo@gmail.com - Site Internet

Tarif : Gratuit

L' Université Populaire du Pays des Olonnes présente :

Marc Dufumier

Professeur à l' Institut National Agronomique. (Agro-Paris-Tech.)

"Quelles alternatives au Nord et au Sud pour une agriculture mondiale équitable

l'UNSA informe














1er mai

Les patrons du CAC 4O voient leurs salaires s’envoler. La rémunération de l’un d’eux a augmenté en 2010 de plus de… 500% pour atteindre 98 millions d’euros par an. Les mêmes ou leurs porte-voix fustigent pourtant des Français qui, selon eux, "vivraient au-dessus de leurs moyens" ou des fonctionnaires qui "creuseraient le déficit". L’indécence n’a pas de limites. L’INSEE, dans une récente étude, rappelle pourtant une amère réalité : il y a près de 8 millions de pauvres en France (949 euros par mois par foyer). Le 1er mai 2011, dans toute la France, sera une journée de dénonciation des inégalités, des injustices, une journée de contestation d’une politique qui démantèle l’Etat et privilégie les plus hauts revenus. Elle sera une journée de solidarité pour exiger, ici comme partout dans le monde, des salaires décents et des droits pour les travailleurs. L’UNSA Education sera présente dans les cortèges de l’UNSA.

Patrick Gonthier
Secrétaire général de l'UNSA Education

ATTAC ET LES BANQUES !

Face à la démission du G20, Attac et les Amis de la Terre lancent la campagne « A nous les banques ! » pour un contrôle citoyen du système bancaire

Paris, le 14 avril 2011 – Les ministres des Finances et gouverneurs de Banque centrale des pays du G20 se réunissent aujourd'hui à Washington, pour la deuxième fois depuis le début de la présidence française du G20. Alors que les 20 ont renoncé à lutter contre la spéculation et à contrôler sévèrement l'activité de la finance, les Amis de la Terre France et ATTAC France appellent à la mobilisation autour d’une campagne commune : "A nous les banques". S’ouvre aujourd’hui un mois d’évaluation citoyenne des banques, à l’aide d’un questionnaire envoyé par les associations et les citoyens aux directions générales des principaux groupes bancaires opérant en France. Une vingtaine de questions est posée pour faire la transparence sur les conséquences sociales et écologiques de leurs pratiques. Nous attendons leurs réponses dans un délai d’un mois, au terme duquel nous les publierons avec nos commentaires.

Les sommets passent et, en dépit des promesses, on attend toujours la mise en place de mesures significatives réellement contraignantes pour les milieux bancaires et financiers.

Alors que les peuples subissent les conséquences écologiques et sociales de la crise, la responsabilité des acteurs financiers, en particulier celle des banques privées, n'a toujours pas été reconnue par les gouvernements. En plaçant la rentabilité financière au centre de leur politique d'investissement, au détriment des critères sociaux et environnementaux, les banques financent des entreprises et projets controversés, qui polluent l'environnement, accaparent des terres et violent les droits des communautés locales. Cette loi du profit à tout prix conduit également les banques à risquer les dépôts des particuliers sur les marchés financiers ; les actionnaires gagnent à tous les coups, la collectivité et les usagers étant mis à profit pour payer en cas de perte. Enfin en s'implantant dans les paradis fiscaux et en facilitant l'évasion fiscale, elles privent les États d'importantes recettes fiscales, alors que l'impôt reste le principal instrument de redistribution des richesses et de financement des services publics.

Spéculation et prises de risques, politique vis-à-vis des clients, relation avec les salariés, impact écologique et social des financements, démocratie dans le fonctionnement, autant d'aspects sur lesquels les banques sont interpellées dans un questionnaire élaboré par ces associations et mis à la disposition du grand public. Les usagers sont invités dans le mois qui vient à se saisir de ce questionnaire pour interpeller leur banque sur ses pratiques. Au terme de ce mois les réponses reçues seront rendues publiques, afin que chacun puisse juger par lui-même du fonctionnement de sa banque. Dans le cadre de cette campagne commune, ATTAC et Les Amis de la Terre proposent également un certain nombre d'alternatives concrètes, indispensables : l'établissement d'une taxe sur les transactions financières, l'encadrement strict des produits dérivés, l'encadrement des activités et le plafonnement les rémunérations des traders et des dirigeants des banques. Thomas Coutrot, coprésident d’Attac France, commente : « Nous voulons donner aux citoyens des outils pour exiger du système bancaire un comportement responsable. L’opacité et la rapacité des banques ne sont plus supportables. Salariés des banques, usagers, associations, travaillons ensemble à montrer qu'une autre banque est possible ».

Juliette Renaud, chargée de campagne sur la Responsabilité des acteurs financiers aux Amis de la Terre complète : "Il est grand temps d'aller demander des comptes à nos banques. Face aux dérives du secteur bancaire, il est plus que jamais nécessaire d'instaurer un contrôle citoyen, qui permettra de s'assurer que l'argent déposé dans les banques est réutilisé dans l'intérêt public, sans danger ni pour les peuples, ni pour la planète". Face à l'importance du lobby bancaire et financier, qui bloque toute tentative de régulation, Les Amis de la Terre et ATTAC appellent les usagers, les salariés et les associations à s'unir pour exercer une vraie pression sur les banques et les pouvoirs publics : "A nous les banques !"

Contacts presse :
Caroline Prak, Les Amis de la Terre, 06 86 41 53 43 – 01 48 51 18 96
Thomas Coutrot, ATTAC, 06 24 56 79 32

énergies renouvelables lire dans actu-environnement

Seule la volonté politique peut lever les freins pour développer massivement les EnR

Après une année 2010 difficile pour les EnR, Jean-Louis Bal, le président du Syndicat des énergies renouvelables (SER), répond aux questions d'Actu-environnement. Il en appelle à la volonté politique et espère que les propositions du SER pèseront dans la campagne Présidentielle.


http://www.actu-environnement.com/ae/news/enr-ser-jean-louis-bal-interview-12446.php4#xtor=EPR-1

27/04/2011

infos santé

Lettre d'information du MDRGF
Produits chimiques : alerte des pédiatres américains !
...Générations futures révèle un nouveau rapport sur les produits dangereux employés dans l'extraction des gaz de schiste aux USA !
Produits chimiques: les pédiatres américains sonnent l’alarme
Dans une déclaration officielle publiée lundi 25 avril, les pédiatres américains, membres de l’Académie américaine de pédiatrie, demandent au gouvernement de renforcer la protection des enfants vis-à-vis des toxiques chimiques...

«Les preuves s’accumulent, les enfants sont véritablement exposés à des produits chimiques toxiques que ce soit à la maison, dans les écoles ou dans les bâtiments publics», déclare Sarah Janssen, scientifique au Conseil de défense des ressources naturelles, aux Etats-Unis.

Le groupe signale que les enfants en pleine croissance sont beaucoup plus vulnérables aux toxiques que les adultes.
De plus en plus d’études établissent un rapport entre une exposition à des produits chimiques et des problèmes de santé chez l’enfant. Publiées la semaine dernière, trois d’entre elles mettent en évidence un lien entre exposition aux pesticides in utero et des retards de croissance chez l’enfant, avec un quotient intellectuel plus faible vers l’âge de 7 ans. D’autres travaux ont montré que des garçons exposés avant la naissance à de fortes concentrations de phtalates, un produit chimique entrant dans la composition des plastiques, avaient plus de risque des développer des malformations...

lire l'article complet sur le site du Journal de l'Environnement :
http://www.journaldelenvironnement.net/article/produits-chimiques-les-pediatres-americains-sonnent-l-alarme,22849

retrouvez la déclaration officielle (en anglais) des pédiatres américains à l'adresse :
http://pediatrics.aappublications.org/cgi/reprint/peds.2011-0523v1

14/04/2011

nucléaire : débat au PS

« Personnellement, je pense qu’il faudra sortir du nucléaire » (Martine Aubry, Première secrétaire du PS)

13/04/2011

communauté d'Aglo un nouveau site du PS- Olonne

Pour une Communauté d' Agglomération les Olonnes – les Achards

L’association pour une communauté d’agglomération déclarée en préfecture le 21 février 2011 a pour but de promouvoir la constitution d’une agglomération à l’échelle du canton des Olonnes et des Achards dans le but d’un développement solidaire et soutenable entre les habitants de ces communes. Notre association a été la seule à affirmer lors de la consultation engagée le 29 novembre 2009 son attachement au développement rapide d’une agglomération alors même que le débat se caricaturait et s’enlisait jour après jour dans un « pour ou contre la fusion ».

Une relecture attentive et transparente des conclusions de l’étude KPMG laissait clairement entendre que la seule issue favorable, économiquement viable et financièrement économe et durable restait la voie de la communauté d’agglomération. Nous invitons les internautes à relire et consulter la page consacrée sur notre site, à la consultation tronquée du 29 novembre 2009 pour se rendre compte que les promoteurs politiques de cette consultation accaparés par l’idée de convertir coûte que coûte le projet de fusion, ont maladroitement tenté de travestir les résultats de l’étude au point de laisser supposer que la formule de la fusion s’avérait la plus intéressante économiquement parlant, ce qui demeure la plus grande contre-vérité et les citoyens fort heureusement ne se sont pas laissés trompés.

Invoquer comme peut le faire une certaine opposition à la municipalité du Château d’Olonne, l’expérience yonnaise comme l’exemple à suivre pour justifier le passage obligé de la fusion avant l’agglomération, ne tient pas dans le contexte des Olonnes. La fusion des trois communes qui fonde aujourd’hui la ville de La Roche sur Yon est intervenue en 1964 et la communauté d’agglomération s’est constituée en 2009, soit 45 ans après….

Quant au fait de dire qu’il est nécessaire de disposer d’une commune centre d’envergure pour constituer une communauté d’agglomération c’est encore le trait d’une totale méconnaissance des réalités, puisque là encore l’expérience yonnaise pourra parler et rendre compte de la difficulté à laquelle les élus de La Roche sur Yon ont été confrontés au moment de créer la première communauté de communes du pays yonnais. Les élus de la majorité municipale yonnaise auront ainsi du multiplier les concessions pour rassurer les communes périphériques sur le fait que la ville de 50 000 habitants n’entendait pas faire valoir une quelconque hégémonie auprès des communes de la couronne dont la population variait entre 500 et 3 500 habitants.

L’après consultation aura permis au Maire d’Olonne sur Mer lors de ses vœux 2011 de se déclarer désormais favorable à l’agglomération après s’être déclaré favorable à la fusion lors de la consultation de 2009. L’art en politique consiste toujours à retomber tel le chat, sur ses pattes. Nous ne sommes pas certains que cette nouvelle inclinaison et cette nouvelle conversion pour la communauté d’agglomération des Olonnes et des Achards soient tout à fait détachées d’intérêts électoralistes.

Quant à la position du conseiller général du canton des Olonnes, elle reste conforme à la trajectoire du personnage, « il est d’accord avec tout et son contraire » « lorsqu’il dit non, il faut comprendre oui » et « s’il dit ne pas être pour, il n’est pas non plus, contre »…

Pour justifier son silence assourdissant sur les questions qui lui étaient posées en tant que candidat à l’élection cantonale, il a pu déclarer non sans un certain aplomb qu’il n’y avait pas de rapport entre la charge de conseiller général et le développement de l’intercommunalité….

Une affirmation qui a failli nous faire « étouffer » lorsqu’on sait que l’intercommunalité en Vendée n’a jamais été une intercommunalité de projet mais plus sûrement une intercommunalité « instrumentalisée » et politique offrant bien souvent au conseiller général, l’assurance d’être élu président de la communauté de communes et par voie d’incidence de conforter voire d’assurer sa réélection en tant que conseiller général par le simple fait de faire réunir les géographies du canton avec celle de la communauté de communes.

Pour le cas des Olonnes, « notre » conseiller général aurait pu être l’artisan d’une fusion des deux communautés de communes donnant pour le moins du sens au développement du territoire, il n’en a rien été…c’est dire l’intérêt qu’il accorde au développement solidaire et soutenable des communes…quand serons-nous davantage soucieux de l’utilité et garant de l’argent public ?

Pour l’association, le Président

Hugues MALLARD

manifestez vous QUE CHOISIR informe !

Link to Consommateur, si tu savais...

A vos clics sur: ensemblenjustice.org !

Posted: 12 Apr 2011 06:36 AM PDT

internet

Souvenez-vous : il y a quatre ans, au cours de la campagne présidentielle, l’UFC-Que Choisir et la CLCV avaient lancé Ensemblenjustice, un site permettant à tous les partisans de l’action de groupe de se mobiliser en faveur de cette réforme majeure. A l’époque, l’action de groupe était l’un des engagements du candidat Sarkozy. Quatre ans et d’innombrables promesses plus tard, on attend toujours ! Le gouvernement renvoie perpétuellement la réforme –pourtant réclamée par 73 % des Français !- aux calendes grecques sous des prétextes divers ! Mais la Commission européenne vient de lancer une vaste consultation, et entend recueillir l’avis des citoyens, associations, entreprises et autorités publiques sur le sujet. L’occasion était trop belle : Ensemblenjustice reprend du service ! Vous aussi, contribuez avant le 30 avril, et pesez dans le débat en demandant à la Commission la mise en place de l’action de groupe. Pour cela, il suffit d’aller sur le site internet ensemblenjustice.org, et de cliquer pour envoyer votre contribution. L’opération ne prend qu’une minute ! En fonction des avis qu’elle aura reçus, la Commission pourra décider ou pas de mettre en place un outil législatif européen de recours collectif.

Si je regrette que la France ne se saisisse pas également de ce dossier crucial, le volontarisme de l’exécutif européen pourrait bien sonner le glas des manœuvres dilatoires du gouvernement. Lors des Assises de la Consommation, en octobre 2009, le secrétaire d’Etat en charge de la consommation, Hervé Novelli, avait encore pris l’Europe pour prétexte de l’immobilisme du gouvernement, disant vouloir attendre un feu vert préalable de Bruxelles. Espérons que la Commission européenne saura entendre la voix des Français, puisque leurs propres dirigeants font la sourde oreille !

les premières retombées négatives du Tri mécanobiologique


Elles sont visibles immédiatement,
car dans un premier temps,
elles touchent au porte monnaie.
Après viendront les retombées sanitaires
mais c'est une autre affaire

12/04/2011

ALLIAURA Hugues Mallard : réaction du PS des Olonnes

A : "OUEST-FRANCE les sables" , "journal des sables"
> Copie à :
> Objet : communiqué
>
>

Monsieur le rédacteur en chef, je vous prie de prendre connaissance du communiqué de la section du parti socialiste des Olonnes, assuré que vous le reporterez dans vos colonnes.
Je vous prie de croire, monsieur le rédacteur en chef, à mes sentiments les meilleurs.
Hugues MALLARD


Communiqué de la section du parti socialiste des Olonnes



L'édition d'Ouest France du 12 avril rend compte en page Région, du départ d'ALLIAURA marine de la ville des Sables d'Olonne, cette société ayant fait le choix de transférer définitivement sa production sur Lanester dans le Morbihan. C'est donc le coup de grâce à l'emploi salarié de la ville des Sables....Après avoir eu à supporter 65 licenciements en 2008, c'est de nouveau 60 emplois qui sont concernés avec la douloureuse obligation pour les salariés de rejoindre le site de Lanester s'ils veulent conserver leur emploi...mission impossible, pour un bon nombre d'entre eux....
Il y a à peine deux ans, le site Sablais accueillait et employait encore 150 personnes...Tout cela nous renvoie l'image d'un énorme gâchis et d'une passivité confondante de l'actuelle municipalité sablaise et de son député-maire, ce que l'on ne peut pas reprocher au maire de Lanester.

Pour la section du parti socialiste des Olonnes

Le secrétaire Hugues MALLARD

11/04/2011

étrange ..la Vendée est si "indépendante" de toutes ces tracasseries compliquées !

Lors de son émission du 12 mars 2011 dans CO2 mon amour – France Inter

Denis Cheyssoux avait abordé le thème ultra sensible des trimécanobiologiques

il avait été indiqué que les chambres d'agricultures se prononçaient contre

cet épandage peu fiable.

Après prise de contact, Denis Cheyssoux a envoyé cette précision de l''APCA

"En tant qu'organisation agricole, "Chambres d''Agriculture France"dénonce depuis longtemps cette technique qui ne produit pas, pour le moment de compost de bonne qualité.

Les agriculteurs restent soucieux des matières organiques qui retournent sur leurs sols,

et qui constituent leur principal outil de production et souhaitent un développement des collectes sélectives de biodéchets (comme cela est prévu par le Grenelle de l’environnement).

Nous pensons que le monde agricole, en tant que destinataire final des composts produits par ce genre de technique, doit avoir voix au chapitre, d’autant plus que nos intérêts convergent avec ceux des associations de protection de l’environnement sur ce point"

07/04/2011

programme PS

http://www.parti-socialiste.fr/projet
L'incinérateur vu par Martin Vidberg pour le Cniid


Vous remplacez le mot incinérateur par Trimécanobiologique et vous obtenez la même problématique..surtout si nous recyclons et compostons!! tout ce fric gaspillé
quelle belle gestion départementale !! n'est ce pas §

06/04/2011

cela se passe près de chez vous

envoi d'Armando


manif à St Mathurin pour l'ouverture
d'une classe supplémentaire

05/04/2011

Résister et enseigner

Résister et enseigner

de façon éthique et responsable

Sortie le 10 mars aux éditions Golias - disponible en librairies à partir du 15 mars

Prix de vente 10 euros - 95 pages - Gencode 9782354721206

(Vous pouvez passer commande sur le site de vente des éditions Golias)

Les contre-réformes appliquées à l'école publique depuis 2008 déconstruisent méthodiquement ses fondements, ses valeurs et ses missions.

Face à cet immense défi, un mouvement de résistance d'une ampleur inégalée dans l'Education Nationale s'est développé chez les enseignants du primaire qui n'ont pas voulu devenir les complices de cette politique destructrice du service public d'éducation.

Cette résistance, ciblée sur le terrain pédagogique, est exposée ici avec rigueur et clarté par l'auteur de la lettre En conscience, je refuse d'obéir du 6 novembre 2008. Une résistance collective qui refuse l'idée d'une école élitiste. Une résistance éthique et responsable qui porte l'exigence d'une école du progrès pour tous au service d'une société plus juste, plus solidaire et plus humaine.

Alain Refalo est professeur des écoles à Colomiers, dans la banlieue de Toulouse.

Il est l'initiateur du mouvement de désobéissance pédagogique chez les enseignants du primaire.

la violence : position de nicole Kiil Nielsen

COMMUNIQUÉ DE PRESSE - Strasbourg, le 5 avril 2011


Enfin une directive pour combattre la violence contre les femmes

Le Parlement Européen a adopté, ce mardi 5 avril 2011, un rapport sur la lutte contre la violence à l'encontre des femmes. Ce texte revient sur la spécificité des violences faites aux femmes et aux jeunes filles par des hommes, comme un des freins les plus répandus et les plus pernicieux à l'égalité entre les femmes et les hommes.

Nicole Kiil-Nielsen Députée Verts/ALE et membre de la commission des droits des femmes et de l'égalité des genres du Parlement européen, insiste sur l'importance de traiter les violences à l'encontre des femmes de façon spécifique.

"Le rapport d'aujourd'hui permettra de mettre en place un instrument de droit pénal sous la forme d'une directive de l'UE pour lutter contre les violences fondées sur le genre. C'est une avancée importante car les violences faites aux femmes et aux jeunes filles sont une manifestation de la domination des hommes sur les femmes dans nos sociétés.

Le rapport revient sur la nécessité de combattre ces violences au niveau européen, notamment en harmonisant les législations nationales : certains pays ne reconnaissent pas le viol comme une infraction pénale, notamment entre époux ou partenaires".

La députée salue, enfin, les apports du Groupe des Verts / ALE concernant l'aide juridique et le droit à une assistance pour toutes les victimes de violences, dans l'ensemble de l'Union européenne .


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