CONSTRUIRE L'AVENIR ENSEMBLE
 

28/09/2009

Une réaction sur l'intervention d'Alain GUYOT

Serge a écrit

Moi, j'ai beaucoup apprécié l'intervention d'Alain, mardi soir au Conseil Municipal...

Il est important de rappeler, à chaque occasion, qu'il n'y a pas de débat dans notre Commune.

J'habite à Château d'Olonne depuis 1989 et autant que ma mémoire me le permette, je ne me souviens pas d'avoir pu participer à une réunion de quartier. Les Plesses, sont trop loin du bourg pour y aller à pied (sans rappeler que rien n'est fait pour les piétons) et de l'autre côté, l'avenue de Talmont n'a jamais fait l'objet d'aménagement conséquent pour faciliter l'accès aux Océanes.
Et pourtant M. le Maire était directeur de la clinique... et bien si vous avez un parent, un ami, une connaissance à la clinique et que vous souhaitez lui faire deux ou trois courses, faites l'essai à pied pour aller à Géant... on en reparle après... c'est un exemple, je pourrais en donner d'autre...

Ce que je reproche aujourd'hui à nos dirigeants communaux, c'est l'absence totale d'écoute. Nous pouvons avoir des points de vue différents, et aussi des points d'accord, encore faudrait-il s'écouter. Alors, rappeler régulièrement qu'il faut débattre... merci Alain !!

Usine de traitement des ordures ménagères

un reportage interessant diffusé vendredi 25 septembre 2009 par TF1
Pour le visionner clic sur ce lien. Vous comprendrez mieux pourquoi notre opposition au projet de TMB du Département et voté par la majorité du conseil municipal

27/09/2009

Conseil municipal du 22 septembre 2009

Intervention de Alain GUYOT, conseiller municipal et président de l'association Alternative Citoyenne

Monsieur le maire,
Dans votre intervention vous venez de nous demander de respecter votre point de vue sur la fusion , et de nous comporter en démocrates…
…et c’est justement de démocratie dont je vais vous parler ;
s’agissant du débat sur la fusion, je n’interviendrai donc pas sur le fond (Jean-Claude Rossignol et Francine vrignon s'en chargeront) mais sur la forme.

Car il vient de se produire hier quelque chose de très grave :
en assignant en référé Jean –Claude Rossignol, au motif qu’il avait divulgué un texte préparatoire au débat de ce soir, vous avez voulu nous empêcher d’associer nos concitoyens au débat… !
Ce qui montre que vous avez une conception toute particulière de la démocratie locale !

Le juge naturellement vous a débouté, estimant votre requête non motivée.
Mais cette décision laisse les frais d’avocat à la charge de Jean-Claude Rossignol, alors que les frais engendrés par votre recours abusif seront supportés par le budget municipal, et donc par les contribuables ;
Votre recours fut anti-démocratique !
Ses conséquences financières ne sont ni justes, ni morales !

Vous semblez allergique au débat ; or la démocratie repose sur le débat contradictoire : les différents points de vue doivent pouvoir s’exprimer librement ;
Mais vous, sur les grandes questions, vous faites en sorte que le débat n’ait pas lieu, ou soit escamoté.
Vous commencez par nous compliquer les choses : avant chaque conseil municipal
les questions et les dossiers (quand il y en a) nous parviennent au dernier moment ; tout est fait pour mettre l’opposition en difficulté.
Est-ce cela être démocrate ?

Quelques exemples récents :
« Le barrage sur l’Auzance » : il n’y eut ni dossier ni débat !
Vous avez dit : « nous allons manquer d’eau ; le conseil général nous demande de nous prononcer pour la construction de ce barrage ! » et le débat s’est limité à cette déclaration !
Nous avons eu beau réclamer une étude, notamment des coûts environnementaux, rien n’y a fait ! et votre majorité a apporté son soutien au conseil général, comme un seul homme, sans en discuter, alors que le « Grenelle de l’environnement » condamne désormais toute initiative de ce genre !

Autre exemple : « le TMB »
A cette occasion vous n’avez fait que relayer les contre vérités proférées par Trivalis et le conseil général, à propos de l’Ademe, de la convention agricole, des scientifiques .
Non ! monsieur le maire, les scientifiques ne sont pas partagés ! Ils sont tous opposés à la fabrication d’un compost par TMB ! et ceux qui sont favorables à ce procédé ne sont pas des scientifiques mais des techniciens qui sont liés aux industriels impliqués dans le traitement des déchets. (On comprend bien pourquoi ces derniers ne sont pas favorables à la mise en place d’une redevance incitative qui réduirait le volume des déchets à traiter… !)

Vous avez ensuite passé la parole à Jean-Pierre Heuzé.
Il n’a pas, lui non plus, avancé d’argument en faveur du TMB.
Il s’est contenté de nous livrer son CV !
Cet ancien officier des pompiers, après avoir souligné qu’il était lui-même commissaire enquêteur et … grand père … nous a dit sa certitude que le TMB était le bon choix. Sans
aucune explication.
Avec un tel profil, qui mieux que lui pouvait défendre le choix de Trivalis et du Conseil Général ?
« Rentrez chez vous bonnes gens, et dormez tranquilles ! Je veille sur votre santé et sur votre sécurité ! »
Et voilà comment vous avez faussé le débat !
Est-ce cela être démocrate ?

Dans un instant nous engagerons le débat sur la fusion, et ce débat comme je l’ai dit tout à l’heure, vous avez d’abord tenté de le miner en demandant à la justice de faire taire Jean-Claude Rossignol.

Monsieur le maire, cessez de maltraiter votre opposition !
Normalisez nos relations ! Ecoutez-nous ! Respectez-nous !

Alain Guyot

NDLR Chacun se demande pourquoi cette intervention d'un opposant de gauche, n'a même pas été évoquée par la presse locale.

25/09/2009

Vendéens, citoyens de seconde zone ?

Pourquoi, en Vendée sommes nous traités comme des citoyens de
seconde zone ?

Lu au détour d'une flânerie sur le Web concernant la gestion de nos déchets, un article d'actu environnement.
Cela se passe à Paris, où la gestion des tonnes de déchets doit mobiliser une armée de techniciens, d'experts et de compétences affirmées :
Le Futur centre de traitement de déchets ménagers d'Ivry Paris XIII

Mise en place d'un tri mécanobiologique
« Estimant que la mise en place d'un tri sélectif des biodéchets est trop compliquée pour l'instant dans un secteur très urbain et très dense, le SYCTOM a choisi de mettre en place un tri mécanobiologique.
Les ordures ménagères résiduelles seront ainsi triées afin d'isoler la part fermentescible qui sera envoyée dans un méthaniseur (de 35 à 39%), la part recyclable qui rejoindra les collectes sélectives (de 3 à 9%) et les éléments indésirables ou dangereux qui seront envoyés en centre de stockage (de 4 à 14%). Le volume restant sera incinéré »
En Vendée le tri sélectif de biodéchets ne dépend que de la volonté de s’y mettre, et certaines communes s’y sont mises ! Alors ?
En ce qui concerne l’aspect énergétique de l’usine et l’économie possible :
170.000 MWh de biogaz valorisable en carburant pour le parc de bennes à ordures.
Neuf réunions publiques pour aborder les points clefs du projet.
Parce qu’il semble bien que dans certains départements les intelligences mises en commun aboutissent à des projets mieux construits :
Le Président de la Commission Particulière reconnaît « qu'il n'est pas toujours facile pour un maître d'ouvrage de donner en pâture un projet préparé depuis plusieurs années », mais précise que de nombreux projets ont été améliorés grâce au débat public : il cite par exemple le projet CDG express dont » le débat public a permis de faire émerger une solution moins coûteuse proposée par une association et qui est aujourd'hui le projet retenu par RFF. Les projets sont soit transformés, soit mieux compris ou parfois abandonnés »……: » le SYCTOM se réjouit de ce débat public, c'est une chance supplémentaire d'approfondir et d'élargir la concertation et de sensibiliser notre population, » a déclaré François Dagnaud son Président
Vous ne rêvez pas : la démocratie fonctionne mieux ailleurs qu’ici.
Manifestement le Conseil général de vendée et Trivalis nous prennent pour des débiles.. Mais nous, citoyens de Vendée, considérons leur projet de TMB pour compostage agricole ; frelaté, dangereux et non recevable sous cette forme. Il est même à craindre que le choix de ce type de TMB appartienne à une époque déjà révolue (lire la réponse de Chantal JOUANNO sur le sujet)

Etaient-ils bradés parce que déjà dépassés ? au prix qu’ils vont nous couter !
martine guyot Alternative Citoyenne
le 24 septembre 2009

07/09/2009

lettre ouverte de Alain GUYOT au Journal des Sables

Monsieur,Vous substituant à Trivalis et au commissaire enquêteur lui-même qui n'ont jugé utile, ni d'informer systématiquement la population du territoire des Olonnes directement concernée, ni de mettre en place des réunions publiques d'information, vous avez choisi de vous adresser par voie de presse aux élus locaux pour leur vanter les mérites du TMB et les exhorter à soutenir ce choix politique.

Cette initiative, qui a retenu toute mon attention, appelle toutefois quelques observations, certains de vos arguments quelque peu "approximatifs" méritant que l'on s'y arrête quelques instants.

En préalable je crois nécessaire que vous expliquiez ce qui fonde votre légitimité à vous adresser à nous, le simple fait d'apprendre l'existence de votre association ne renseignant guère à son sujet : d'où parlez-vous? Comment et quand votre association a-t-elle été créée? Pourquoi n’en a-t-on jamais entendu parler ? Pouvez-vous nous éclairer et confondre ceux qui pensent qu'elle ne serait rien d'autre qu'une courroie de transmission?

Réécrivant rapidement l'histoire, vous nous rappelez l'épisode de l'incinérateur en nous expliquant que le président du conseil général avait pris les choses en main et fait en sorte d'annuler ce choix coûteux et dangereux. Mais qui donc avait fait ce choix, si ce n'est Trivalis et le Conseil Général lui-même? Alors qui a sauvé la Vendée ? L’action du président ou, comme vous le sous-entendez, l’opposition très forte de la population ?

Vous écrivez ensuite que ce plan départemental aurait été élaboré démocratiquement, puisqu'il aurait été approuvé par 40 associations de défense de l'environnement.
Cet argument est, lui aussi, fort contestable.Il est possible en effet que certaines associations aient été Invitées, voire consultées,après l’abandon du projet d’incinérateur

Quoi qu’il en soit, les informations qui leur sont parvenues depuis 2006 ayant beaucoup évolué, il est établi que les associations les plus importantes et les plus représentatives en matière d’environnement et de développement durable ont toutes condamné ce procédé à l’occasion de l’enquête publique.
Pouvez-vous expliquer selon quelle procédure les associations que vous mentionnez auraient été consultées et préciser combien d'entre elles confirment aujourd'hui leur soutien au TMB?Les prises de position étant réputées publiques, je vous engage vivement à publier la liste des associations qui ont approuvé le choix du TMB.Vous dites enfin que le 10 juillet 2009 la Chambre d'Agriculture de Vendée a signé une convention avec Trivalis et le Conseil Général pour marquer sa confiance à la qualité du compost qui sortira des usines de traitement

Une seule question: avez-vous vraiment lu cette convention?

Nous nous la sommes nous-mêmes procurée auprès du commissaire enquêteur: figurez-vous qu’aucun engagement des agriculteurs n’y figure !La Chambre d'agriculture indique seulement qu'elle demandera à ses conseillers de rechercher les agriculteurs qui exploitent à proximité du Taffeneau et qui seront volontaires pour utiliser le compost produit par TMB. Vous conviendrez avec moi qu’il y a loin de la coupe aux lèvres, et qu’il est actuellement impossible de dire ce qu’on fera finalement de ce compost.

Pourquoi prétendre, comme vous le faites avec d’autres, que ce problème est réglé, alors qu’il ne l’est pas ? Pourquoi cherchez-vous à abuser les élus locaux?

Savez-vous en outre si les agriculteurs devront payer ou seront payés pour utiliser ou « écouler » ce compost ? Le doute subsiste…


Etes vous certain enfin que les agriculteurs qui bénéficient de baux d’exploitation pourront épandre ce compost sans l’accord de leurs propriétaires ? rien n’est moins sûr !


Les agriculteurs ont déjà été échaudés une première fois en épandant un compost (première génération) qui contenait des matières plastiques, des piles, des seringues..etc; Et devinez qui mit un terme à ce scandale : le fabriquant lui-même (Trivalis) et ses ingénieurs qualifiés ? Non point ! Le Conseil Général de la Vendée ? Que nenni ! Les instances de contrôle qui devraient contrôler? Vous n’y êtes pas !


Ce scandale prit fin par arrêté préfectoral, sur plaintes d’associations responsables.

Vous l’affirmez vous-même : l’affaire est sérieuse.Il me plait donc de penser que vous aurez à cœur de participer à la recherche d’une solution en répondant, dans un premier temps aux questions posées par la présente correspondance.

Alain GUYOT Conseiller municipal du Château d’Olonne ; Président d’Alternative Citoyenne

04/09/2009

enquête publique, TRIVALIS à Château d’Olonne: lettre de Martine au commissaire enquêteur

Monsieur,


Citoyennne à château d’Olonne c’est par le plus grand des hasards que j’ai découvert lors d’une conférence d’un géophysicien, l’installation imminente d’usines TMB de traitements de nos déchets (poubelles grises) en Vendée.

Depuis, toutes les recherches menées au sujet de ce procédé ne cessent de prouver que le principe de précaution ne sera une fois encore (Taffeneau 1) pas respecté en Vendée

Pourquoi ?

Le compost obtenu après criblage et macération de déchets sales, toxiques pour certains, mélangé aux déchets verts deviendrait par miracle sain et acceptable sur les cultures !

La norme NFU 44051 est française. (classe 2) Certains pays européens ont stoppé la fabrication de ce compost pollué. La réglementation européenne présentera sous peu une norme plus drastique (classe 1) : que deviendra ce compost reconnu dangereux, sera-t-il brûlé, ou enfoui ?

Bien que votre fonction vous mette à l’abri d’une prise de position par trop engagée, je vous demande solennellement de bien vouloir considérer avec attention les quelques pièces regroupées dans ce dossier. Ces dernières prouvent qu’il est absolument nécessaire de faire une pause et le point sur le réel danger représenté par un tel process et l’épandage de son compost, procédé absolument en contradiction avec le Grenelle de l’environnement. Il nous faut consulter tous les citoyens pour éviter un nouveau problème de santé publique, et trouver des solutions moins risquées.

Je vous joins la copie des pièces numérotées, parues sur des sites officiels, nationaux, d’associations natures, paysannes et/ou politiques. Ces personnes se préoccupent gravement du risque de contamination des sols et donc, au final, de la mise en danger de la santé de tous.

LA NORME NFU 44051- COMPATIBLE AVEC L’AGRICULTURE ?

Pièce N°1-. Le Centre National d’Information Indépendante sur les Déchets CNIID, précise : page 4 : la norme NFU 44051 « n’est pas aussi sévère qu’elle devrait pour garantir l’innocuité du compost » et page 5 –(TMB) « n’est pas une solution satisfaisante, particulièrement concernant la production de compost de qualité ».

Pièce N°2- à l’étude du compost à Launay-Lantique : Thèse de Pénélope VINCENT SWEET, membre du directoire DECHET à la Fédération Nationale de l’Environnement FNE. Graphique et conclusion « : la norme retenue ( pour le contrôle d’innocuité !) n’intègre qu’un nombre limité de polluants..QUID des polluants organiques persistants, des phtalates, des alkylphénols, des paraffines chlorées, des organoétains, et des milliers de substances chimiques échappant à tout contrôle ? ( CF programme REACH)

Pièce N°3 -contrairement aux assertions de monsieur GUYAU, l’agriculture biologique ne pourra utiliser ce compost : courrier ECOCERT joint.

La confédération Paysanne a elle aussi pris position contre ce procédé.

Pièce N°4 : en votre possession : la convention cadre du 10 /07/2009, signée par le Conseil Général, Trivalis, et la Chambre d’Agriculture précise que « les conseillers de la Chambre d’Agriculture vont rechercher les agriculteurs preneurs de ce compost à proximité du site (sans garantie donc) et oublie de dire que certains exploitants ont signé un bail avec le propriétaire du fonds qu’ils doivent exploiter « en bon père de famille sans compromettre l’utilisation future du sol » !

Pièces N°5 et 5 bis. Commentaire de monsieur Pascal Gracia ( site A.C) le TMB «, procédé étudié par le bureau (indépendant) d’études économiques le BIPE, cofinancée par la FNADE et l’ADEME » conclut : « l’encadrement réglementaire des unités existantes est incomplet et l’exigence de qualité du compost produit est faible »

Pièce N°6 : l’ADEME : publication le 20 juillet 2009 : « ne compte plus accorder de subventions aux nouveaux projets d’installation de TMB….. dans les deux Sèvres et en Vendée » . « le risque encouru par les collectivités qui investissent dans ce type de dispositif est qu’in fine le compost produit soit de si mauvaise qualité qu’il nécessite d’être stocké ou incinéré »

La réponse semble bien être NON..Qu’entendons-nous par « mauvaise qualité » ?

LE COMPOST REPRESENTE IL UN DANGER ENVIRONNEMENTAL ?

Pièces N°…2, 7,8,9,bis ,10,bis, 11 Les associations de défenses de la nature appellent en très grande majorité, contrairement aux assertions du Conseil Général et aux propos du maire de Château d’Olonne, au respect du principe de précaution

Certains demandent un débat public. Mais tous proposent des solutions de bon sens , plus écologiques,, moins ruineuses et moins dangereuses pour la santé:

La FNE,( n°2) ,la commission de protection des eaux , du patrimoine de l’environnement , du sous sol (n°7), la FEVE ( n°8) ( regroupement de 17 associations) COORLIT (n°9-9 bis) ( regroupement des associations de nature des olonnes ) dont l’APNO sur son site( n° 10 -10 bis) , la LPO de Vendée, (n°11).

Pièces n° 11, 12, 13 : des politiques s’insurgent contre le manque total de débat démocratique d’une telle décision dont les effets secondaires pourront être irréversibles pour la santé des citoyens.

le Parti socialiste des Olonne, les Verts, Alternative Citoyenne, la CACO,

les 8 élus d’opposition de château d’Olonne au conseil municipal du 18/08/09…..

Compte tenu des produits chimiques volatiles et miscibles la réponse semble bien être oui

LE COMPOST REPRESENTE T-IL UN DANGER POUR NOTRE SANTE ?

Pièce N°14 CONGRES, METAUX TOXIQUES et SANTE alertant sur la toxicité des métaux, et des substances chimiques totalement étrangères aux organismes vivants et ayant des effets pathogènes.

-le professeur A .PICOT, Toxico-Chimiste, Directeur de recherche honoraire du CNRS, expert français auprès de l’Union européenne sur l’évaluation des produits chimiques

-Le professeur RABACHE nutritionniste, biologiste -chef de projet et responsable de formation toxicologie au CNAM.

-Les professeurs ROCCHICCIOLI et le docteur TAILLEFER, le docteur Véra STEJSKAL, le docteur Robert NATAF, directeur de laboratoire Philippe Auguste à Paris le docteur Pierre UME licencié en biologie moléculaire .

Tous leurs travaux sont consultables sur les sites portés sur le document joint.

Ils impliquent lourdement « l’intoxication par les métaux dans les maladies de civilisation dont la croissance exponentielle n’est pas sans poser de nombreuses questions : autisme, fibromyalgie, parkinson, alzeimer, sclérose en plaques allergies, maladies neuro-fonctionnelle et dégénératives, auto-immunes…….etc ».

Donc le compost frelaté semble bien dangereux pour notre santé.

Et enfin

CE QUE DIT LA LOI

Loi du 1er août 2008- 2008-757 relative à la responsabilité environnementale et à diverses dispositions d'adaptation au droit communautaire dans le domaine de l'environnement

article 1

"constituent des dommages causés à l'environnement ...les détériorations directes ou indirectes mesurables de l'environnement qui :

1° créent un risque d'atteinte grave à la santé humaine du fait de la contamination des sols résultant de l'introduction directe ou indirecte en surface ou dans le sol de substances, préparations, organismes ou micro-organismes"

Le TMB trie mécaniquement mais n'élimine ni les métaux toxiques à certaines doses, ni les micro-organismes, ni les pesticides, ni les produits chimiques poisons, qui, au contact les uns des autres constitueront une bombe à retardement pour nos terres agricoles et notre alimentation.

Le dossier présenté par TRIVALIS et le Conseil Général est un bel emballage. Il est évident qu’il « occulte » toute la partie risque sanitaire possible.

C’est pourquoi, à la lecture de ces quelques preuves, je vous demande, en tant que commissaire enquêteur, de bien vouloir demander l’application du principe de précaution : de non mise en danger de la santé d’autrui et de surseoir à ce projet de trimécanobiologique du Taffeneau..

Martine GIROU/GUYOT

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