CONSTRUIRE L'AVENIR ENSEMBLE
 

30/06/2012

la pratique de la CUMA est-elle exportable dans d'autres secteurs professionnels, voire même avec nos voisins ?

 Groupe


La Cuma est une société coopérative agricole. Ces sociétés ont pour objet l'utilisation en commun par des agriculteurs de tous moyens propres à faciliter ou à développer leur activité économique, à améliorer ou à accroître les résultats de cette activité. 

La Cuma est une société à capital variable, n'a pas de but lucratif. obéit à une gestion démocratique. Cela se caractérise par l'égalité des droits des associés : "1 homme = 1 voix".......... entre autres 

Bois énergie 
La mécanisation en commun, clef de voûte du réseau,L'aide à l'installation et à l'emploi, L'environnement et la gestion de l'espace
Un réseau actif
Le réseau des cuma s'appuie sur 13 400 coopératives regroupées au sein de leurs Fédérations.
pour en savoir plus :   http://www.cuma.fr/

...

pollution au Diesel ....ce qui se précise


Diesel: nuit gravement à la santé... et à l'économie
 
Non seulement les moteurs diesel sont responsables de cancers du poumon, souligne le spécialiste des énergies Yves Lenoir, membre du groupe Énergie Développement. Mais encore, ils coûtent au budget de l’État français près de 12 milliards d'euros par an: la plus grande niche fiscale


médiapart du 30 juin 2012

ce message d'alerte de la FEVE





 Alerte aux associations qui avaient été sollicitées (dont la FEVE contre toute attente!) par l'ancien préfet J.Brot,  pour faire partie des CLIS (commission locale d'information et de surveillance) pour les usines de TMB de chateau D'Olonne et St Christophe le Ligneron en Vendée.

le collège des associations est remplacé par les associations ou... des riverains....
à St christophe le Ligneron devinez ce qu'a choisi le maire: 4 riverains non militants !

" et vive la  démocratie !   Des riverains qui ne représentent qu'eux même ou la voix de son maître .. peut-être ..?

oubli ?


Rousseau : une voix toujours émancipatrice

 C’est dans une relative discrétion que le trois centième anniversaire de la naissance de Jean- Jacques Rousseau (1712-1778) a été célébré. Philosophe démocrate, partisan d’une pédagogie novatrice et inspirateur des grands combats révolutionnaires de 1789 et 1793, le citoyen de Genève sentirait-il encore le soufre en ce début de XXIème siècle ? Sa défense de l’égalité, son refus des injustices, sa constante dénonciation des privilèges et des coteries intellectuelles de son époque le placent comme un esprit majeur de son époque, en même temps qu’il reste un penseur pour nos combats actuels.

 

C’est cependant son Discours de 1755 sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les Hommes qui entraîne la rupture définitive entre Rousseau et les penseurs des Lumières. Réfléchissant à l’origine des inégalités sociales, Jean-Jacques Rousseau formule une hypothèse radicale et révolutionnaire qui détourne de lui tous les bienpensants de l’époque. Selon lui, l’inégalité remonte à une cause première : la propriété privée et individuelle. Il écrit :   « Le premier qui ayant enclos un terrain s’avisa de dire : Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d’horreurs n’eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé, eût crié à ses semblables : “Gardez-vous d’écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous et que la terre n’est à personne! “ ». Deux cent cinquante ans plus tard, ces lignes résonnent encore d’un puissant écho. Rousseau refuse la fatalité des distinctions sociales et n’admet pas que l’on puisse y voir une volonté divine contre lequel l’homme ne pourrait rien. Il part de l’hypothèse mythique d’un état de nature où l’Homme est bon, et montre comment la propriété l’a peu à peu perverti. Cette thèse subversive s’en prenant aux racines même des inégalités détournent Rousseau des penseurs de son temps. Voltaire caricature volontairement et outrageusement les positions de son ennemi intime, blessant profondément un Rousseau à la sensibilité exacerbée. Néanmoins celui-ci n’abdique en rien ses idées et approfondit même sa réflexion dans le Contrat social qui paraît en 1762. Désormais installé à Montmorency, loin du Paris bruyant et mondain de ses anciens amis des Lumières, il y écrit ses plus importants ouvrages.

C’est cependant son Discours de 1755 sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les Hommes qui entraîne la rupture définitive entre Rousseau et les penseurs des Lumières. Réfléchissant à l’origine des inégalités sociales, Jean-Jacques Rousseau formule une hypothèse radicale et révolutionnaire qui détourne de lui tous les bienpensants de l’époque. Selon lui, l’inégalité remonte à une cause première : la propriété privée et individuelle. Il écrit :   « Le premier qui ayant enclos un terrain s’avisa de dire : Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d’horreurs n’eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé, eût crié à ses semblables : “Gardez-vous d’écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous et que la terre n’est à personne! “ ». Deux cent cinquante ans plus tard, ces lignes résonnent encore d’un puissant écho. Rousseau refuse la fatalité des distinctions sociales et n’admet pas que l’on puisse y voir une volonté divine contre lequel l’homme ne pourrait rien. Il part de l’hypothèse mythique d’un état de nature où l’Homme est bon, et montre comment la propriété l’a peu à peu perverti. Cette thèse subversive s’en prenant aux racines même des inégalités détournent Rousseau des penseurs de son temps. Voltaire caricature volontairement et outrageusement les positions de son ennemi intime, blessant profondément un Rousseau à la sensibilité exacerbée. Néanmoins celui-ci n’abdique en rien ses idées et approfondit même sa réflexion dans le Contrat social qui paraît en 1762. Désormais installé à Montmorency, loin du Paris bruyant et mondain de ses anciens amis des Lumières, il y écrit ses plus importants ouvrages.

 extraits de 

L'Offensive Socialiste

"La jeunesse est la flamme de la révolution" Karl Liebknecht
Démocratie et socialisme 

 

 

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Camus disait : "Rien n'est vrai qui force à exclure "